Moins d'un an après le lancement de la GeForce GTX 680, NVIDIA renouvelle son offre graphique haut de gamme avec la sortie de la GeForce GTX Titan. Un renouvellement ? Pas tout à fait.
Annoncée durant l'édition 2013 du CES (voir CES 2013 : Asus présente la carte graphique la plus rapide, Ares 2), l'ARES II est la nouvelle carte graphique de l'extrême du fabricant taiwanais Asus. Et alors que NVIDIA ne permet à aucun de ses partenaires de concevoir une carte graphique sur le modèle de la GeForce GTX 690 (celle-ci devant rester exclusive), AMD se montre bien plus souple. Il faut dire qu'on attend toujours la Radeon HD 7990... Mais revenons-en à Asus qui nous propose avec l'ARES II une carte munie de deux Radeon HD 7970 GHz Edition. Et pas n'importe quelle carte !
La carte graphique est-elle un outil technologique ou ludique ? Pour la plupart des utilisateurs les deux réponses sont valables, puisque le jeu vidéo reste la raison numéro un d'acheter une carte puissante. Et dans ce cadre, il est conseillé de maîtriser le vocabulaire associé à la rencontre de ces deux mondes.
Un an après le lancement des processeurs FX basés sur l'architecture Bulldozer, AMD leur donne une descendance avec l'arrivée de l'architecture Piledriver. Au cœur de ces nouveaux processeurs AMD FX, une architecture revue et par ailleurs déjà aperçue au sein des processeurs A8 et A10 notamment (les Trinity).
C'est au mois de juillet dernier que NVIDIA annonçait son GeForce GTX 680M, sa nouvelle puce mobile haut de gamme qui venait prendre la place du GTX 580M de génération Fermi. Cette fois, le caméléon fait évidemment appel à sa dernière architecture, la dénommée Kepler, et promet un gain de performance substantiel. Le temps que les différents constructeurs adoptent cette carte, voici enfin venue l'heure du test !
Il y a quelques semaines, AMD levait le voile sur ses nouveaux processeurs de bureau, les APU A8 et A10. Un an après sa toute première génération d'APU connue sous le nom de code Llano et fruit de la vision à long terme du rachat d'ATI par AMD, l'ex-fondeur de SunnyVale nous propose la relève.
NVIDIA nous fait le coup de l'éternel retour ! Après les lancements successifs des GeForce GTX 660 Ti et GeForce GTX 660 il y a quelques semaines, voilà que la firme au caméléon complète à nouveau ses gammes avec la GeForce GTX 650 Ti ! Cette fois-ci, NVIDIA vise les joueurs à budgets plus serrés avec une carte dont le prix public conseillé démarre autour des 140 euros TTC.
Une de plus ! Lentement mais sûrement, NVIDIA décline son architecture Kepler. Après un GeForce GTX 660 Ti en demi-teinte, voilà que la firme au caméléon nous propose une nouvelle variante sous la forme du GeForce GTX 660.
Après le modèle AX1200 que nous testions l'an dernier dans le cadre de notre comparatif d'alimentations 80+ Gold, Corsair nous revient avec une version améliorée de son bloc et une référence légèrement modifiée. Et le petit i de la AX1200i cache bien plus que ce que l'on peut supposer !
Lentement mais sûrement, NVIDIA continue de décliner son architecture graphique de dernière génération. Si Kepler a d'abord trouvé place dans le segment haut de gamme avec les GeForce GTX 670 et GeForce GTX 680, et même dans la niche du très haut de gamme avec le GeForce GTX 690, la firme au caméléon s'intéresse à présent au marché du milieu de gamme en proposant le GeForce GTX 660 Ti.
C'est en septembre 2009 qu'Intel dévoile pour la première fois au public, à l'occasion d'un IDF, une nouvelle interface d'interconnexion alors baptisée LightPeak. Il s'agit pour le fondeur de démontrer qu'il est possible d'offrir des débits bien supérieurs aux interfaces actuelles et notamment face à l'USB 3.0, dont il est pourtant l'un des principaux instigateurs. Et si le projet alors présenté par Intel a pour nom de code LightPeak, c'est en partie parce qu'il est question à l'époque d'utiliser de la fibre optique dans les interconnexions.
Fractal Design, cette marque plutôt anonyme il y a quelques années, est sortie de l'ombre avec l'avènement de son Define R2, puis du R3 : deux boîtiers plébiscités que ce soit par la presse ou par les consommateurs. Aujourd'hui, la marque est associée à une image de constructeur sérieux dont la principale qualité est de fournir des boîtiers axés sur le silence. Le suédois nous revient avec le Define R4, qui prend la succession du R3.
Alors que NVIDIA lançait tout récemment son très haut de gamme GeForce GTX 690, on attendait fort logiquement la réponse du berger à la bergère. En d'autres termes, une carte bi-GPU signée AMD, la fameuse Radeon HD 7990...
Il y a un peu plus d'un an, AMD introduisait Fusion, c'est-à-dire l'association sur un même morceau de silicium du processeur et du cœur graphique. Le concept d'APU (comprendre Accelerated Processing Unit) était enfin matérialisé, et Zacate et Ontario en étaient les deux premiers représentants.
Une semaine après le lancement surprise du GeForce GTX 690, NVIDIA remet le couvert avec le lancement du GeForce GTX 670 !
Après avoir renouvelé en fin d'année dernière sa plate-forme haut de gamme avec le lancement des processeurs Sandy Bridge Extreme, dont le fer de lance reste à ce jour le Core i7 3960X, Intel lève aujourd'hui le voile sur la troisième génération de processeurs Core, jusqu'alors connue sous le nom de code Ivy Bridge.
En même temps que le GeForce GTX 680 que nous testions il y a quelques jours, NVIDIA dévoilait la semaine dernière sa première déclinaison mobile de la nouvelle architecture Kepler, le GeForce GT 640M.
C'était il y a tout juste deux ans, NVIDIA inaugurait son architecture Fermi avec la sortie des GeForce GTX 480. Une carte dont l'architecture massivement parallèle avait séduit, même si à l'époque quelques problématiques de rendement avaient pénalisé la puce vedette de NVIDIA. Il avait du reste fallu attendre la GeForce GTX 580 pour bien mesurer le potentiel de Fermi. Depuis, la firme au caméléon était restée particulièrement discrète et alors qu'AMD enchaînait les déclinaisons de ses Radeon HD 7000, le silence de NVIDIA devenait presque assourdissant.
On ne l'arrête plus ! Après le lancement de Tahiti en toute fin d'année dernière avec les Radeon HD 7970 et 7950, et la sortie plus récente de Cape Verde avec les Radeon HD 7750 et 7770 (voir Radeon HD 7750/7770 : DirectX 11.1 & PCI-Express 3.0 accessibles), AMD remet le couvert et dévoile Pitcairn ! Il s'agit pour la firme de Sunnyvale de proposer les Radeon HD 7850 et 7870, des cartes clairement destinées aux joueurs.
Avec un peu de retard sur le planning d'AMD, nous vous proposons un test des toutes récentes Radeon HD 7770/7750. Une fois n'est pas coutume, votre serviteur s'étalera très brièvement en introduction sur des ennuis de santé qui l'ont quelque peu contrarié dans la bonne exécution de ses tests vis-à-vis des dates de lancement d'AMD. Quoi qu'il en soit, de retour à la verticale, ledit serviteur est dorénavant en mesure de vous proposer un test des Radeon HD 7750/7770 !
Avec Cooler Master, on est plus habitué aux boîtiers dédiés aux joueurs qu'aux produits visant les personnes qui privilégient avant tout le silence. Pourtant, le constructeur s'est déjà essayé à cet exercice : on se souvient du Sileo 500, sorti il y a plus de 2 ans. Dans un domaine où il reste une place à se faire, Cooler Master parviendra-t-il à tirer son épingle du jeu avec son Silencio 550 ?
Alors que le marché du boîtier nous offre depuis quelques temps pléthore de nouveaux modèles, Antec renouvelle sa gamme Hundred, dédiée aux joueurs, avec le Eleven Hundred. Si ce boîtier est très fortement inspiré du très récent P280 de la marque, il entre en concurrence directe avec des modèles comme le Carbide 400R de Corsair.
Après plus de 4 ans d'attente, on n'était plus à quelques mois près. Alors qu'il était pressenti pour la rentrée 2011, il aura finalement fallu attendre le tout début 2012 pour voir enfin apparaître le successeur du Cosmos de Cooler Master, le boîtier très haut de gamme de la marque.
AMD termine l'année en lançant sa toute nouvelle architecture de puce graphique. Pour ce faire, l'ex fondeur de Sunnyvale lève le voile sur son nouveau porte étendard, la Radeon HD 7970. Un an après les Barts et autres Cayman (voir AMD Radeon HD 6850/6870 : le test et AMD Radeon HD 6950/6970: Nouveau haut de gamme DX11), l'arrivée de la famille Southern Island est le fruit de trois années de recherche et développement avec un objectif clair : répondre à la problématique GPGPU en offrant des performances de calcul élevées que ce soit pour la 3D mais aussi pour les applications généralistes.
Fin 2009, la version PC de Batman : Arkham Asylum avait su séduire le grand public comme les joueurs plus technophiles. Il faut dire qu'aux grandes qualités ludiques de l'aventure venaient s'ajouter quelques améliorations graphiques de taille par rapport aux versions consoles. Deux ans plus tard, l'histoire se répète mais accueille un invité supplémentaire, puisque DirectX 11 se joint à la fête. Une fête qui, nous allons le voir, ne se déroule pas toujours aussi bien que prévu.
Après une série Obsidian franchement réussie mais également assez onéreuse, Corsair nous revient avec ses Carbide, dont les prix sont significativement moins élevés que ceux de la précédente série. C'est ainsi que le boîtier que nous testons aujourd'hui, le Carbide 400R, se positionne nettement sous la barre des 100 euros.
Il n'y a pas que sur le PC de bureau que le segment du haut de gamme a son importance. La course à la performance à laquelle se livrent NVIDIA et AMD se déroule également dans le domaine du PC portable.
Les fêtes de fin d'année approchent, et à défaut de nouvelle puce graphique, NVIDIA lance sa désormais presque traditionnelle carte de Noël. L'an dernier, nous avions eu droit à la même période à la GeForce GTX 570, une carte graphique avec un positionnement tarifaire un poil plus abordable que la GeForce GTX 580.
La solution d'affichage stéréoscopique NVIDIA 3D Vision devient aujourd'hui 3D Vision 2. L'essentiel du concept n'a pas changé, aussi nous vous renvoyons au test publié en août 2009 pour la partie technique. Mais il y a bien sûr des évolutions sur lesquelles nous avons décidé de nous focaliser. Au programme, des nouvelles lunettes et la technologie LightBoost, dont doivent être équipés les écrans compatibles. Poudre aux yeux ou réel progrès ? Notre expérience avec le moniteur Asus VG278H.