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Face au recours de plus en plus fréquent à la vidéosurveillance, la CNIL s'inquiète de l'utilisation de nouvelles technologies, parfois intrusives. Elle appelle d'urgence à un débat démocratique, afin que la loi française pose un cadre clair à l'usage de ces nouveaux outils, dans le respect de nos droits et de nos libertés.
L'État de Californie souhaite interdire les mots de passe considérés comme faibles afin que les appareils connectés ne puissent pas être victime d'attaque informatique. Un projet de loi sur le sujet est en cours.
2K a publié hier sur Steam les configurations minimales et recommandées pour la version PC de BioShock 2, toujours prévu pour le 9 février prochain.
Après les acteurs Internet de la musique numérique comme (iTunes), la Fnac (Fnac Music) ou Virgin (Virgin Mega), c'est au tour de l'opérateur mobile SFR d'annoncer la mise en place prochaine d'un kiosque de téléchargement de musiques sans DRM.
Après les acteurs Internet de la musique numérique comme (iTunes), la Fnac (Fnac Music) ou Virgin (Virgin Mega), c'est au tour de l'opérateur mobile SFR d'annoncer la mise en place prochaine d'un kiosque de téléchargement de musiques sans DRM.
La musique numérique devient intéropérable... sur les mobiles également ? En début de semaine, c'est une annonce majeure en provenance de l'une des premières majors de l'industrie musicale, EMI, qui a été faite, pour commercialiser à grande échelle d'ici à la fin de l'année une majorité de musiques numériques non protégées.
La musique numérique devient intéropérable... sur les mobiles également ? En début de semaine, c'est une annonce majeure en provenance de l'une des premières majors de l'industrie musicale, EMI, qui a été faite, pour commercialiser à grande échelle d'ici à la fin de l'année une majorité de musiques numériques non protégées.
Le DRM n'est pas réservé à l'informatique multimédia. L'opérateur mobile français SFR a récemment opté pour le système de gestion des droits numériques de SDC.
Pas de Kazaa sur les téléphones ? A l'occasion d'un colloque organisé à Los Angeles en Californie, l'Open Mobile Alliance a dévoilé ses spécifications OMA DRM 2.0 destinées à sécuriser l'échange de fichiers afin d'anticiper les risques de piratage sur réseaux mobiles.
Si Ubisoft défraie la chronique depuis déjà quelques semaines avec un nouveau système de protection contraignant pour les amateurs de jeux vidéo, il se pourrait que l'éditeur français ne soit pas le seul à emprunter la voie de la « connexion Internet permanente ». Les voisins de JeuxVideo.fr relayent effectivement une information selon laquelle Atari / Namco Bandai pourrait décider d'adopter un système similaire pour les versions PC de Test Drive Unlimited 2 et The Witcher 2 : Assassins Of Kings.
Très en retard sur le planning initialement présenté par Ubisoft, Splinter Cell Conviction devrait nous arriver le 15 avril... au moins sur Xbox 360. Nous savons effectivement depuis déjà quelques semaines que la version PC ne sera pas disponible avant le 29 avril : un décalage que de nombreuses rumeurs ont attribué au nouveau système de protection mis en place par l'éditeur.
Système très impopulaire chez les joueurs PC, le DRM a pourtant été adopté par certains grands éditeurs, parmi lesquels Ubisoft. Problème : les serveurs de l'éditeur ont subi des attaques récurrentes - méchants pirates ! - entraînant une impossibilité de lancer une session de jeu pour un certain nombre de possesseurs de Silent Hunter 5 : Battle Of The Atlantic et Assassin's Creed 2. Une minorité selon les termes d'Ubisoft - à peine 5% des utilisateurs - que l'éditeur prendra soin de dédommager pour la gêne occasionnée.
La mauvaise presse autour de la dernière trouvaille d'Ubisoft en termes de protection anti-piratage se poursuit aujourd'hui avec la décision de Valve de retirer les jeux utilisant le fameux DRM de son catalogue de titres proposés sur Steam. Ce retrait ne serait pour le moment effectif qu'au Royaume Uni, les jeux étant toujours disponibles à l'achat aux États-Unis et en France notamment. Valve ne souhaite pas ternir la réputation de sa plateforme de téléchargement en proposant des jeux qui fonctionnent mal ou qui énervent les joueurs, dit même un anonyme proche de l'industrie PC à nos confrères de CVG.
Le DRM nouvellement créé par Ubisoft pour les versions PC de ses jeux a déjà beaucoup fait parlé de lui. Rappelons rapidement les faits : les jeux comme Assassin's Creed 2 ou Silent Hunter 5 : Battle Of The Atlantic ont besoin d'une connexion Internet permanente pour fonctionner. Le jeu lance un scan régulier et se met en pause en cas de déconnexion prolongée. Si le principe est déjà largement critiquable (jeu sur ordinateur portable ?), sa mise en place ne s'est de plus pas fait sans accrocs. Les multiples plantages du serveur d'Ubisoft censé vérifier les connexions ont empêché pas mal de joueurs (5% selon Ubisoft) de jouer à leurs jeux fraichement acquis. On aurait pu croire que ce système aurait été tué dans l'œuf par toute cette mauvaise presse...
Le nouveau système de protection qu'Ubisoft a mis en place pour les versions PC de ses jeux fait déjà des siennes. Vous l'avez peut-être constaté en essayant de jouer à Assassin's Creed 2 ce week-end : c'est un peu le foutoir du côté de l'éditeur français. Rappelons que ce système révolutionnaire teste régulièrement votre connexion Internet, obligatoire pour jouer. Une coupure et hop, vous voilà repartis au checkpoint précédent dès que votre connexion revient.
A quelques encablures de sa sortie sur PC et Xbox 360 (prévue le 15 avril), Splinter Cell Conviction voit sa configuration minimale détaillée par Ubisoft :
Alors que les Polonais de CD Projekt RED semblent rencontrer quelques problèmes avec The Witcher : Rise Of The White Wolf sur Playstation 3 / Xbox 360, ils reviennent aujourd'hui en « terrain connu » avec la dernière mise à jour pour la mouture PC de leur jeu, The Witcher.
Afin de lutter contre le piratage de leurs œuvres, de nombreux éditeurs de jeux PC ont récemment eu recours à des systèmes de protection pas toujours efficaces, mais surtout de plus en plus contraignants pour l'utilisateur « en règle ».
Comme beaucoup d'autres éditeurs de jeux, Electronic Arts avait choisi de faire confiance aux DRM pour la protection de ses jeux, et notamment à l'imbitable SecuROM, véritable plaie dès qu'il s'agit d'activer son produit pourtant acheté légalement dans le commerce. L'éditeur américain a semble-t-il compris que ce système ne résoudrait pas le problème du piratage (Spore est l'un des titres les plus piratés de 2008) puisqu'il vient d'annoncer que son prochain titre phare, le très attendu Les Sims 3, ne contiendrait aucun DRM. Retour au bon vieux système du code d'activation, certes pas infaillible mais nettement moins contraignant pour l'utilisateur qui a gentiment payé son jeu. On dit merci qui ?
Après le patch relatif à Command & Conquer : Alerte Rouge 3 publiée en tout début de journée (la version 1.08), voici qu'un autre jeu de stratégie temps réel est mis à jour par ses développeurs. En l'occurrence, il s'agit de World In Conflict qui passe en version 1.010.
La transparence est-elle de mise en matière de protections contre la copie ? Plusieurs consommateurs mécontents viennent d'ouvrir, aux États-Unis, une action collective à l'encontre d'Electronic Arts, éditeur du jeu Spore. Ils estiment que l'éditeur n'informe pas correctement les joueurs des protections logicielles qu'il intègre à ses produits pour les protéger contre la copie. Une fois de plus, c'est le système SecuROM qui est visé ici. Rappelons qu'avec Spore, SecuROM permet à EA de limiter le nombre d'activations du jeu à cinq, mais également de ne créer qu'un seul compte utilisateur par exemplaire.
Depuis la sortie de Spore et malgré le gameplay original du titre de Will Wright, c'est surtout le système de protection employé par Electronic Arts qui fait parler de lui. Aujourd'hui, l'éditeur diffuse une première mise à jour, mais si ce patch revient sur différents bugs, il ne semble pas encore question d'assouplir le système de trois activations.
Si la publication des différents tests du dernier jeu de Will Wright a fait couler pas mal d'encre, ce n'est rien en comparaison du tollé provoqué par le système de DRM de Spore. Electronic Arts a effectivement choisi la dernière version de SecuROM pour protéger son jeu, mais lui a aussi attaché une politique de DRM un rien contraignante.
Après avoir défrayé la chronique lors de sa sortie, le système de protection qui a été adossé au très populaire jeu BioShock, dans sa version PC, vient de disparaître. En effet, Bioshock lors de sa sortie en août dernier avait été particulièrement critiqué pour avoir été proposé avec cette protection nommée SecuROM DRM.
Après les MP3, les pirates peuvent-ils s'attaquer aux contenus téléchargeables ? Issue du monde SMS, la société française Netsize annonce un partenariat avec Beep Science pour fournir une solution pan-européenne de gestion des droits pour téléphones mobiles (mobile Digital Right Management).
Plusieurs documents laissent entendre que le fondateur de WikiLeaks Julian Assange a demandé un visa russe en 2010.
Le contrôle de l'usage des smartphones de vos enfants : Google a désormais aussi une application pour ça ! Où quand la firme de Mountain View vient jouer le grand frère chez vous.
Fin 2006, le célèbre hacker DVD Jon annonçait la création de son entreprise, DoubleTwist, et son intention de mettre au point un outil qui serait capable de rendre les fichiers achetés sur l'iTunes Store d'Apple compatible avec n'importe quel baladeur. Il lui aura finalement fallu plus longtemps que prévu pour élaborer ce logiciel, qui nous arrive aujourd'hui en version bêta. Egalement baptisé DoubleTwist, il autorise le contournement des mesures techniques de protection d'Apple, Fairplay, et facilite le transfert de listes de lecture issues d'iTunes vers des baladeurs, ou téléphones mobiles, qui ne sont pas conçus pour fonctionner avec cette plateforme. Enfin, il intègre une dimension communautaire, avec la possibilité d'agréger d'un simple clic ses contacts Facebook puis de partager avec eux des contenus multimédias.
Macrovision vient d'annoncer dans un communiqué de presse avoir signé une série d'accords visant à proposer, sous licence, sa technologie de DRM (Digital Rights Management) à divers services de vidéo en ligne. Netflix, BitTorrent, Movielink, et Instant Media devraient ainsi prochainement recourir à la protection ACP (Analog Copy Protection) de Macrovision.