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L’enceinte connectée Google Home (ou plus récemment Nest Home) est une nouvelle fois pointée du doigt par les internautes soucieux de leur vie privée.
Alors oui. On a eu la même réaction que vous. Google qui lance une application pour se prémunir des publicités dont elle a elle-même vendu le ciblage à des annonceurs. Un petit côté « serpent qui se mord la queue » qui étonne, mais qui s’intègre en réalité très bien dans la nouvelle stratégie publicitaire du géant du Web.
Elle-même visée par une enquête de la Commission européenne sur de potentielles pratiques antitrust, l'entreprise américaine a décidé de se retourner contre l'institution.
Lundi, le gouvernement américain a officiellement demandé à la Federal Communications Commission (FCC) d'établir une réglementation visant à encadrer l'activité des grandes plateformes comme Twitter ou Facebook.
Le régulateur australien de la concurrence a lancé une action en justice contre la firme de Mountain View, accusée d'avoir induit en erreur les consommateurs locaux à des fins de publicité ciblée.
Le Rhodanien, très exposé au sortir du confinement avec l'application StopCovid, est reconduit dans sa mission, et voit même celle-ci s'élargir.
Dans la grande guerre de l’attention qui l’oppose à TikTok ou d’autres applications très populaires, Google a choisi les armes du fourbe. D’après une enquête de The Information, la firme de Mountain View s’accapare les données d’utilisation des applications concurrentes afin de développer ses propres produits.
Mark Thompson a surpris son monde en déclarant, jeudi, qu'une réglementation trop restrictive envers les géants du numérique aurait de fâcheuses conséquences sur les éditeurs.
La Commission nationale de l'informatique et des libertés, qui avait promis de procéder à des vérifications poussées de l'application de suivi de contacts, a annoncé avoir mis en demeure le ministère des Solidarités et de la Santé.
L'avocat général de la Cour de justice de l'Union européenne a tranché, jeudi, en rendant un avis dans lequel il affirme que les différentes plateformes comme YouTube ne sont pas responsables de la mise en ligne illégale, par les utilisateurs, d’œuvres protégées.
La Cour de justice de l'Union européenne a invalidé, jeudi, la décision qui permettait un transfert des données personnelles entre la zone euro et les États-Unis, et provoquait des ingérences dans les droits des citoyens européens.
Une amende record de 600 000 euros infligée au géant américain, forcément insignifiante sur un plan comptable, beaucoup moins sur le plan juridique et moral.
Les sages souhaitent un renforcement de l'arsenal judiciaire visant à combattre la cybercriminalité et rappellent l'importance de cette lutte à l'échelle européenne.
Ciblée par le Bureau européen des unions de consommateurs (BEUC), Google souhaite éviter une enquête de l'Union européenne et serait prête à faire des concessions sur la collecte de données de santé pour y parvenir.
La loi sur la confidentialité des données s'appliquera, dès le mois d'août, aux entreprises, du pays ou non, qui traitent les données d'utilisateurs brésiliens.
Les États-Unis ont officialisé et détaillé les sanctions appliquées à la France, consécutives à la taxation des géants numériques mise en place dans l'hexagone. Mais celles-ci sont suspendues jusqu'à la fin de l'année.
La France fera bien l'objet de sanctions américaines, mais leur exécution attendra tant que l'Hexagone continuera de suspendre sa taxe nationale.
Les sages ont définitivement adopté, mercredi, la proposition de loi visant à encadrer le démarchage téléphonique. Il ne reste plus que l'étape de la promulgation de la loi. Une formalité.
La plus haute autorité du pouvoir judiciaire des États-Unis a confirmé l'interdiction de procéder à des appels automatisés sur les smartphones. Une mauvaise nouvelle pour le télémarketing et le monde de la politique, à quelques mois des élections présidentielles américaines.
L'ONG Privacy International a déposé une réclamation à l'encontre du site web français dédié à la santé, pour plusieurs motifs, déjà énoncés lors d'un rapport publié en septembre 2019, qui n'a visiblement pas provoqué les réactions escomptées.
La Cour suprême des États-Unis considère que le site néerlandais ne constitue pas un nom générique, mais bien une marque à part entière.
Le « Google chinois », entreprise leader dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA) rejoint le groupe de protection des logiciels libres et de Linux, l’Open Invention Network.
La haute juridiction administrative s'est prononcée contre l'utilisation de caméras thermiques au sein d'établissements scolaires, estimant que le droit au respect de la vie privée n'est pas pleinement assuré par la technologie.
Le texte, qui doit permettre d'encadrer le travail des enfants dits "influenceurs", a été adopté par les deux assemblées en première lecture.
Les sénateurs proposent une feuille de route visant à sensibiliser les autorités et acteurs économiques sur l'impact grandissant et inquiétant du numérique sur l'environnement.
La Commission européenne a livré son ressenti sur les deux premières années d'exploitation du RGPD. Avec un bilan tout à fait encourageant pour l'institution.
La rencontre, virtuelle, aidera à déterminer si une plainte collective est déposée à l'encontre du géant américain, ou si chaque État déposera la sienne, en plus de celle du ministère.
La marque à la pomme cible les mouchards publicitaires, ajoute un nouveau bouton « privacy » dans Safari et permet désormais la géolocalisation approximative.
La juridiction administrative suprême estime que le gendarme des données ne peut pas légalement interdire les « cookie walls ».