- Participez aux discussions
- Recevez des notifications
© Pixabay Les deux associations plaidaient leur cause devant le tribunal administratif de Marseille, ce lundi. Le sort de leur requête pourrait leur être favorable.
© Pixabay La Ligue des droits de l'Homme et La Quatradure du Net ont déposé une requête devant le tribunal administratif de Marseille visant à faire suspendre le dispositif.
© Cliff Owen / AP L'horloge de l'apocalypse est désormais au plus près de minuit depuis sa création par les directeurs du Bulletin of the Atomic Scientists en 1947. La multiplication de fausses informations et la course aux armements spatiaux ont conduit les scientifiques à la placer à 100 secondes de l'heure fatidique.
La télévision pourrait bientôt être autorisée à diffuser davantage de films sur ses chaînes en clair. La réforme de l'audiovisuel prévoit en effet de lever l'interdiction actuelle, qui empêche les diffuseurs de programmer des œuvres de cinéma certains jours de la semaine. Y aura-t-il, dès lors, davantage de films proposés sur petit écran ? Rien n'est moins sûr.
Soucieux que des processeurs TSMC fabriqués en Chine ne se retrouvent dans des appareils ou du matériel voués à ses militaires, les États-Unis enjoignent le fondeur taïwanais à délocaliser une part de sa production sur le sol américain.
Le secrétaire d'État américain s'est exprimé hier devant des centaines d'entreprises de la tech, à San Francisco. En avançant des principes éthiques, il a exhorté la Silicon Valley à tourner sept fois son stylo dans sa poche avant de signer des accords avec des partenaires chinois.
Les États-Unis ont annoncé vendredi 3 janvier une nouvelle mesure visant à restreindre l'export de ses logiciels basés sur l'intelligence artificielle. Après la guerre commerciale qui a touché le Chinois Huawei, et l'annonce de la Chine du retrait des logiciels étrangers de son administration, cette mesure constitue un nouveau signe des tensions qui existent entre les deux pays.
© Shutterstock Dans sa joute contre l'Iran, Donald Trump fait cavalier seul, et son fidèle destrier est une fois de plus Twitter. Après avoir exacerbé les tensions avec Téhéran en ordonnant l'élimination du général iranien Quassem Soleimani, le Président Trump fait savoir au Congrès que le meilleur moyen de se tenir informé de la situation... est de le suivre sur le réseau social.
Les autorités russes ont procédé à des exercices ce lundi 23 décembre et ont annoncé que le réseau fonctionne correctement. La Russie pourrait donc à l'avenir suivre l'exemple de la Chine et proposer un Internet surveillé et censuré par le gouvernement.
Une interview de la figure de l'indépendantisme catalan pour la chaîne russe RT a été diffusée en direct sur la web TV d'une chaîne espagnole piratée.
© Alexandros Michailidis / Shutterstock.com
Nouvel épisode dans la série des tensions entre les Etats-Unis et la Chine. Pékin a en effet annoncé vouloir retirer tous les logiciels et ordinateurs étrangers de son administration. La décision doit être appliquée sur trois ans, par étapes, et remplacer progressivement les appareils et logiciels ciblés par des équivalents chinois.
Le réseau social Tiktok a officiellement présenté ses excuses après avoir banni le compte de l'utilisatrice @getmefamousplzsir. Celle-ci a diffusé il y a quelques jours une vidéo montrant les persécutions de la communauté ouïghoure musulmane en Chine.
Les autorités iraniennes ont souhaité étouffer les protestations de la population, qui se plaint de la hausse des prix du carburant. Les réseaux fixes et mobiles sont concernés par cette fermeture.
© Joel Mott / Unsplash L'affaire devrait faire jurisprudence. La cour fédérale de Boston (Massachusetts) a statué ce mardi que les douanes américaines ne peuvent fouiller, en l'absence de « suspicion raisonnable », les ordinateurs et smartphones des personnes arrivant aux États-Unis.
© Mhrezaa / Unsplash En Irak, se connecter au Web risque de devenir compliqué. En réponse aux manifestations anti-gouvernementales en cours, les autorités locales ont bloqué Internet dans l'essentiel du pays.
L'ONG Freedom House s'est penchée sur l'étendue de la liberté sur Internet dans différents pays du monde. Au-delà du recul observé dans plusieurs États, l'association s'est alarmée de la propension croissante des gouvernements à employer la propagande pour manipuler l'opinion publique.
De nombreuses voix s'élèvent au Royaume-Uni pour demander aux plateformes web de suspendre les publicités politiques en vue du prochain scrutin législatif qui aura lieu dans un peu plus de cinq semaines.
En août 2018, Le Monde rapportait via l'AFP que la Chine détiendrait un million de Ouïghours dans des « camps d'internement ».
Bruno Le Maire (© Alexandros Michailidis / Shutterstock.com)
(© Alexandre Boero pour Clubic)
Le président vénézuelien Nicolas Maduro, le 18 septembre 2018 à Caracas © AFP/Federico PARRA
Valérie Pécresse, Présidente de la région Île-de-France, a annoncé le lancement d'une nouvelle application mobile, en 2020, qui mettra en avant toutes les alternatives de transport à la voiture individuelle. Et il sera possible d'y acheter directement ses titres de transport.
La Russie et la Chine s'apprêtent à signer un traité de coopération visant à lutter contre les contenus illégaux sur Internet. Celui-ci s'apparente à la mise en place d'un organisme de contrôle des communications russes. Différentes critiques pointent l'initiative comme une nouvelle méthode de censure sur le Net.
Sur son blog, Microsoft accuse des hackers iraniens d'avoir conduit des attaques visant la campagne présidentielle américaine.
Le département du Commerce des États-Unis a placé huit nouvelles entreprises et vingt agences chinoises sur sa liste noire. Mais cette fois, le gouvernement américain ne brandit pas l'argument de la sécurité nationale, mais celui de la défense des droits de l'Homme.
Alors que le droit voisin pour les éditeurs de presse s'appliquera en France à partir de la fin du mois, Google a affiché son opposition à la réforme. Une position qui ne plaît pas au chef de l'État français, qui a clairement exprimé son désaccord avec le géant américain.
L'État américain de l'Ohio est revenu sur son innovation. Moins d'un an après avoir lancé un service permettant aux entreprises de régler leurs impôts en Bitcoins, il a finalement décidé de suspendre le site dédié à cette opération. Principalement pour des raisons juridiques, mais aussi à cause du manque de succès rencontré par la plateforme.
© Pixabay La cité des Ducs a été sacrée capitale européenne de l'innovation 2019, pour sa capacité à exploiter l'innovation pour améliorer le quotidien de ses habitants.