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Suite à la décision de justice rendue par la cour fédérale de Tyler au Texas dans l'affaire qui oppose Microsoft à VirnetX Holding Corporation, l'éditeur de Redmond annonce dans un communiqué qu'elle effectuera un versement de 200 millions de dollars pour obtenir les droits d'utilisation de technologies protégées par des droits de propriété intellectuelle.
BSA, l'association internationale qui représente les intérêts des éditeurs de logiciels, annonce que pour l'année 2009, le piratage aurait couté 51,4 milliards de dollars à l'industrie en 2009.
Dans l'une de ses dernières dépêches Reuters rapporte que le géant du web Google a demandé à un juge de la cour de Californie d'être blanchi dans le cas où son moteur de recherche pointerait vers un lien de téléchargement d'un fichier illégal hébergé sur le site Rapidshare.
Le groupe américain est pointé du doigt au sujet de sa politique en matière de DRM sur les contenus musicaux. Des acheteurs américains d'iPod estiment qu'Apple s'est bâti un monopole en empêchant de lire ces musiques sur d'autres appareils.
La fondation Mozilla a finalement décidé d'embarquer le standard du W3C afin d'assurer la prise en charge des DRM sur Internet. Ces travaux ont été réalisés avec Adobe.
« Le photocopillage tue le livre. » D'aucuns diraient que le DRM 1 aussi. De nombreux acheteurs mal avisés de la Fnac pourraient effectivement faire les frais d'un verrou numérique inattendu, comme l'a relaté ce week-end un blogueur agacé, invitant pour l'occasion les consommateurs lésés à pirater leurs propres achats.
Attendue par de nombreux consommateurs et perçue par l'industrie du disque comme le moyen de dynamiser le marché de la musique numérique, la commercialisation de morceaux sans mesures techniques de protection doit-elle s'accompagner de pratiques douteuses, comme l'inscription dans le fichier d'informations personnelles relatives à l'utilisateur, à l'insu de ce dernier ? Lancée le 30 mai dernier, l'offre iTunes Plus permet d'accéder à la majeure partie du catalogue d'EMI dans un format dépourvu de DRM (Digital Rights Management). Divers observateurs ont rapidement découvert que ces morceaux, commercialisés au format M4A (AAC), ou MPEG-4 Audio, contenaient le prénom, le nom et l'adresse email du détenteur du compte iTunes utilisé à l'achat.
Alors que de nombreux services de téléchargement de musique s'orientent vers les formats sans DRM, d'autres s'essayent à la vidéo. De son côté, le service anglais ilovevideo.com a décidé de concilier les deux.
Hier nous évoquions l'arrivée d'un premier album sans DRM (ou verrou numérique) au format AAC 256 kbits/seconde sur le service de vente de musique d'Apple : iTunes (voir iTunes : des musiques sans DRM à 0,99 euro). En réalité, notre découverte n'était ni plus, ni moins que les prémices d'une annonce qui s'officialise aujourd'hui.
Une partie du catalogue d'EMI sera bien proposée à la vente sans mesures techniques de protection sur l'iTunes Store. L'annonce a été confirmée en début d'après-midi par Eric Nicoli, PDG d'EMI, et Steve Jobs, PDG d'Apple, lors d'une conférence de presse. Les morceaux concernés par cette offre seront commercialisés au format AAC, encodés à 256 Kbit/s, dès le mois de mai prochain, à un prix légèrement supérieur aux tarifs actuellement pratiqués sur l'iTunes Store. Le prix de la liberté ?
Faute de réponse satisfaisante à un ultimatum formulé fin septembre, une association de consommateurs norvégienne s'apprête à trainer Apple devant le Conseil du marché, équivalent local du Conseil de la concurrence, de façon à obtenir que la firme cesse d'utiliser des mesures techniques de protection au sein de sa plateforme de distribution numérique, l'iTunes Store. Cette association, Forbrukerombudet, estime qu'Apple fausse le marché avec ses DRM, qui impliquent que les morceaux achetés sur iTunes ne peuvent être lus sur un autre baladeur que les iPod.
Si les offres de téléchargements musicaux sans DRM se multiplient, les studios d'Hollywood ne sont pas prêts à lâcher cette protection numérique... bien au contraire! Pour cette raison, Sony entend universaliser les DRM afin de simplifier le processus à la fois pour l'utilisateur et pour les distributeurs.
Les DRM, ces verrous numériques apposés à du contenu protégé par droits d'auteurs, deviennent de moins en moins populaires. C'est ainsi qu'en janvier dernier, Apple a décidé de les retirer sur ces chansons commercialisées via son logiciel iTunes. De son côté Microsoft y croit dur comme fer ; la firme vient en effet d'obtenir les droits d'un brevet décrivant un système de gestion de DRM fonctionnant sur les réseaux peer-to-peer.
Avec quelques mois de retard sur l'INA ou Dailymotion qui multiplient les solutions de protection des contenus, Google France vient d'annoncer que la solution Content ID, une mesure technique de protection (MTP ou DRM en anglais) conçue pour Youtube, venait d'être adoptée par six grands studios et laboratoires audiovisuels français : CMC, Cognacq Jay Image, Éclair Group, Quinta Industries, MPOeMedia et VDM.
Alors que le Sénat entamera aujourd'hui l'examen du projet de loi « Création et Internet », la maison de disques Universal prend les devants, et évoque, via le Figaro, son intention d'abandonner les mesures techniques de protection qui pourraient se révéler bloquantes pour l'utilisateur final. Dans le cadre des accords de l'Elysée, signés en novembre 2007, les producteurs et maisons de disque avaient pris l'engagement d'abandonner ces verrous anti-copie au plus tard un an après le passage de la loi. Tous, ou presque, ont déjà entamé la levée partielle des DRM, comme Universal qui en septembre dernier annonçait la distribution de son catalogue au format MP3 sur la plateforme anglaise 7digital.
Steve Jobs, le patron d'Apple, a finalement été entendu par les principales maisons de disque pour enrichir son catalogue de musiques numériques dépourvues de mesures techniques de protection (DRM) accessible depuis le service « iTunes Plus ». Il s'agit de la plateforme d'achat de musiques sans DRM depuis le logiciel iTunes (PC et Mac) ou depuis un iPod Touch et un iPhone (v1 ou 3G).
Vodeo.tv, service de vidéo à la demande (VOD) spécialisé dans les documentaires et les reportages, a mis en ligne la semaine dernière une nouvelle version de son site Web, et annonce pour l'occasion le passage d'une partie de son catalogue au format DivX, sans le moindre verrou numérique (DRM, ou Digital Right Management). Ils sont nombreux à penser que les DRM constituaient le principal frein au développement du marché de la musique numérique. En irait-il de même pour la vidéo à la demande (VOD), un secteur dans lequel l'offre est systématiquement protégée par le système de gestion des droits de Microsoft ?
Disponible aux Etats-Unis depuis quelques temps et remportant un franc succès, le service payant et légal de téléchargement de musique « sans DRM ajouté », eMusic (voir la brève eMusic : succès pour la vente de musique sans DRM), débarque désormais en Europe. Pour rappel, cette plateforme de téléchargement des morceaux au format MP3 qui présentent l'insigne particularité de ne pas être munis de protections contre la copie non autorisée (les tristement célèbres DRM). Ces fichiers peuvent donc être lus, sans le moindre problème, sur le baladeur de votre choix, qu'il soit siglé d'une pomme ou estampillé PlaysForSure.
Dans une entrevue accordée à PCWorld, Ashwin Navin (voir photo ci-contre), le co-fondateur de la technologie d'échange de fichiers Peer To Peer et président de la firme du même nom expose son point de vue sur les verrous numériques (ou DRM).
A l'image de l'initiative française Stopdrm.info, le mouvement Defective By Design est lancé aux Etats-Unis, sa première cible : le forum WinHEC à Seattle.
Les mesures techniques de protection, généralement regroupées sous l'acronyme DRM, pour Digital Rights Management, se sont tout d'abord imposées comme la norme en matière de musique en ligne. Le vent serait-il en train de tourner ? Alors qu'un service comme eMusic, qui se fait fort de vendre des fichiers au format MP3 dépourvus de protections contre la copie, fait grand bruit (voir eMusic : la musique sans DRM arrive en Europe), ! a annoncé aujourd'hui son intention de suivre la même voie avec le dernier album de Jesse McCartney, Right Where You Want Me.
Sous ce titre - que les partisans de Linux jugeront peut-être un brin provocant - se cache une question relativement sérieuse, soulevée par un responsable de RealNetworks à l'occasion du salon LinuxWorld, qui se tient en ce moment à Boston. Jeff Ayars, dont les propos nous sont rapportés par une journaliste de ZDNet UK, est vice-président de RealNetworks. Mardi, il aurait affirmé lors d'un débat à LinuxWorld que si Linux ne se mettait pas à offrir le support des DRM (mesures techniques de protection contre la copie), il se condamnait à rester cantonné à l'univers des serveurs.
A l'appel d'associations, quelques centaines de personnes ont manifesté dimanche pour protester contre le projet de loi DADVSI et la mise en œuvre des DRM
L'association parisienne se prononce pour le remplacement des solutions de gestion des droits numériques par un système de traçabilité à identifiant unique.
Cinq firmes se sont associées pour faciliter l'interaction et l'interopérabilité des DRM (Digital Right Management - protection technologique qui permet de contrôler la distribution et l'utilisation des contenus numériques pour assurer le respect des droits d'auteur).
Linus Torvalds estime que le chapitre 'anti-DRM' inclus à la première ébauche de licence publique générale (GPL) version 3, n'est pas adapté au noyau Linux.
Ce n'est une surprise pour personne, le nombre de produits capables de prendre en charge les contenus numériques accompagnés de protection contre le piratage et offrant un contrôle sur la manipulation de ces contenus, va être de plus en plus important dans les mois à venir.
Face au couple iTunes / iPod d'Apple, Napster dévoile une nouvelle fonctionnalité pour sécuriser les transferts vers les baladeurs avec Windows Media DRM 10
Les développeurs des protections MacroVision, qui s'occupent notamment de proposer de nouvelles protections pour les CD-Audio seraient sur le point de réussir à obtenir une licence DRM (Digital Right Management) FairPlay auprès d'Apple.