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Des contenus téléchargés légalement en quelques clics
Le « (tout) petit client BitTorrent » peut d'ores et déjà s'alourdir de multiples extensions, parmi lesquelles on trouve notamment un antivirus « VirusGuard » de BitDefender, l'outil de partage « Torrent Tweet », un moteur de recherche de torrents « µBrowse », ou encore « µMap » qui permet de représenter sur une carte l'emplacement des pairs avec lesquels un internaute est en relation.
« Vodo » et « Ted » offrent un catalogue de films ou vidéos sous licence libre, tandis que « ClearBits » se concentre sur la musique et « Outspark » ou « Raptr » sur le jeu vidéo.
D'autres apps, comme le trieur de musique « TuneUp » ou le jeu vidéo « Tetronimoes », sont enfin moins étroitement liées au populaire protocole pair à pair.
L'« App Studio » concrétise enfin un projet de longue date. Il a le mérite de mettre en avant les usages légitimes qu'on peut faire d'un client BitTorrent comme µTorrent, au détriment toutefois de l'une de ses principales qualités : sa grande sobriété.
Divers correctifs et nouveautés
« µTorrent 2.2 » apporte en outre son lot de correctifs et de nouveautés.
- Nouvelle option permettant d'interrompre les téléchargements dès qu'une activité utilisateur est détectée.
- La boite de dialogue de nouveau téléchargement peut désormais s'afficher pour les liens magnétiques.
- La fonction de déplacement des téléchargements achevés a été améliorée.
- Nouvelle fonction d'exécution d'une commande au terme d'un téléchargement.
- Correction de la confidentialité avec un proxy.
- Nouveau format pour la personnalisation de l'interface (skin).
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique. Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit. Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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Avertissement :
Bien que le téléchargement (direct ou en P2P) ne soit pas illégal en soi, il est interdit de télécharger des œuvres protégées par le droit d'auteur ou d’autres droits de propriété intellectuelle sans l’autorisation des titulaires de ces droits. Clubic recommande expressément aux utilisateurs de son site et aux tiers de respecter scrupuleusement ces droits ; étant rappelé qu’en France la violation des droits d’auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d’une peine de 300 000 euros d’amende et de 3 ans d'emprisonnement (art. L. 335-2 s. CPI) et qu’il existe également des sanctions spécifiques en cas de contournement de mesures techniques de protection (art. L. 335-3-1 et L.335-3-2 CPI). En outre, le titulaire de l’abonnement à internet doit veiller à l’usage licite de sa connexion, sauf à s’exposer au risque de contravention de négligence caractérisée sanctionnée par une peine d’amende de 1 500 € pour les personnes physiques. En cas d’utilisation d’un logiciel P2P pour télécharger ou mettre à disposition des œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation, le titulaire de la connexion à internet pourra être destinataire de recommandations de l’Arcom et, en cas de constats répétés, être poursuivi sur le fondement de la contravention de négligence caractérisée. Plus d'informations sur le téléchargement illégal
Bien que le téléchargement (direct ou en P2P) ne soit pas illégal en soi, il est interdit de télécharger des œuvres protégées par le droit d'auteur ou d’autres droits de propriété intellectuelle sans l’autorisation des titulaires de ces droits. Clubic recommande expressément aux utilisateurs de son site et aux tiers de respecter scrupuleusement ces droits ; étant rappelé qu’en France la violation des droits d’auteurs est constitutive du délit de contrefaçon puni d’une peine de 300 000 euros d’amende et de 3 ans d'emprisonnement (art. L. 335-2 s. CPI) et qu’il existe également des sanctions spécifiques en cas de contournement de mesures techniques de protection (art. L. 335-3-1 et L.335-3-2 CPI). En outre, le titulaire de l’abonnement à internet doit veiller à l’usage licite de sa connexion, sauf à s’exposer au risque de contravention de négligence caractérisée sanctionnée par une peine d’amende de 1 500 € pour les personnes physiques. En cas d’utilisation d’un logiciel P2P pour télécharger ou mettre à disposition des œuvres protégées par le droit d’auteur, sans autorisation, le titulaire de la connexion à internet pourra être destinataire de recommandations de l’Arcom et, en cas de constats répétés, être poursuivi sur le fondement de la contravention de négligence caractérisée. Plus d'informations sur le téléchargement illégal
