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Nouveau rebondissement dans le scandale Cambridge Analytica : Facebook a admis que ses robots analysaient et indexaient le contenu des messages privés échangés par les utilisateurs du réseau social sur Messenger. Dans le même temps, l'entreprise a également reconnu avoir effacé certains messages compromettants de Mark Zuckerberg, son patron et fondateur, lors du scandale du hack des serveurs de Sony Pictures...
Après avoir reçu plusieurs plaintes d'habitants de l'Illinois contre l'usage de la reconnaissance faciale, Facebook doit désormais faire face aux réticences des organismes de protections des données personnelles en Europe.
À l'instar des purs moteurs ou de son concurrent Facebook, Twitter a planché sur l'amélioration de ses outils de recherche, qui disposent désormais d'un module de complétion automatique de la requête capable de suggérer une orthographe alternative, d'associer un pseudonyme à un nom réel et même d'affiner les suggestions en fonction de l'utilisateur final.
La Turquie a bloqué Twitter jeudi soir dans le pays, après la publication sur les réseaux sociaux d'enregistrements de conversations téléphoniques mettant en cause le gouvernement. La plateforme propose une alternative par SMS.
Vine a publié samedi une mise à jour de son application Android, qui s'aligne sur la version iPhone mais aussi sur Instagram.
Ce n'est pas Google+, mais bien Circle HackGoogle+ et Facebook, la gueguerre de l'été ? A peine le nouveau réseau social de la firme de Moutain View dévoilé, le site communautaire aux 750 millions de comptes cherche visiblement un moyen de contrer ce nouveau concurrent ambitieux, via une annonce qui aura lieu le 6 juillet prochain. A côté de cela, quatre ingénieurs de l'entreprise de Mark Zuckerberg ont mis au point une application permettant d'organiser ses amis via des cercles, copiant ainsi l'un des atouts de Google+.
En dévoilant hier soir la nouvelle version de son système Open Graph, Facebook a dévoilé par la même occasion sa volonté d'étendre sa présence au-delà même d'Internet, pour s'immiscer davantage dans le quotidien de ses utilisateurs. Une ambition qui, si elle a des avantages pour tous les acteurs de cette aventure - partenaires comme membres actifs du site - présente également un danger : celui d'une trop grande centralisation des données.
Pour implanter son premier datacenter en dehors des Etats-Unis, le réseau social Facebook a choisi la ville de Lulea, au nord de la Suède. Un choix géographique qui, en plus de placer ce nouveau centre de données en Europe, le place également à une centaine de kilomètre du cercle arctique.
Facebook teste actuellement sur un nombre restreint de ses membres un nouvel affichage de l'entête de sa Timeline. L'objectif semble être de compresser davantage les informations concernant l'utilisateur, pour un affichage plus réduit.
Comme un symbole, David Wehner, directeur financier de Zynga - société dans la tourmente sur le plan financier et boursier - va rejoindre Facebook, le principal vecteur de revenus pour l'éditeur de jeux.
Avec 350 millions de photos envoyées chaque jour sur sa plateforme, Facebook cherche actuellement à optimiser le stockage de tels fichiers, en particulier ceux qui sont peu consultés par ses membres. Le réseau social compte installer des serveurs dédiés aux photos « mal-aimées » dans son datacenter de Prineville, en Oregon.
Pour la première fois depuis son entrée en bourse, le titre Facebook a dépassé ce mercredi en séance son cours d'introduction, fixé à 38,22 dollars - même si le titre a ensuite concédé 2,6% à 36,6 dollars. Le réseau social est récompensé de la progression fulgurante de ses revenus mobiles.
Mise à jour : Plusieurs lecteurs nous ont rapporté avoir été confrontés au message annonçant la désactivation de la fonction décrite dans notre news. Nous l'avons constaté également mardi matin, ce qui signifie que la communauté francophone est actuellement concernée par l'initiative de Facebook. Les utilisateurs du réseau social se retrouveront, si ce n'est déjà fait, confrontés au message ci-dessous sur leur page de flux d'actu dans les prochains jours. A noter que la fonctionnalité se désactivera dans tous les cas, qu'ils choisissent ou non de cliquer sur OK.
Aucun adepte de Facebook n'a pu passer à côté du nouveau phénomène qui déferle depuis peu sur la plateforme : Bitstrips, une application qui permet de réaliser des cases de bande dessinée personnalisée. Certains sont enchantés, d'autres, prodigieusement agacés.
Après s'être attaqué au SMS, avec son application voire avec sa plateforme Messenger, Facebook pourrait s'attaquer, ou plutôt s'immiscer, dans les appels téléphoniques.
Une bande dessinée anodine relatant une anecdote arrivée à un internaute a déchaîné les passions sur le site communautaire Reddit : un homme s'étant amusé à tester un test de grossesse et ayant obtenu un résultat positif s'est vu mettre en garde contre un risque de cancer. Après contrôle, il était bien malade.
Après avoir rendue la Timeline, la nouvelle version du profil utilisateur, disponible pour tous, et mis à jour les applications iPhone et Android, Facebook s'apprête à actualiser l'app iPad pour que cette dernière prenne également en charge le nouvel affichage.
Après des mois de rumeurs et de spéculations, Facebook officialise enfin deux de ses projets : d'une part l'application iPad du réseau social, de l'autre sa plateforme Web mobile améliorée, longtemps connue sous le nom de Projet Spartan.
Attaqué de toute part y compris personnellement, le fondateur et CEO de Facebook a posté un message sur son profil après Yom Kippour, demandant pardon pour l'utilisation abusive, principalement politique, de Facebook durant l'année qui vient de s'écouler.
Si vous utilisez Messenger, vous vous êtes sans doute aperçu qu'au fil des mois, il s'est doté de nouvelles fonctionnalités au sein même de l'application. Lors de sa conférence F8, Facebook a annoncé plusieurs nouveautés que vous verrez bientôt apparaître sur Messenger.
Le réseau social de Mark Zuckerberg a surpris ses utilisateurs américains, du moins une toute partie d'entre eux, avec une nouvelle fonctionnalité apparue sur l'application mobile : un bouton appelé « Downvote ». Un test confirmé par Facebook qui pourrait ouvrir la voie au largement réclamé bouton « Dislike » dont Facebook ne veut pas entendre parler.
Facebook a l'habitude de prendre le meilleur des idées des autres et de les transformer en un outil pour son réseau social. Le succès de cette technique, au-delà des critiques, reste mitigé. Mais la dernière fonctionnalité qu'est en train de tester le réseau social de Mark Zuckerberg risque, si elle est déployée, d'être très gênante.
Saviez-vous que laisser votre ancien numéro de téléphone dans votre compte Facebook peut vous coûter cher ? Une combine simple et parfaitement légale peut vous priver d'accès au plus grand réseau social.
Certains utilisateurs de l'application Facebook pour iOS peuvent désormais créer des GIF animés à partir de la caméra.
C'est la signature de Facebook et il est utilisé par l'ensemble des 2 milliards d'utilisateurs du réseau social : le bouton "Like". Véritable phénomène de société, il n'a pas de penchant négatif et ce, malgré les nombreuses demandes de la part des inscrits. Facebook a toujours clamé qu'il n'instaurerait pas de bouton "Dislike".
Des lunettes pour filmer des vidéos, comme si vous y étiez, et les partager instantanément avec vos amis ? C'est le pari de Snapchat avec ses lunettes « Spectacles », dont les ventes ont débuté en novembre 2016.
Dans le Maryland, aux Etats-Unis, un internaute contrarié par les tweets d'un journaliste épileptique critiquant Donald Trump, a décidé d'envoyer par le biais de Twitter une image stroboscopique à ce dernier, afin de déclencher chez lui une crise d'épilepsie.
Mark Zuckerberg, cofondateur et PDG de Facebook, commencerait-il à ne plus être aimé par ses actionnaires ? Si les résultats du plus gros réseau social du monde sont excellents, le groupe enchaîne les records et les bénéfices, certains actionnaires s'inquiètent de la suprématie du PDG sur l'entreprise.
Accusé, durant la campagne présidentielle américaine, d'avoir été le lieu de partage et propagation de fausses informations qui auraient permis, entre autres, l'ascension de Donald Trump, Facebook a réagi. Il a annoncé un projet majeur pour réduire le risque que des fausses informations deviennent virales sur le réseau social.