En pleine crise du coronavirus, Twitter fait ce qu'il peut pour lutter contre la désinformation. Outre la mise en place de modérateurs experts en santé, la plateforme a entamé la suppression de messages comportant de fausses informations, y compris lorsqu'elles sont postées par des personnalités publiques.

[H2]Discuter gratuitement avec ses amis sur ordinateurs et mobiles[/H2] Largement utilisée en France durant la période de confinement due à l’épidémie de COVID-19, <b>Houseparty</b> est une application iOS permettant de discuter en audio et en vidéo avec ses contacts. L’application est aussi disponible sous Android et sous la forme d’une extension Chrome pour une utilisation sur PC Windows, macOS et Linux. Développée depuis 2016 et détenue par les créateurs de Fortnite par Epic Games depuis 2019, l’application permet d’organiser des discussions vidéo au sein de salons virtuels pouvant accueillir un maximum de 8 participants. Le nombre de sessions et leur durée sont illimités et l’application ne propose pas de compte Premium ni de publicités. Seuls certains jeux nécessitent de passer la main au portefeuille. [[PIC_1785064]] [H2]Inscription et importation des contacts[/H2] L’inscription à Houseparty s’effectue pare-mail et ne propose pas la création d’un profil à partir d’un compte Google ou d’un réseau social. Une fois l’inscription effectuée, la recherche de contacts peut se faire via le numéro de téléphone, grâce aux contacts du répertoire ou via l’importation des contacts Facebook. Une fois ces étapes réalisées, des autorisations sont nécessaires pour permettre l’accès au microphone à la caméra ainsi qu’à la géolocalisation de l’appareil pour trouver des contacts à proximité. [H2]Ses fonctionnalités[/H2] Houseparty pour iOS permet donc d’organiser des discussions audio et vidéo avec un maximum de 8 personnes, gratuitement et sans limite de temps. Lorsque l’utilisateur se connecte à l’application, il est automatiquement dans un salon virtuel personnel dans lequel il peut inviter ses amis ou les membres de sa famille à discuter. Via les notifications, l’application informe dès qu’un contact se connecte. Il est important de noter l’intégration d’une fonction de verrouillage du salon pour ne pas permettre à tous les contacts d’entrer subitement dans le salon, une option à recommandé dans les premiers temps. Outre le chat audio et vidéo en groupe, l’application propose l’envoi d’un <i>Facemail</i>, un message vidéo à enregistrer en solo ou en groupe, et à envoyer à ses contacts. Alors qu’il est indisponible sous Android, le partage d’écran permet de partager d’autres applications iOS avec ses contacts en ligne. [[PIC_1785067]] [H2]Discuter et jouer à plusieurs[/H2] Dédiée au grand public, l’application Houseparty propose 4 jeux pour s’amuser à 8 et s’imposer des défis et des gages à distance. Toutefois, ils sont intégralement en anglais : <ul><li>- <b>Heads Up !</b>, ou le jeu du post-it dans lequel le nom de la célébrité, d’une marque ou d’une œuvre est assigné à une personne qui doit demander des indices aux autres personnes pour le deviner dans le temps imparti. </li> <li>- <b>Chips and Guac</b> : jouable à partir de trois personnes, le but du jeu est de choisir des expressions et des mots qui colle le mieux à une définition. L’assemblage le plus loufoque gagne. </li> <li>- <b>Trivia</b> est un quizz classique qui propose de nombreuses thématiques gratuites… mais toutes en anglais.</li> <li>- <b>Quick Draw !</b> est un jeu de dessin dans lequel une personne doit faire deviner un animal, un objet ou un lieu aux autres contacts dans un temps imparti. </li></ul> Notons cependant quelques bugs et problèmes d’affichage pour certains jeux lors de nos tests. [H2]Une application peu ergonomique[/H2] Si les bugs sont moins fréquents que sous Android, la stabilité de certains jeux peut couper court à certaines discussions qui devront être relancées. Autre bémol et pas des moindres, l’interface est pour le moment uniquement en français, et ce, sur toutes les plateformes. Toutefois, Houseparty pour iOS est une simple à prendre en main et permet d’organiser des discussions audio et vidéo en toute simplicité.

Accessible via une extension Chrome et sous Android et iOS, Houseparty est une application permettant d'organiser des chat vidéo en groupe de 8 personnes maximum.

La crise du coronavirus pèse sur la firme de Mark Zuckerberg, qui constate une baisse de ses revenus publicitaires, qui tranche avec le temps passé par ses utilisateurs sur le réseau social.

Twitter souhaite permettre aux professionnels de santé de disposer, au plus vite, d'un compte certifié sur son réseau.

Le réseau social au petit oiseau bleu voit certains annonceurs le fuir, avec un gain d'abonnés significatif en contrepartie.

Ambitionnant toujours de fusionner — un jour — ses plateformes de messagerie, Facebook testerait sur WhatsApp et Instagram une fonctionnalité permettant d'autodétruire ses messages.

Alors que les réseaux sociaux ont conjointement décidé de muscler leur modération contre les fake news liées au coronavirus, Elon Musk continue de publier des informations pour le moins douteuses. Mais Twitter préfère fermer les yeux. Certains utilisateurs seraient-ils intouchables ?

Dans un communiqué commun, les principaux réseaux sociaux ont annoncé une lutte commune contre la désinformation autour du nouveau coronavirus.

Facebook serait-il à cran lorsqu'il s'agit de modérer l'afflux de fake news ayant pour objet le Covid-19 ? C'est en tout cas l'avis de nombreux utilisateurs, qui se sont vus supprimer des publications parfaitement légitimes.

« Le temps de réponse peut être allongé, et davantage d'erreurs pourront être commises », s'excuse d'avance Facebook dans un communiqué publié suite à la fermeture des agences s'occupant pour lui de la modération des contenus.

Le réseau social a fait le choix de livrer des versions identiques, sur ordinateur et sur smartphone, avec l'apparition d'un mode sombre et la disparition d'onglets superflus.

Brizzly, un client Twitter lancé pour la première fois en 2009, est de retour avec un nouvel outil destiné à l'édition et à la suppression de ses tweets, le tout pour 60 dollars par an.

Au début de l'année 2018, Facebook faisait face au scandale Cambridge Analytica. L'affaire porte le nom de la société qui a recueilli des données personnelles sur le réseau social dès 2014.

Facebook teste actuellement une nouvelle fonctionnalité, permettant de partager les Stories à la fois sur le réseau social, et sur Instagram.

Le cofondateur du réseau social au petit oiseau bleu a sauvé sa tête, provisoirement du moins, en passant un accord avec le fonds activiste Elliott Management.

On n'arrête pas le progrès à la Maison Blanche...

Facebook a annoncé poursuivre en justice le registraire Namecheap et son service de proxy Whoisguard. Le réseau social accuse Namecheap d'avoir autorisé des clients à enregistrer des noms de domaine trompeurs et « faisant semblant d'être affiliés aux applications de Facebook. »

Facebook se décide enfin à lancer sa nouvelle application sur l'écosystème macOS&nbsp:!

a annoncé une mise à jour de ses règles concernant les propos blessants ou injurieux. À compter d'aujourd'hui, tous les tweets à caractère haineux ciblant un groupe de personnes en raison de leur âge, leur maladie ou leur handicap seront retirés immédiatement après leur signalement.

Le P.-D.G. de Facebook, Mark Zuckerberg, veut être certain que les utilisateurs de son réseau social peuvent avoir accès à des informations crédibles et précises.

À l'instar de , ou , devrait lui aussi déployer un système de messages éphémères...

Face à la propagation du coronavirus, la résistance continue de s'organiser. Dans ce contexte, le recours au télétravail est de plus en plus fréquent, comme c'est le cas chez plusieurs entreprises de la tech, telles que Google ou Twitter.

Facebook déploie actuellement une nouvelle mise à jour de , qui propose une toute nouvelle interface.

Le réseau social des professionnels, propriété de Microsoft, a annoncé il y a quelques jours l'arrivée prochaine de la fonctionnalité, déjà présente sur d'autres plateformes.

Les catastrophes sont propices à la désinformation. La semaine dernière, le coronavirus était concerné par une théorie conspirationniste liée à la 5G. Plus globalement, un rapport vient d'estimer la désinformation concernant l'épidémie sur Twitter à deux millions de tweets.

L'Organisation Mondiale de la Santé a choisi la plateforme chinoise pour combattre les fake news diffusées sur les réseaux sociaux à propos du Covid-19 et s'adresser directement aux plus jeunes.

Même le « tout-puissant » Facebook ne peut rien contre le coronavirus, et le groupe américain est aujourd'hui contraint d'annuler sa conférence F8.

Une étude américaine réalisée dans six pays montre que les utilisateurs du réseau social sont prêts à partager leurs informations privées, avec une certaine différence tout de même selon le territoire.