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Monaco - A l'occasion des Assises de la sécurité, rendez-vous des professionnels de la sécurité, le président de la Cnil, Alex Türk a pu s'entretenir en petit comité avec la presse. Il a ainsi abordé plusieurs thèmes sensibles de l'actualité comme les dangers de la géolocalisation, Street View, les failles de sécurité...
La gauche n'aime pas Hadopi, et si cela ne tenait qu'à elle, la Haute Autorité serait de l'histoire ancienne : c'est, dans les grandes lignes, ce qu'a expliqué le député PS Christan Paul sur la chaîne LCPAN mercredi, dans l'émission Ca vous regarde.
Alex Türk, le président de la Cnil a réagi au sujet de l'information selon laquelle la gendarmerie française aurait constitué un fichier informatique sur les Roms.
La récente conférence de presse donnée par l'Hadopi a été l'occasion d'aborder la question des futurs logiciels labélisés. Ces programmes serviront à l'autorité à apprécier plus facilement le cas d'un internaute surpris en train de télécharger illégalement des contenus protégés par le droit d'auteur. Pour autant, rien ne dit à l'heure actuelle quand ils seront publiés.
Un épisode de plus s'est déroulé au sujet de l'inénarrable loi Hadopi et de la participation des FAI. L'opérateur Free avait décidé de ne pas envoyer les premiers e-mails Hadopi. Estimant respecter la loi et l'article L.331-25 du code de propriété intellectuelle, il ne souhaitait pas non plus « collaborer » avec la haute autorité. Ambiance...
Ce mardi avait lieu la conférence de presse organisée par l'Hadopi. Parmi les sujets abordés, les Labs de la haute autorité, la position de Free sur l'envoi (ou non) des premiers e-mails et également la question des logiciels de sécurisation « labellisés ». Sur le principe, la consultation doit être close le 30 octobre prochain, pourtant certains éditeurs nous avaient déjà avertis de la disponibilité de certaines solutions...
L'affaire agite le Web depuis ce matin et quelques doutes planent encore sur l'authenticité de la chose, mais il semblerait bien que la cyber-identité du premier « client » de l'Hadopi soit désormais connue : il s'agirait d'un internaute connu sous le pseudonyme de TuNi54, un abonné d'Orange qui aurait reçu le fameux courriel hier soir.
La haute autorité vient de donner sa conférence de presse. On pouvait attendre une officialisation du lancement des premiers e-mails ou des avancées en matière de labellisation des logiciels de sécurisation mais le sujet était visiblement ailleurs. L'Hadopi a souhaité évoquer la mise en place des « Labs », plateformes de réflexion autour des usages Web de demain...
Le bureau fédéral des enquêtes (FBI), annonce avoir procédé à plusieurs arrestations après avoir découvert un réseau de hackers pratiquant la cyber-fraude. Plutôt que de cibler les grosses institutions financières, le réseau visait des petites et moyennes entreprises, voire des églises, localisées dans des villes de taille modeste. Au total les hackers auraient volé 70 millions de dollars.
L'information vient d'être confirmée par le service de presse de l'opérateur. Free a fait le choix de ne pas envoyer le premier e-mail censé mettre en œuvre la riposte graduée. A croire que tous les FAI ne sont finalement pas Hadopi ready...
Dans un billet publié sur le blog Bug Brother, la question du chiffrement et des conséquences de la loi Hadopi sont évoquées. L'utilisation du VPN (Virtual Private Network) ou réseau chiffré est même mise en lumière comme une source de gênes pour les services secrets...
En 2008, la société britannique Mirror Worlds, spécialisée dans la vente de miroirs par Internet, avait déposé une plainte devant la cour du Texas à l'encontre d'Apple. Au coeur de la discorde : les interfaces de Cover Flow - présentant les fichiers sous la forme de miniatures - et du système de sauvegarde Time Machine. Le plaignant estimait qu'Apple avait copié l'ergonomie en affichant un flux de documents de manière chronologique.
Le mois dernier nous apprenions que la fondation Mozilla avait rejoint l'Open Invention Network. A l'initiative d'IBM, Novell, Sony ou encore Red Hat, ce groupe se spécialise dans le rachat de brevets afin de protéger la communauté Linux et favoriser l'innovation. Ces droits de propriété intellectuelle sont ensuite mis à disposition des développeurs à condition qu'ils promettent de ne pas faire valoir leurs droits contre leur utilisation au sein du système GNU/Linux. A l'occasion de l'Open World Forum, qui s'est déroulé jeudi et vendredi derniers, nous avons pu discuter avec le PDG Keith Bergelt, qui nous présente sa société.
Les négociateurs de l'ACTA (Anti counterfeiting Trade Agreement) viennent de trouver un accord de principe. Réunis à l'occasion du 11ème round à Tokyo, les 37 pays seraient donc parvenus à s'entendre sur une réglementation mondiale en faveur de la protection des droits d'auteur et de la propriété intellectuelle.
Le mois dernier nous rapportions que Tivanka Ellawala, chef des opérations financières de la division Mobile Communications chez Microsoft s'en était pris au système Android de Google. Ce dernier avait en effet déclaré que contre toute apparence, Android n'était pas gratuit. « Il viole plusieurs brevets, et il y a donc un coût associé à ça ».
Il s'appelle Sharing Sound et il n'est connu que pour avoir attaqué, en mai dernier, plusieurs entreprises sur la violation d'un brevet lié à la distribution de musique en ligne : Apple, Microsoft, Napster, Rhapsody, Brilliant Digital Entertainment (Kazaa), Sony, Amazon, Netflix, Wal-Mart, Barnes & Noble et Gamestop. Le genre d'attaque médiatique, mais qui s'est réglé à l'amiable dans la plupart des cas...
Le site Hadopi.fr a officiellement ouvert ses portes vendredi, en fin de matinée. L'occasion pour les internautes qui se sentent concernés par les problématiques liées au téléchargement illégal d'aller voir d'un peu plus près ce que leur réserve la Haute Autorité chargée de l'enrayer. Au programme, un site très clair, au ton volontairement très didactique, mais qui manquera sans doute de consistance pour qui connait le sujet.
L'Union européenne souhaite à nouveau mettre en avant le rôle de l'Enisa. Censée être la garante de la sécurité informatique sur le territoire communautaire, elle se retrouve enclavée sur l'île de Crête et dispose de peu de pouvoirs. C'est pourquoi Bruxelles souhaite, grâce à son agenda numérique, renforcer la lutte contre la cybercriminalité.
Dans le cadre des travaux relatifs au projet de loi de finances, chaque ministère est en mesure de communiquer la répartition prévisionnelle des sommes qui lui ont été accordées dans le cadre du budget 2011. A la Culture, Frédéric Mitterrand se félicite d'avoir obtenu une hausse de 2,1% des sommes allouées, qui se porteront pour l'année à venir à près de 7,5 milliards d'euros. 12 millions d'euros extraits de ce budget seront consacrés au fonctionnement de la Haute Autorité pour la diffusion des œuvres et la protection des droits sur Internet (Hadopi).
Tim Berners Lee, considéré comme l'un des pères du Web moderne, s'est insurgé mardi contre les lois qui vont jusqu'à envisager la suspension de l'accès à Internet, à l'occasion d'une conférence donnée à la Royal Society (Académie des Sciences de Londres). La loi française Hadopi fait pour lui partie de « ce nouveau fléau ».
La RIAA a encore frappé. La Recording Industry Association of America qui regroupe les ayants droit de l'industrie musicale américaine vient de faire ferme le site qui proposait des téléchargements de fichiers MP3. Bien qu'apparu très récemment, le site est donc contraint de cesser son activité.
L'Hadopi a laissé jusqu'au 30 octobre pour dévoiler la liste des logiciels qui seront labellisés pour sécuriser la ligne d'un internaute. Petit rappel, la haute autorité condamne le téléchargement sur le motif du « défaut de sécurisation de la ligne Internet ». Concrètement, le téléchargement n'est pas visé mais il est reproché à l'utilisateur de ne pas avoir suffisamment pris soin de sécuriser sa ligne et ainsi d'avoir permis son utilisation de manière frauduleuse.
Sur son site, la Cnil donne quelques précisions au sujet de la conservation des données personnelles enregistrées lors de connexions depuis un cybercafé, un hotspot WiFi public ou en entreprise. Les responsables de certains moyens de se connecter doivent conserver les traces ou données de trafic comme l'adresse IP.
La haute autorité vient d'annoncer la tenue prochaine d'une conférence de presse. Mardi prochain, les responsables de la haute autorité dévoileront donc les dernières avancées de la riposte graduée. Ils devraient surtout parler des premiers envois d'e-mails.
OpenOffice.org ne veut plus dépendre à 100% d'Oracle. Les tenants de l'open-source à la source du projet, dont Oracle est devenu le principal contributeur en rachetant Sun, veulent marquer un peu plus leur indépendance et leur attachement à un modèle ouvert, après les récentes attaques d'Oracle contre les anciens produits open-source sa nouvelle filiale. Ils ont donc créé un fork, LibreOffice.
Sur l'un de ses blogs le New York Times rapporte que les autorités fédérales américaines et les départements chargés de la sécurité nationale seraient en train de finaliser des propositions de lois régissant les usages de l'Internet. Cette initiative viserait à s'aligner sur les nouvelles pratiques des criminels et des terroristes qui utiliseraient davantage les communications électroniques plutôt que le téléphone. Si ces lois entraient en vigueur, les autorités seraient en mesure d'accéder aux courriers chiffrés transitant sur l'ensemble des fournisseurs de services.
Le processus de l'Hadopi continue de se mettre en branle. Deux opérateurs, Free et Alice ont mis en ligne des pages expliquant le fonctionnement de l'autorité et les risques qu'encourent les internautes qui téléchargent illégalement des contenus. Les FAI expliquent notamment comment se protéger afin de répondre à l'obligation de sécurisation de sa ligne Internet.
Plusieurs sociétés et organisations engagées dans la lutte contre le téléchargement illégal ont subi ces derniers jours de violentes attaques de type DDOS visant leurs sites Web. Organisées au nom de la défense de The Pirate Bay, icône du libre échange de fichiers, elles envisagent jour après jour de nouvelles cibles et pourraient, si l'on en croit les échanges lors desquels elles sont fomentées, rapidement se tourner vers la France. Le site Hadopi.fr, dont le lancement est imminent, devrait constituer l'une des futures victimes, tout comme celui de Trident Media Guard (TMG), la société qui opère des outils de surveillance du réseau pour le compte des ayant-droits. Qui sont les internautes responsables de ces attaques, comment procèdent-ils et que veulent-ils vraiment ?
Aux Etats-Unis, la FTC (Federal Trade Commission), l'agence chargée de réguler les droits du commerce, vient de valider l'ouverture de zones blanches afin de favoriser le déploiement de l'Internet au sein du pays. A l'instar des initiatives similaires de la Commission Européennes, le passage à la télévision numérique a en effet permis de libérer le spectre des fréquences hertziennes.