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Le directeur général d'Iliad, Thomas Reynaud, a confirmé il y a quelques jours à la radio que l'opérateur est dans les starting-blocks pour lancer les premiers forfaits 5G dès la fin de l'année.
L'Agence nationale des fréquences a procédé à des simulations qui tendent à montrer que l'arrivée de la 5G ne fera pas exploser les niveaux d'exposition aux ondes.
En comparant les antagonistes de la 5G au « modèle Amish », le président de la République a dit le fond de sa pensée. Mais il a aussi suscité la colère des ONG environnementales.
Les maires de plusieurs grandes villes de France, parmi lesquelles Marseille, Lyon ou Bordeaux, demandent un moratoire et appellent à un « débat démocratique » autour de la technologie de cinquième génération.
L'opérateur français déploie son service à peine une semaine après Telefonica, son principal rival en Espagne.
Le président de l'ARCEP, Sébastien Soriano, a confirmé lundi à la radio le maintien et la date des enchères de la technologie de cinquième génération en France pour la fin du mois, entérinant ainsi la ligne adoptée précédemment par l'autorité et privilégiée par le gouvernement pendant le confinement.
L'opérateur déplore une « différence de traitement » par rapport à ses concurrents SFR et Bouygues Telecom.
L'équipementier et le fabricant de puces ont annoncé avoir bouclé des tests visant à renforcer la rapidité de la 5G sur les smartphones compatibles.
L'entreprise, qui avait un temps pesté contre l'éventualité d'un bannissement progressif de l'équipementier chinois, va petit à petit retirer ses antennes installées sur les territoires denses.
Malgré les efforts importants fournis par les opérateurs, la technologie a du mal à s'imposer au pays du chocolat, qui doit affronter une certaine opposition.
Le nouveau maire de la capitale girondine, Pierre Hurmic, ne dit pas « non » à la technologie, mais il souhaite la tenue d'un débat public à son sujet avant une éventuelle commercialisation.
La guerre commerciale que livre New Delhi à Pékin prend une nouvelle tournure technologique, après le bannissement d'une soixantaine d'applications chinoises populaires.
L'opérateur, qui souhaite davantage un renforcement de la technologie précédente, la 4G, et veut attendre l'évolution du dossier Huawei, a vu sa demande de report de l'appel d'offres 5G être rejetée par la plus haute juridiction administrative du pays.
Le pays voisin des États-Unis sait que l'adoption de la 5G sera longue, sans oublier qu'un ou plusieurs opérateurs devraient être contraints de se passer de Huawei.
Les autorisations délivrées par l'ANSSI sont d'une durée limitée et… potentiellement non-renouvelables, ce qui précipiterait un abandon des équipements 5G chinois avant la fin de la décennie en France.
Face au blocage en Europe de la 5G de Huawei, la Chine envisage de prendre des mesures de rétorsions à l'encontre des sociétés finlandaises Nokia et Ericsson. À travers des contrôles à l'exportation, le pays pourrait les empêcher de faire sortir les produits qu'elles fabriquent sur le sol chinois.
Le ministre de l'Économie, des Finances et de la Relance a confirmé, mardi qu'il n'y aurait pas de barrage total de l'équipementier chinois. Tout en apportant de la nuance à son propos. Le verre à moitié plein donc.
La firme suédoise a su tirer son épingle du jeu au deuxième trimestre, dans un contexte difficile, grâce au développement de ses réseaux 5G, notamment en Chine, un « marché stratégiquement important » pour elle.
Dans un communiqué, Nokia annonce qu'au travers d'une mise à jour logicielle, il est capable de faire passer à distance plusieurs millions d'antennes 4G vers la 5G. Une solution qui pourrait permettre aux opérateurs d'économiser plusieurs milliards d'euros, promet l'équipementier.
Boris Johnson semble avoir finalement décidé d'écarter Huawei du réseau 5G du pays. Ce qui n'enchante pas l'entreprise, ni certains opérateurs télécoms locaux.
L'association de consommateurs appelle à un report des enchères de la technologie, invitant le gouvernement à ne pas tomber dans la précipitation et à attendre la publication du rapport de l'ANSES, prévu pour 2021.
Évoquant une rencontre entre un dirigeant italien et Washington, les médias locaux pensent que l'Italie pourrait prendre ses distances avec la firme de Shenzhen concernant la 5G.
Au programme : des smartphones plus économes en énergie, une connexion plus stable et un suivi amélioré en intérieur.
Le maire EELV de Grenoble a fait un drôle de raccourci pour résumer l'utilité de la 5G, dimanche dans le Grand Jury. Mais il estime surtout qu'en l'état, la priorité doit être mise ailleurs que sur la technologie de cinquième génération.
La firme de Shenzhen ne sera pas complètement rayée de l'Hexagone, même si l'ANSSI incite les opérateurs à ne pas collaborer avec elle.
Le géant chinois enregistre un nouveau revers et devra se contenter, face à ses concurrents européens, d'un rôle secondaire au sein de la Cité-État.
La Convention citoyenne pour le climat demandait un moratoire sur la 5G. Le gouvernement a décidé de ne pas donner suite à cette proposition, et confirmé le lancement des enchères à la rentrée.
Conséquence : les entreprises des télécommunications américaines ne pourront pas utiliser de fonds fédéraux pour installer les équipements de ces entreprises.
Les opérateurs de la Botte ont dépensé énormément d'argent pour lancer la technologie de cinquième génération, qui a du mal à prendre son envol. Et ce n'est pas forcément la faute des consommateurs.
Les États-Unis commencent à se faire une raison. L'impact technologique de la firme chinoise sur la 5G est tel que les autorités ont daigné relâcher (un peu) la pression.