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Viviane Reding, la commissaire européenne à la justice, fait à nouveau part de son souhait de réformer le système de fonctionnement des organismes de protection des données personnelles (les Cnil de chaque Etat-membre). Elle milite pour la création d'une autorité qui hériterait seule du pouvoir de condamner une société.
La ministre déléguée chargée de l'Economie numérique vient de livrer quelques précisions au sujet du projet de taxation des sociétés qui collectent des données personnelles. Pour Fleur Pellerin, l'éventuelle nouvelle taxe se basera sur les traces que laissent les internautes sur les services en ligne.
Le gouvernement avait donné mission à deux spécialistes de la fiscalité de rendre un rapport sur les pratiques de certains groupes américains sur le territoire et de trouver des solutions afin d'y remédier. Dans cette optique, la piste de la taxation des sociétés détenant et collectant des données personnelles aurait été particulièrement explorée.
Après avoir consulté le rapport émanant d'un eurodéputé au sujet d'un renforcement de la protection des données personnelles, la Cnil dévoile sa position. La Commission soutiendra le texte et l'appuiera de son poids afin qu'il soit repris par le Parlement européen.
Un eurodéputé vient de présenter un projet visant à renforcer la protection des données personnelles sur Internet. L'appel lancé par la Commission européenne l'an dernier en faveur de la mise en place d'un droit à l'oubli a donc été entendu.
Aux Etats-Unis, la FTC annonce qu'elle va publier de nouvelles règles visant à renforcer la protection des données personnelles des jeunes internautes. Les mesures applicables jusqu'alors dataient de 1998 et le régulateur souhaite désormais que certaines informations comme la localisation ne puissent être enregistrées par les éditeurs de services sans autorisation des parents.
En novembre dernier, le gouvernement annonçait qu'il comptait mener une réflexion portant sur les pratiques fiscales de certains groupes américains (Apple, Facebook, Google...) en Europe. Après la nomination de deux spécialistes du sujet, deux pistes seraient à l'étude : la taxation des sociétés détenant et collectant des données personnelles et dans une seconde voie, la renégociation des conventions fiscales passées entre Etats-membres de l'OCDE.
Aux Etats-Unis, une société chargée de procéder à des analyses d'audiences sur le Web vient de se faire épingler par la FTC. L'autorité reproche à Compete d'avoir collecté sans autorisation des données personnelles sur des internautes mais également de les avoir insuffisamment protégées.
L'association de défense des consommateurs a levé le voile sur une initiative plutôt originale initiée la semaine dernière. L'UFC-Que Choisir a édité un site (sans préciser qu'elle en était à l'origine) promettant à la date du 6 avril l'ouverture de ventes privées pour tout internaute qui s'y inscrivait. Ce portail n'était en fait qu'une vitrine destinée à sensibiliser les consommateurs sur l'utilisation de leurs données personnelles.
La Commission adresse à Google un questionnaire composé de 69 questions. Le document interroge la firme sur la manière dont elle entend traiter les données de ses utilisateurs et doit servir à clarifier les « implications de ces nouvelles règles », précise la Cnil.
Après les critiques formulées par la Cnil au sujet de la nouvelle politique de gestion des données personnelles de Google, plusieurs élus socialistes entrent dans le débat. Ils demandent au gouvernement de se positionner clairement sur le sujet et de préciser s'il soutient ou non la position du défenseur des informations personnelles.
Récemment, l'Union européenne a dévoilé une série de propositions visant à réformer le système de protection des données personnelles dans les Etats-Membres. Le Sénat salue l'initiative mais craint que certains points causent de grandes difficultés si un internaute souhaite saisir une autorité de protection des informations personnelles.
L'Administration Obama vient de poser les premiers jalons d'un texte visant à garantir une protection des internautes. A l'image de l'initiative Do Not Track, un ensemble de règles pourraient être proposées afin que les utilisateurs puissent réellement avoir un contrôle sur leurs propres informations personnelles.
La Cnil revient sur la proposition de rénovation de la réglementation en matière de protection des données initiée par l'Union européenne. La Commission considère que « le fonctionnement du système n'est pas optimum » et craint que l'Europe ne puisse pas appliquer ses propres réformes.
La Commissaire à la Justice Viviane Reding vient d'adresser ses propositions afin de réformer le système de protection des données personnelles en Europe. Elle souhaite non seulement imposer un véritable droit à l'oubli mais également obliger toute organisation à informer les autorités en cas de fuite d'informations personnelles.
La Commission européenne avait promis de renforcer les moyens de contrôle des données personnelles par les internautes. Selon certains documents de travail, l'Europe prévoirait également de sanctionner au portefeuille les entreprises qui ne respecteront pas ces nouvelles règles.
La Cnil des Pays-Bas reproche à la société de ne pas avoir suffisamment averti les utilisateurs du service sur l'utilisation de certaines données. Elle estime que l'éditeur de systèmes de navigation TomTom aurait dû mieux anonymiser ces informations.
L'association de défense de la liberté d'expression sur Internet annonce avoir déposé une plainte auprès de la Cnil. Internet sans frontières reproche à Facebook de collecter de manière déloyale et frauduleuse les données personnelles des internautes.
Après avoir demandé à Facebook de lui communiquer l'ensemble des informations qu'il détenait sur sa personne, un étudiant autrichien a eu la surprise de recevoir un CD contenant un document de 1..200 pages. Au regard des données transmises, Max Schrems accuse le réseau social d'avoir créé des « profils fantômes » de personnes non-inscrites sur le site et d'être en possession d'informations sur ces individus.
La protection de la vie privée vient de recevoir deux nouvelles contributions. La première émane de la célèbre association de protection des libertés en ligne, l'Electronic Frontier Foundation (EFF), et l'autre d'un groupe anonyme, qui édite la seconde version de son "Guide d'autodéfense numérique".
Après le long feuilleton au sujet du piratage du PlayStation Network, Sony est encore visé par des pirates. Cette fois, un site canadien de Sony Ericsson aurait été la cible. Des informations sur près de 2..000 utilisateurs du portail auraient ainsi été perdues.
Les deux firmes seraient visées par un grand jury fédéral au sujet des informations personnelles collectées sur leurs smartphones. Les autorités américaines souhaiteraient savoir exactement quelles données sont partagées lors de l'utilisation d'applications.
La vice-présidente de la Commission européenne Neelie Kroes a donné sa position au sujet de la protection des informations personnelles présentes sur Internet. Droit à l'oubli, transparence, opt-in (consentement renforcé) sont autant de notions sur lesquelles l'autorité communautaire compte agir.
Google va porter la question de la vie privée devant les tribunaux espagnols, selon le Wall Street Journal. Le géant estime que les lois espagnoles en la matière sont trop restrictives. L'agence de protection des données espagnoles (l'équivalent de la CNIL française) veut voir Google supprimer les liens vers des sites web contenant des informations qui pourraient compromettre le droit à la vie privée.
Dans un communiqué, la Cnil annonce qu'elle compte se rendre dans certains collèges ou lycées afin de sensibiliser les internautes à l'usage des réseaux sociaux. Le fonctionnement de Twitter, Facebook et autres sites de micro-blogging devraient être détaillés afin d'en limiter les risques.
Afin de faire un point sur l'adoption des Correspondants informatique et libertés (CIL) par les professionnels, le Clusif (Club de la sécurité de l'Information français) a tenu à faire un point d'étape. Les évolutions vont globalement dans le sens de l'adoption des bonnes pratiques par les entreprises.
Sur son site, la Cnil donne quelques précisions au sujet de la conservation des données personnelles enregistrées lors de connexions depuis un cybercafé, un hotspot WiFi public ou en entreprise. Les responsables de certains moyens de se connecter doivent conserver les traces ou données de trafic comme l'adresse IP.
Le Conseil d'Etat, la plus haute juridiction administrative, constate que le fichier « base élèves » comporte certaines irrégularités importantes. Pire, cette base de données n'aurait jamais dû être constituée entre 2004 et 2006 puisque la Cnil n'aurait jamais autorisé formellement sa constitution.
Pour les vieux geeks, ce nouvel épisode politico-Web 2.0 ressemble un peu au film presque mondialement connu « Je sais rien mais je dirai tout ». Nanard cultissime qui a définitivement fait entrer le cinéma français dans une phase de renouveau. Le groupe UMP de l'Assemblée nationale avait pourtant rassemblé mercredi soir députés, bloggeurs, responsables de firmes, de FAI, d'ayants-droit... pour débattre des données personnelles, d'Hadopi et de neutralité du Net.
Après avoir contesté les informations récoltées par les Google cars, l'Allemagne s'inquiète du traitement des données personnelles sur Facebook. Pour preuve, l'autorité de la protection des données sur Internet de la ville-Etat de Hambourg explique vouloir prendre des mesures contre le réseau social.