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La publicité sur Internet est au centre d'une vaste campagne d'attaques de la part des internautes et d'une tentative de la rendre moins intrusive de la part des professionnels du secteur, que ce soient les régies ou les agences de création des publicités. Google, leader du marché de la publicité en ligne, est donc au premier rang de cette guerre qui oppose les marques et les régies aux internautes et qui cause de gros dégâts aux sites Internet.
Le fait que des robots de Google analysent votre correspondance Gmail pour vous proposer des publicités ciblées vous gêne ? Depuis le 30 mars 2017, vous pouvez faire savoir votre désaccord.
Voilà une nouvelle acquisition pour la holding Altice de Patrick Drahi : le groupe s'est offert le spécialiste français de la publicité vidéo sur Internet Teads. Une acquisition qui a été dévoilée le 21 mars 2017 par le site Business Insider, avant d'être confirmée par le groupe Altice. Il s'agit de la deuxième acquisition d'Altice dans la vidéo en ligne de ce mois de mars 2017.
Les éditeurs de sites Internet et les entreprises devraient s'en inquiéter : Adblock, le programme qui permet de bloquer la publicité sur les sites, coupant ainsi les revenus issus de cette dernière, prend de plus en plus d'ampleur. Le nombre d'utilisateurs est en hausse partout dans le monde, surtout sur téléphone portable.
1,7 milliard de publicités mensongères ont été mises hors ligne en 2016 par les équipes de Google AdSense, le réseau publicitaire de Google. C'est deux fois plus qu'en 2015.
Le service de streaming annonce qu'il va insérer des formats publicitaires dans ses flux. Ces contenus publiés sur Twitch ne pourront, à date, pas être pris en compte par Adblock.
Voilà une stratégie pour le moins osée. Après avoir bloqué la publicité pendant des années, la société Eyeo GmbH se transforme en régie publicitaire.
La machine à cash Snapchat est sur la rampe de lancement. En 2016, le réseau social devrait gagner 367 millions de dollars de revenus pub, selon eMarketer, mais 1,7 milliard dès 2018.
Google donne quatre mois aux éditeurs et aux annonceurs pour trouver une alternative aux interstitiels sur mobile, jugés trop intrusifs. Sans quoi, le moteur de recherche les déclassera.
Des formats publicitaires pourraient prochainement faire leur entrée sur l'application Pokémon Go. Certains lieux (bars, restaurants...) pourraient être sponsorisés dans les chasses aux Pokémon.
Si le lecteur Flash a désormais mauvaise réputation sur la Toile, les publicités vidéo en HTML5 ne seraient finalement pas plus sécurisées.
La publicité va se faire davantage présente sur Snapchat. L'application de messagerie personnelle va intégrer des formats provenant d'annonceurs, directement dans le fil de « stories ». Ils seront publiés entre les photos et vidéos.
Adblock Plus tendait le dos en Allemagne, craignant de devenir illégal. Finalement, la justice allemande s'est attaquée à son porte-monnaie, en remettant en cause son modèle économique.
Les bloqueurs de publicités se démocratiseraient de plus en plus sur les smartphones et selon une étude, cela concernerait déjà plus d'un mobinaute sur cinq.
Google annonce vouloir introduire de la publicité au sein de son service de cartographie.
Il ne s'agit pas d'une enquête sur d'éventuelles pratiques d'abus de position dominante mais d'une évaluation du secteur. L'Autorité de la concurrence annonce qu'elle vient de s'autosaisir dans le but de mener une enquête portant sur les pratiques publicitaires visant à utiliser les données des internautes.
De 5 emplacements publicitaires, dans le menu Démarrer, Microsoft a décidé de passer à 10. Les fabricants OEM pourront donc afficher 10 « tuiles » promotionnelles, menant soit vers des applications préinstallées sur son PC, soit vers d'autres applications disponibles sur le Windows Store. Cette nouveauté fera son apparition avec la mise à jour « Anniversaire ». En contrepartie, le nombre de logiciels statiques sera rabaissé de 17 à 12.
Payer des articles de presse, quelle drôle d'idée ! Ce modèle économique évident avant Internet revient sur le devant de la scène, cette fois, à l'initiative d'Adblock Pus, qui s'est associé à Flattr.
YouTube annonce qu'il va déployer de nouveaux formats publicitaires spécifiquement destinés aux smartphones. Pour visionner une vidéo depuis un appareil mobile, la plateforme imposera régulièrement des contenus sponsorisés plus courts que les réclames traditionnelles. Ces publicités devraient en effet durer jusqu'à 6 secondes au maximum.
Google réfléchit avec plusieurs médias européens à la possibilité de bloquer nativement certaines publicités directement au sein de son navigateur Chrome. Les plus intrusives et donc, agaçantes pour l'internaute sont visées. L'ambition du numéro 1 mondial de la publicité est de rendre « inutile » l'installation de bloqueurs de publicités, qui s'en prennent surtout aux formats intrusifs, tout en pouvant laisser passer la pub « acceptable ».
Une étude montre que 94% des Français sont contre les encarts publicitaires sur smartphone. Derrière cette majorité écrasante de mécontents se cache pourtant 9% de Français qui cliquent régulièrement sur ces bannières.
Les services de la Répression des fraudes vont scruter de plus près les relations entre annonceurs publicitaires et les YouTubeurs. La DGCCRF a annoncé qu'elle mène actuellement des investigations au sujet des pratiques de ces éditeurs de contenus. Elle cherche ainsi à savoir si certains messages ou vidéos publiées par ces personnes ne sont en réalité pas des publicités.
Google creuse un peu plus la tombe du lecteur Flash et annonce une migration vers des bannières entièrement codées en HTML5.
Google n'apprécie pas trop les bloqueurs publicités et vient de retirer du Play Store celui proposé par Samsung depuis quelques jours.
Le 50ème Super Bowl se déroulera à San Francisco dimanche prochain. Pour la première fois, le montant des publicités totalisera un chiffre de 377 millions de dollars (soit 346,7 millions d'euros).
Rempart des internautes contre la pub, c'est l'ennemi juré des sites qui en vivent. Adblock Plus tente de faire la paix, en proposant une réflexion commune sur le concept de pub « acceptable ».
Les utilisateurs de smartphones Samsung sous Android 5.0 (et bientôt 4.x) peuvent à présent bloquer la publicité avec Adblock Fast, à condition d'utiliser le navigateur Samsung Internet.
Les opportunités offertes par les réseaux sociaux et les smartphones ont contribué à accroître les budgets des marques en matière de publicité en ligne en 2015. Une tendance qui s'est accélérée.
Google a publié son rapport annuel portant sur ses efforts visant à sécuriser son réseau publicitaire.