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Lutter contre le coronavirus passera-t-il forcément par une application de contact tracing ? C'est l'avis de nombreux spécialistes qui, pourtant, semblent avoir écarté cette bonne vieille fracture numérique de l'équation.
La prolongation des mesures de confinement de par le monde pour lutter contre la pandémie de Covid-19 pousse de nombreuses entreprises à faire des choix difficiles. C'est notamment le cas de Tor, qui a licencié 13 de ses 35 employés pour éviter la banqueroute.
Un succès retentissant pour Aarogya Setu, l'application qui trace la diffusion du COVID-19 en Inde.
Un sondage Odoxa, dont les résultats ont été publiés lundi, montre que les Français sont en majorité favorables à l'utilisation de certaines technologies. Beaucoup considèrent que le pays ne les utilise pas suffisamment pour lutter contre l'épidémie.
Lundi, le président de la République a appelé à un débat parlementaire sur le recours à une application pour enrayer la propagation du coronavirus. Mais cette idée n'est pas du tout du goût de l'association La Quadrature du Net, qui craint de voir les libertés individuelles piétinées par un dispositif qui ne serait pas forcément efficace.
La société américaine Nodle, spécialisée dans l'Internet des objets (IoT), a mis au point une application de suivi respectueuse de la vie privée, qu'elle s'apprête à lancer.
Comme d'autres pays européens qui y travaillent, notamment la France, le Royaume-Uni s'apprête à lancer sa propre application de suivi.
Clubic vous propose un nouveau numéro de 90'' ou presque pour vous aider à tout comprendre de l'idée que se fait le gouvernement du traçage des données mobiles.
Le président de la République, qui a annoncé, lundi, la fin probable du confinement pour le 11 mai, a confirmé le lancement prochain d'une application mobile de contact tracing.
Les deux géants ont annoncé, vendredi, leur intention de travailler ensemble pour mettre au point une technologie de suivi des personnes contaminées par le coronavirus.
Le député et ex-secrétaire d'État en charge du Numérique a publié une note de 43 pages dans laquelle il évoque les potentiels et les limites de la méthode, envisagée par le gouvernement français sur fond de coronavirus. Il a répondu aux questions de Clubic.
L'application a beau avoir annoncé de nouvelles mesures de sécurité, la fuite de ses utilisateurs continue. De grands acteurs nationaux et internationaux se sont déjà prononcés pour un bannissement de l'application.
Mis à jour le 08/04 à 15h30 : Reformulation d’une phrase relative à la position de la Quadrature du Net sur le contact tracing dans le dernier paragraphe de l’article.
Pour lutter contre la propagation du coronavirus, de plus en plus d’États étudient des solutions permettant de suivre leurs citoyens. Des technologies qui pourraient sensiblement menacer les droits à la vie privée ou à la liberté d’expression d’après 110 organisations internationales, qui exhortent les gouvernements à respecter les droits de l’homme.
Le confinement généralisé de la moitié de la population mondiale ne fait pas les choux gras que de ZOOM. Jitsi Meet, son alternative open-source (et respectueuse de la vie privée) a elle aussi fait un bond de géant le mois dernier.
C'est un revers pour la CNIL et sa vision élargie du droit à l'oubli. Le gendarme des données personnelles prétendait infliger une amende de 100 000 euros à Google, qui refusait le déréférencement au niveau mondial des informations disponibles sur une personne à partir de son moteur de recherche. Le Conseil d'État a annulé la sanction, vendredi 27 mars.
Le gouvernement de Narendra Modi serait, selon HuffingtonPost India, en train de finaliser la création d'une base de données globale « à mise à jour automatique » qui permettrait de surveiller toutes les activités d'1,2 milliard d'habitants.
Cette fois, Brave tape un grand coup sur la table. Après avoir multiplié les piques à l'encontre de Google ces derniers mois, le navigateur respectueux de la vie privée dépose une plainte en bonne et due forme auprès de la Commission de protection des données irlandaise.
Criteo, l'un des plus gros courtiers de données à visée publicitaire de l'Hexagone, intéresse aujourd'hui les enquêteurs de la CNIL.
Au début de l'année 2018, Facebook faisait face au scandale Cambridge Analytica. L'affaire porte le nom de la société qui a recueilli des données personnelles sur le réseau social dès 2014.
De moins en moins intéressés par les cookies, les annonceurs se remobilisent en masse sur les empreintes de votre navigateur Web pour vous suivre à la trace sur Internet.
Toujours sur la brèche en matière de protection des données sur Internet, la fondation Mozilla enjoint Apple à respecter ses propres engagements en la matière.
Le moteur de recherche respectueux de la vie privée DuckDuckGo publie Tracker Radar : un outil à intégrer directement dans le code source des sites Web afin de bloquer les trackers les plus invasifs d'Internet.
Voilà qui ne risque pas d'apaiser la controverse. Aux États-Unis, où l'usage de la reconnaissance faciale par les forces de l'ordre soulève de grandes interrogations, une entreprise admet avoir déjà fourni plus de 1 500 postes de police et organisations fédérales en caméras mobiles, potentiellement dopées à l'IA.
Droit de réponse de Decathlon Espagne : En effet, un incident a bien été détecté et résolu par nos équipes locales. L'incident a affecté des données techniques internes et en aucun cas des mots de passes ni des numéros de cartes bancaires de clients espagnols. Sur les 123 millions de données mentionnées, seul 0,03% sont des données d'utilisateurs espagnols (nom, prénom, e-mail) et les 99% restants des données techniques internes propres à Decathlon Espagne. Aux utilisateurs concernés, l'enseigne présente ses excuses.
Mozilla milite une nouvelle foi en faveur d'un Web plus sécurisé et respectueux de la vie privée. Aux États-Unis, la fonctionnalité DNS-over-HTTPS (DoH) sera dorénavant activée par défaut.
Alors que Google s'apprête à acquérir l'entreprise Fitbit, spécialisée dans le développement d'objets connectés, l'opération préoccupe certaines autorités. C'est le cas de l'EDPB, organisme européen visant à protéger les données personnelles, qui a exprimé ses craintes de voir un grand groupe cumuler autant d'informations sur les utilisateurs.
Après la sortie du Royaume-Uni de l'Union européenne et donc de sa réglementation, Google réagit. La firme de Mountain View songe à un changement de juridiction concernant les données britanniques, actuellement stockées en Irlande. Elles seraient désormais couvertes par le Cloud Act.
Une forme de censure. C'est en ces termes que Tutanota, fournisseur de la messagerie Web chiffrée éponyme, condamne le blocage de ses services en Russie.
L'enseigne Duo Security a annoncé jeudi 13 février avoir fait remonter à Google l'activité de dizaines d'extensions Chrome qui ne respecteraient pas la collecte de données personnelles sur le .