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Le Kremlin a demandé aux hommes politiques russes d'abandonner leur iPhone.
La Chine tire des conclusions du conflit russo-ukrainien et note l'importance du réseau Starlink dans les opérations.
La Russie, qui fait actuellement face à de nombreuses sanctions économiques et commerciales, cherche à développer son marché local. Une entreprise ambitionne ainsi de produire 100 000 smartphones et tablettes, mais le défi aura du mal à être relevé.
Internet ne va plus aussi vite en Russie depuis la guerre et l'imposition des sanctions.
Depuis 2016, on observe une augmentation du nombre de mesures de restriction d'accès à Internet, bien que celles-ci aient connu une baisse significative pendant le pic de la pandémie de COVID-19.
En Russie, Wikipédia vient d'écoper d'une amende. Moscou lui reprochait de s'être livrée à de la désinformation sur la guerre en Ukraine.
L'Ukraine appelle au boycott et à la suppression du FPS russe Atomic Heart, sorti le 21 février, du marché ukrainien et même au-delà.
La guerre en Ukraine est aussi une guerre dans le cyberespace, comme le montre ce nouveau rapport.
Bien qu'une grande partie de l'équipement utilisé par l'armée russe date de plusieurs décennies, le conflit en cours reste fermement ancré dans notre époque.
Le gouvernement russe met en place un nouveau système du nom d'Oculus.
Les cyberattaques russes contre l'Ukraine se sont multipliées l'an dernier.
Le nombre de télétravailleurs russes a explosé depuis le début de la guerre contre l'Ukraine.
Les services de Starlink vont être encore plus sollicités dans les mois à venir en Ukraine.
La Russie devrait intensifier ses cyberattaques cet hiver et, au-delà de l'Ukraine, cibler l'ensemble des partenaires de la coalition. Avec, au centre, les pays européens.
Le mois d'octobre a vu se propager un étonnant ransomware appelé Azov sur des milliers d'ordinateurs à travers le monde.
Au nom de la lutte contre les fausses informations, la justice russe a condamné, le 1er novembre, la maison mère de Wikipédia à payer une lourde amende.
Elon Musk a refusé personnellement une demande des autorités ukrainiennes d'étendre l'utilisation de son réseau Starlink à la Crimée.
C'est le résultat d'une enquête menée par l'Atlantic Council’s Digital Forensic Research Lab (DFR Lab), spécialisé dans les études portant sur la désinformation, et Meta, la maison-mère de Facebook et Instagram.
Plutôt habile avec Twitter, son moyen de communication favori, Elon Musk a cependant délaissé ses terrains de jeu habituels comme les crypto-monnaies pour s'intéresser au conflit en cours entre la Russie et l'Ukraine.
Regroupés sous le sigle NAFO, des milliers d'internautes s'emploient depuis des mois à combattre la propagande russe sur les réseaux sociaux.
Entre piratage, propagande et désinformation, Internet est au centre des enjeux économiques et militaires. D'autant plus dans le contexte de la guerre en Ukraine.
Outil indispensable dans la projection de son soft power et la déstabilisation de nations, le numérique est une arme à part entière dans la machine de guerre russe.
Alors que la communauté internationale s'oppose aux référendums organisés par la Russie dans les territoires qu'elle occupe, l'Occident déploie de nouvelles sanctions.
Les services de sécurité ukrainiens ont annoncé, vendredi 23 septembre, avoir arrêté un groupe de hackers spécialisé dans la revente de comptes d'utilisateurs.
Après avoir largement limité pendant plusieurs années l'usage de crypto-monnaies, le gouvernement russe change son fusil d'épaule pour contourner les sanctions occidentales.
L'ancien P.-D.G. de Google a loué les Ukrainiens pour leur conduite de la guerre sur les plans informatique et technologique.
Article mis à jour après clarifications de TotalEnergies
Constatant l'enlisement de son armée traditionnelle, la Russie se tournerait désormais vers des groupes de hackers pour déstabiliser l'Ukraine et ses alliés.