La date butoir du 20 septembre approchant, le président des États-Unis annonce qu'elle ne sera pas prolongée et que ce sera alors « la fermeture ou la vente » pour TikTok.
Pékin se décide à adopter une attitude combative vis-à-vis de la position de l'administration Trump et pourrait remettre en cause le rachat de la division américaine de l'application, en refusant de céder son algorithme.
S'il dit comprendre les inquiétudes de Donald Trump, Thierry Breton a tenu à être rassurant sur le devenir de l'application de partage de vidéos sur le Vieux Continent.
Le patron du réseau social avait annoncé, vendredi, avoir fait une offre pour racheter les activités américaines de son rival. Une tentative démentie par TikTok, qui nie clairement les discussions.
Le numéro un mondial de la grande distribution rejoint la firme à la fenêtre pour former une imposante coalition en vue du rachat des opérations américaines du réseau social contesté.
L’annonce a fait l’effet d’une bombe. A fortiori en ces temps particulièrement difficiles pour TikTok. Dans la nuit de mercredi à jeudi, Kevin Mayer, ancien ponte de Disney et actuel P.-D.G. du réseau social, a annoncé sa démission.
C'est par l'intermédiaire de ses utilisateurs que la populaire application du groupe Tencent va se joindre à l'action menée par TikTok aux États-Unis.
Acte citoyen ou entrave pure et simple au principe de libre concurrence ? Dans un article en date du 23 août, le Wall Street Journal rapporte que Mark Zuckerberg, patron de Facebook, se serait entretenu en privé avec Donald Trump pour encourager les attaques américaines contre TikTok, principal concurrent de Facebook et surtout de sa filiale Instagram.
Le réseau social, qui subit la défiance totale du pensionnaire de la Maison-Blanche, lequel fait des pieds et des mains pour faire basculer l'application sous pavillon américain, a décidé de contre-attaquer. Sur le terrain judiciaire.
L'application a dévoilé, cette semaine, l'identité des TikTokeurs qui seront les premiers à bénéficier du fonds européen pour les créateurs.
Le réseau social a fait évoluer sa politique en matière de discours de haine, après avoir supprimé des centaines de milliers de vidéos depuis le début de l'année outre-Atlantique, vantant l'aspect familial de sa plateforme.
L'application TikTok fait l'objet d'une nouvelle plainte aux États-Unis, à propos de son non-respect de la vie privée des utilisateurs de moins de 13 ans. Déjà épinglée l'an dernier à ce sujet, l'entreprise n'aurait pas respecté les termes de la décision alors prononcée par la justice américaine.
Kevin Mayer a pris des engagements devant le commissaire européen au Marché intérieur, Thierry Breton, lors d'une visioconférence entre les deux hommes, mardi.
Mike Pompéo a déclaré ce lundi 6 juillet que les États-Unis envisageaient de bannir TikTok, ainsi que d’autres applications chinoises. « Nous prenons cela très au sérieux. Nous y réfléchissons activement », a-t-il affirmé.
Alors que les relations sont de plus en plus tendues avec Pékin, le réseau social du groupe ByteDance souhaiterait changer d'air, pour mettre fin à tout amalgame.
Quelques heures avant que les P.-D.G. de Facebook, Google, Amazon et Apple ne soient auditionnés par les députés du comité antitrust américain, TikTok a lancé un défi de transparence à ses concurrents.
Washington donne 45 jours au groupe ByteDance, maison-mère de l'application aux dizaines de millions d'utilisateurs aux États-Unis, pour trouver un accord avec la firme à la fenêtre.
Le président américain a suggéré, lundi, que le Trésor puisse percevoir une partie substantielle de la transaction que pourrait conclure Microsoft avec ByteDance.
Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères, les médias ou encore le fondateur de ByteDance, tous condamnent la stratégie américaine à propos de TikTok, qualifiée de « vol ».
L'application chinoise va poser un demi-milliard de dollars pour installer son premier centre de données dans l'Union européenne. Devinez où ? En Irlande, bien entendu.
Les jours des deux applications sont désormais comptés sous leur gouvernance actuelle aux États-Unis. Dans le même temps, à Washington, les sénateurs ont pris les devants et interdisent aux employés fédéraux d'utiliser TikTok.
Nouveau rebondissement dans "l'affaire TikTok", puisque le réseau social Twitter envisagerait le rachat de l'application.
Le fondateur de Microsoft a exprimé dans une interview ses craintes concernant le rachat à haut risque du réseau social.
Dans les pays ayant déjà banni TikTok ou exprimé l'intention de le faire, les utilisateurs se sont massivement tournés vers les VPN pour continuer à partager leurs vidéos.
L'autorité française va travailler de concert avec ses équivalents européens sur les pratiques du réseau social en matière de protection des données personnelles.
Après Microsoft et Twitter, c'est au tour d'Oracle de manifester son intérêt pour le rachat des activités nord-américaines de TikTok.
La firme à la fenêtre pourrait bien être concurrencée par le numéro deux mondial du logiciel, plus proche qu'on ne l'imagine du président américain.