La menace leur pendait au nez depuis quelques jours, la voilà effective : cinq sites pornographiques ont reçu une mise en demeure par le Conseil Supérieur de l'Audiovisuel (CSA).
La loi du 30 juillet 2020 interdit aux sites pornographiques de se contenter d’une simple déclaration de majorité pour accéder à leurs contenus sensibles. Chose que les plus grands acteurs ne respectent pas.
C’est une arrestation un peu hors-norme. Au Japon, un homme âgé de 43 ans a été interpellé pour avoir retiré les pixels de vidéos pornographiques censurées grâce à une intelligence artificielle.
Indécentes aux yeux de Facebook et d’Instagram, les œuvres d’art présentant de la nudité sont régulièrement censurées. Face à leur politique, l’office de tourisme de Vienne a pris une décision audacieuse.
Non, la France ne coupera pas encore l’accès aux sites pornographiques. Saisi en référé par deux associations de protection de l’enfance, le tribunal judiciaire a rendu sa décision très attendue.
En aidant à distinguer les enfants des adultes, la technologie d'analyse faciale pourrait-elle contribuer à créer un Internet plus sûr pour nos rejetons ?
Plus que deux jours avant le verdict du Tribunal de Grande Instance de Paris (TGI). Saisie par deux associations œuvrant pour la protection de l'enfance, la cour doit se prononcer sur une potentielle interdiction de l'accès, en France, à neuf sites pornographiques.
Apple continue de rétropédaler, cette fois sans donner de nouvelles limites. Alors que la firme de Cupertino prévoyait de déployer deux mécanismes prévus pour améliorer la protection de l'enfance via le tracking des contenus pédopornographiques, elle a dû renoncer, pour l'heure, à ces mesures.
La lutte contre la pédopornographie, ou « Child Sexual Abuse Materials » (CSAM), est un enjeu de taille pour de nombreux services de stockage Cloud, dont celui d'Apple. Jusqu'à présent, la politique de prévention de l'entreprise se limitait pourtant à scanner les e-mails, presque rien de plus.
Plusieurs sites web réputés, dont le Washington Post et le Huffington Post, se sont mis à afficher du porno dans certains articles. Cela s’explique par le fait que le domaine d’un site d’hébergement vidéo intégré à ces pages, aujourd’hui disparu, a été acheté par une entreprise pornographique.
Quelques mois après avoir été accusé d'héberger des scènes de viol sur mineurs, Pornhub vient de publier son tout premier rapport de transparence. Au total, plus de 650 000 contenus auraient été supprimés en 2020.
Les chercheurs d'ESET ont découvert des failles dans les applications qui permettent de contrôler les deux objets pour adultes les plus célèbres du moment.
Le numéro 1 de la pornographie en ligne annonce une nouvelle série de mesures pour redorer son blason et mieux modérer le contenu qui alimente la plateforme. Le site de « tube » va notamment s'allier à l'entreprise Yoti pour vérifier, par le biais de la biométrie, qui met en ligne des vidéos.
Alors que le Royaume-Uni a échoué à mettre en œuvre son propre projet de blocage des sites pornographiques, le Sénat français a approuvé, après l'Assemblée nationale, une loi visant à restreindre aux seules personnes majeures l'accès aux sites classés X.
Le site pornographique Pornhub est actuellement au cœur d'une tourmente qu'il sera très difficile d'endiguer. Pour calmer les critiques, la plateforme a pris une mesure drastique en retirant toutes les vidéos postées par des chaînes ou des utilisateurs non vérifiés.
Le site de diffusion de contenus pour adultes hébergerait de nombreuses vidéos de viol, selon le New York Times. Si la plateforme nie, les témoignages la contredisant sont nombreux.
Telegram respecte-t-il le Règlement général sur la protection des données (RGPD) en permettant à ses utilisateurs de générer des deepfakes ? Une agence italienne veut y voir plus clair.
Des centaines de milliers d'utilisateurs ont recours à une intelligence artificielle pour générer des images de femmes dénudées à partir de photos réelles.
Article mis à jour le 6 mai 2020 avec la réponse de Cam4 (communiqué intégral) en bas de page
Alors que le gouvernement a annoncé hier le renforcement des mesures de confinement pour limiter la propagation du coronavirus, plusieurs acteurs du divertissement s'engagent pour occuper les Français durant cette période. Et l'industrie pornographique en fait partie.
© DeepNude C'est une application polémique morte-née. DeepNude, c'est son nom, proposait de déshabiller les femmes - et uniquement les femmes - dans une version gratuite et une autre à 50 dollars.
© YouPorn L'application web permettra de scroller rapidement parmi les millions de vidéos disponibles sur la plateforme et de recommander des contenus selon les goûts des utilisateurs.
Comme tous les ans depuis 2013, le site de vidéos pour adultes Pornhub publie ses tendances annuelles. Au-delà des chiffres démesurés de la plateforme, on découvre également de nouvelles passions chez les fans de contenus pornographiques, avec notamment une inclination récente pour le terme « alien » dans le moteur de recherche.
Vice.com HYPERLIEN | En utilisant des technologies 3D, une communauté de graphistes façonne des avatars sexuels plus que réalistes, à l'effigie de célébrités ou toute autre personne existante. Deux journalistes de Motherboard ont mené l'enquête...
Emmanuel Macron déclare la guerre aux contenus pornographiques sur internet. Il ordonne aux FAI d'activer par défaut le contrôle parental chez tous les utilisateurs.
La Chine multiplie les interventions sur Internet pour faire taire les manifestations de Hong Kong. Après des suppressions de comptes sur Twitter, Facebook et Youtube, et après avoir bloqué des reportages de CNN et Reuters, le pays poste ses réponses sur un site inattendu : Pornhub.
Le site de vidéos pornographiques encaisse mal la décision du service de paiement américain, prise ce jeudi.
Le gouvernement australien souhaite imposer aux éditeurs de sites pour adultes un dispositif de reconnaissance faciale qui se baserait sur les photos utilisées pour les cartes d'identité et permis de conduire.
Le Royaume-Uni n'appliquera finalement pas son contrôle des sites à caractère pornographique. Après des années de controverses, le pays a laissé tomber la troisième partie de son Digital Economy Act 2017.