Le plus important des essais de cet étage de fusée pour le programme Artemis s'est arrêté à seulement 67 secondes, après un message d'échec de l'un des quatre moteurs.
C’était une mise en orbite très attendue ! Après un premier échec en mai 2020, la fusée LauncherOne de Virgin Orbit a réussi à atteindre l’orbite basse terrestre lors de son second vol, le 17 janvier 2021.
Une dernière tentative sur InSight a eu lieu, sans succès, pour tenter d'enfoncer la tête de forage dans le sol de Mars le 9 janvier. La NASA et l'agence allemande DLR (responsable de l'instrument) jettent l'éponge après deux ans d'efforts, qui leur auront tout de même beaucoup appris.
Le cargo spatial de SpaceX devait repartir de la station spatiale internationale ce 11 janvier, mais la météo sur le site de récupération n'a pas permis de le désamarrer. Les laboratoires de Floride attendent avec impatience le retour des échantillons après un voyage optimisé pour réduire le trajet.
Un an après son départ du site de production, le premier étage du Space Launch System américain n'a toujours pas terminé ses essais au centre spatial Stennis. Le test « Green Run », indispensable avant l'assemblage et le premier lancement Artemis 1, se profile pour le 17 janvier.
La célèbre agence spatiale va participer à deux projets qui aideront à mieux appréhender la météorologie spatiale. Le premier s’intitule EUVST, et le second, EZIE.
Rejoindre la Lune et s'y poser, une routine un demi-siècle après la course entre américains et soviétiques ? Pas le moins du monde. Les tentatives s'enchaînent et les ambitions grandissent, mais atterrir sur le sol de notre satellite naturel reste une prouesse.
Le 17 décembre dernier, la NASA et le Bureau des affaires spatiales des Nations unies (UNOOSA) ont signé un protocole d’accord visant à une exploitation pacifique et collaborative de l’espace.
Créée il y a tout juste un an, la United States Space Force (USSF), plus jeune organisation militaire américaine, est destinée à la conduite d'opérations militaires dans l'espace. Problème : ses membres n'avaient pas de nom officiel. Ils seront désormais nommés les « Gardiens » – et ce n'est pas une référence aux films de l'univers Marvel.
Alors que la campagne électorale américaine se termine, l’avenir du programme de vols habités vers la Lune ARTEMIS semble très incertain. Particulièrement ambitieux, ARTEMIS est un programme éminemment politique, et très coûteux. Avec ou sans changement d’occupant à la Maison Blanche, il pourrait bien subir de nouveaux retards. Mais pour l’instant, le retour de l’homme et l’envoi de la première femme sur la Lune restent toujours prévus pour 2024.
S'il n'a jamais été l'équivalent de célèbre son cousin Hubble pour les observations en infrarouge, le télescope Spitzer s'est illustré en plus de 16 ans de révélations sur l'univers invisible des nuages de gaz, des naissances d'étoiles et des exoplanètes.
La NASA a dévoilé le nom des trois astronautes qui prendront place à bord d’une capsule Crew Dragon pour la mission Crew-3, qui partira pour l’ISS à l’automne 2021.
Il y a à peine moins d’un an, la capsule CST-100 Starliner de Boeing effectuait son premier vol d’essai inhabité. Et ce dernier s’est conclu par un échec partiel, passant à deux doigts d’une véritable catastrophe ! Alors que le Starliner aurait déjà dû embarquer des astronautes sur l’ISS, Boeing et la NASA ne prévoient pour l’heure qu’un nouveau vol d’essai inoccupé en mars 2021.
En 2004 et au creux de la vague, le programme Constellation est censé donner un nouvel élan à la NASA, en la dirigeant à nouveau vers la Lune. Trop court, trop cher, trop ambitieux, le projet s'est effondré. En laissant de nombreuses marques encore présentes dans le spatial américain aujourd'hui, avec Orion.
(99942) Apophis, du nom du « Dieu du Chaos » dans la mythologie égyptienne, est un astéroïde de 340 mètres de large, qui devrait « frôler » la Terre d'ici le mois d'avril 2029.
La Chambre des représentants des États-Unis s'est exprimée au sujet du budget et du futur du programme Artemis, qui prévoit d'envoyer à nouveau l'humain sur la Lune en 2024.
La mission Crew-1 est la première des rotations « régulières » de la capsule de SpaceX au service de la NASA. Les quatre astronautes sont en route pour l'ISS, qu'ils devraient rejoindre mardi matin. Après une intense préparation, Crew Dragon est à présent certifiée !
La composition de la surface de ce satellite naturel de Jupiter, couplée à l'intense bombardement radioactif de la géante gazeuse, pourrait la rendre luminescente la nuit. Une équipe du JPL a réussi à reproduire l'expérience, que l'on espère observer d'ici une décennie.
Les membres de la mission Crew-1 sont arrivés au Centre spatial Kennedy hier. Il ne leur reste qu'une semaine de préparations avant le décollage pour la Station spatiale internationale. Mais gare à la météo…
Avec ce programme de recherche, centré sur les observations dans le spectre ultraviolet, Hubble va créer un catalogue de référence de plus de 300 étoiles. La majorité seront très jeunes et observées peu après leur formation. Les autres font partie des plus massives de leur région galactique.
L'appel a bien été reçu ! En effet, la sonde Voyager 2 a donné des signes de vie à la NASA fin octobre après plusieurs mois de silence. Le soulagement est total et l'engin spatial va pouvoir tranquillement continuer son travail.
Lors d’une conférence de presse, SpaceX a annoncé que deux moteurs Merlin étaient en train d’être remplacés sur le lanceur Falcon 9 qui acheminera prochainement quatre astronautes dans l’espace.
Les plans actuels de la NASA prévoient un retour de missions habitées sur la Lune en 2024. Si le programme Artemis implique de développer de nouvelles fusées, modules et atterrisseurs lunaires, les futurs hommes et femmes envoyés sur la Lune arboreront une nouvelle combinaison spatiale, la xEMU. La NASA a récemment dévoilé plus de détails sur xEMU.
La semaine dernière, la sonde OSIRIS-REx de la NASA a réussi à prélever des échantillons de roches et de poussières à la surface de l’astéroïde Bennu. Le succès est tel que le collecteur déborde littéralement. La NASA prévoit donc de stocker les échantillons dès demain afin d’entamer le retour de la sonde sur Terre.
Avec son enthousiasme habituel, la NASA a dévoilé aujourd'hui sa dernière découverte « excitante » concernant la Lune. D'après les recherches menées par l'observatoire volant SOFIA, des molécules d'eau se trouveraient un peu partout sur la surface lunaire.
Elle fut la première sonde à entrer en orbite autour de la géante gazeuse, et une mission iconique des années 90. Malgré un handicap, les données qu’elle a rapportées ont marqué l’exploration spatiale, et participé à mettre en place une véritable dynamique pour aller approfondir les mesures.
L’ESA (Agence Spatiale Européenne) a officialisé, hier, plusieurs contrats majeurs. Airbus a notamment été sélectionnée pour réaliser la part européenne de la mission Mars Sample Return, réalisée conjointement par la NASA et l’ESA. La compagnie européenne devra ainsi concevoir et livrer le Earth Return Orbiter (ERO), le véhicule qui sera chargé de ramener sur Terre des échantillons collectés sur Mars.
Le 13 octobre, la fusée New Shepard 3 a effectué son septième vol d’essai, le sixième consécutif à atteindre l’espace. Le lanceur et la capsule – qui emportait des expériences scientifiques – sont revenus se poser à l’endroit prévu. Toutefois, malgré ce succès, les vols habités de Blue Origin devront attendre l’arrivée de la New Shepard 4, toujours retardée.
L’agence spatiale européenne (ESA) a annoncé aujourd’hui avoir sélectionné la société franco-italienne Thales Alenia Space pour livrer deux modules essentiels à la future station spatiale lunaire LOP-G. Les futurs modules ESPRIT et I-HAB constitueront la principale participation européenne au programme Artemis, mené par la NASA.