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Actu, dossiers, forums, articles de fonds : retrouvez en quelques clics tout ce qu'il faut savoir sur ces logiciels malveillants.
Le prochain président des États-Unis fustige celui à qui il va succéder, Donald Trump, lui reprochant de ne pas avoir fait de la lutte contre les cyberattaques une priorité.
En l'espace d'une semaine, le gouvernement américain et la firme de cybersécurité FireEye ont été victimes d'une opération de cyberespionnage gargantuesque. Un malware « extrêmement sophistiqué » nommé Sunburst a été déployé durant plusieurs mois par des hackers de très haut niveau. Il menace plus de 18 000 organisations dans le monde utilisant le logiciel Orion.
Si Emotet reste le cheval de Troie qui fait souffrir le plus d'entreprises au monde, d'autres menaces, comme le malware Valak, ont grandement évolué ces dernières semaines.
De nouvelles applications malveillantes ont été découvertes au sein des plateformes de téléchargement d'applications de Google et d'Apple. Et c'est grâce à une jeune utilisatrice de TikTok !
Des milliers de smartphones infectés par des malwares ont été vendus dans des pays africains, comme l'Ethiopie, le Sénégal, le Cameroun, l'Egypte ou le Ghana. Transsion Holdings, le constructeur de ces mobiles, se défend d'être à l'origine du problème.
Permettant de partager rapidement des fichiers jusqu’à 2,5 Go, Firefox Send est mis en pause par la fondation Mozilla. La raison ? La facilité d’accès du service en faisait la plateforme idéale pour le partage de malwares à grande échelle.
Découvert cette semaine, le malware semble sévir depuis quelque temps sur les ordinateurs d'Apple.
Des chercheurs en sécurité ont découvert des logiciels malveillants qui menaçaient des millions d’utilisateurs Chrome par le biais d'extensions. Google a procédé à la suppression de plusieurs dizaines de références de son navigateur web.
Selon BitDefender, l'évolution quotidienne mondiale des menaces exploitant le thème du coronavirus témoigne de la propension des cybercriminels à exploiter la peur et la désinformation vis-à-vis de la pandémie…
Des chercheurs en cybersécurité ont mis au jour un logiciel malveillant d'un nouveau genre. Baptisé Ramsay, il serait en effet capable d'infecter les machines isolées du réseau, d'y collecter des informations et de rester caché jusqu'à ce qu'il puisse envoyer les données volées aux hackers.
Les deux malwares, de type chevaux de Troie, ont été particulièrement actifs ces dernières semaines, avec des hackers inspirés par la pandémie de COVID-19.
Les deux entreprises ont développé une intelligence artificielle qui parvient à convertir des échantillons de logiciels malveillants en images 2D.
Des chercheurs en cybersécurité sonnent l'alarme concernant un nouveau malware qui s'attaque aux services et données bancaires des utilisateurs du système d'exploitation Android. Il prend la forme d'une application légitime qui, une fois installée avec le consentement de l'utilisateur, s'introduit dans les comptes bancaires et peut voler des fonds.
Une variante du banking trojan « Cerberus », apparue en janvier dernier, est capable d'interpréter les codes générés par l'application de 2FA Google Authentificator. L'une des plus utilisées.
Connu sous le nom de xHelper, le malware fut découvert en 2019 par le spécialiste de la cybersécurité Malwarebytes. Et il est plutôt résistant, puisqu'il survit même à une réinitialisation complète de votre appareil.
L'utilitaire américain Malwarebytes, spécialisé dans l'élimination de malwares, a publié cette semaine son rapport annuel State of Malware. Derrière ce titre assez peu inventif, un état des lieux complet pour l'année 2019, avec quelques révélations : les Mac auraient été, l'année dernière, presque deux fois plus touchés par les programmes malveillants que leurs cousins sous Windows.
De Joker à Once Upon a Time... in Hollywood, des sites frauduleux font miroiter des téléchargements gratuits.
Des pirates informatiques profitent du risque sanitaire mondial que constitue le virus 2019-nCoV pour répandre la peur et diffuser un malware via des liens infectés, envoyés massivement par e-mails.
Les smartphones infectés étaient remis aux Américains qui vivent dans des conditions précaires, dans le cadre d'un programme vieux d'une trentaine d'années.
La firme a confirmé, jeudi en fin de journée, avoir été victime d'un virus logiciel le 31 décembre, compromettant ses services.
Dans un post de blog daté du 20 novembre, la société spécialisée en cybersécurité Cybereason raconte ce qu'elle nomme « l'histoire de Phoenix, le keylogger qui a ressuscité ».
Deux rapports publiés en juin et en octobre montrent l'utilisation par des pirates du format audio WAV pour la dissimulation de code malveillant, et éviter ainsi les antivirus.
Des chercheurs de SophosLabs ont découvert la présence d'un malware niché dans 15 applications Android publiées sur le Google Play Store. Plus d'1,3 million d'appareils auraient au moins installé l'une d'entre elles.
Des chercheurs en sécurité informatique ont repéré une vulnérabilité critique dans l'utilitaire de mise à jour d'iTunes pour Windows. Un simple oubli de guillemets dans le code permettrait en effet à des hackers de placer un ransomware sur les ordinateurs de leurs victimes. Alertée par les auteurs de la découverte, Apple a corrigé l'anomalie dans la dernière version de son logiciel.
Malgré ses efforts pour resserrer le contrôle sur les applications du Play Store, Google n'a pas pu éviter la présence de 24 applications infectées par le malware « Joker ».
Le Google Play Store a abrité plus de 200 applications intégrant un logiciel publicitaire qui inondait leurs utilisateurs de vidéos indésirables. Cette nouvelle affaire montre une fois de plus les problèmes de modérations que rencontre la plateforme.
Microsoft a révélé qu'une faille majeure affectait d'anciennes versions de Windows. Elle pourrait entraîner des piratages de grande envergure, comme cela avait pu être le cas avec le ver WannaCry. Heureusement, Windows 10 et Windows 8 ne sont pas touchés.
Pewdiepie, ex plus gros YouTuber au monde, s'est récemment fait dépasser au jeu des abonnements par le label musical indien T-Series. Pour lui venir en aide, et lui permettre de regagner sa place de numéro un, des fans du vidéaste suédois ont eu recours à des Ransomwares pour le moins... inhabituels.
Des chercheurs en sécurité ont détecté un logiciel malveillant d'un genre particulier sur Google Play, appelé « clipper ». Déjà connu sur Windows, il permet aux hackers de remplacer le contenu du presse-papier par l'adresse de leur propre portefeuille de cryptomonnaies.