À l'approche de l'été, Crucial a décidé de refondre ses gammes de SSD NVMe, ces modèles compacts aux caractéristiques impressionnantes. Le P5 ne devrait pas pointer le bout de son nez avant encore quelques semaines, mais le P2 est lui déjà chez nos revendeurs, en deux versions dotées de 250 Go ou de 500 Go d'espace de stockage.
Successeur annoncé du Samsung T5, le nouveau SSD portable du constructeur sud-coréen se décline en plusieurs versions selon la capacité et le coloris souhaités. Des déclinaisons qui ne changent toutefois rien au concept de SSD performant et compact... doté d'une petite surprise prenant la forme d'un lecteur d'empreintes digitales.
Western Digital ressort une nouvelle version du SSD WD Black. Mais l'entreprise ne s'est pas trop compliquée la tâche, se contentant d'une mise à jour du firmware pour faire du SN750 le nouveau SN700. Le SSD est ainsi identique en tout point, ou presque, à sa précédente version de 2018.
Le FireCuda 510 vient combler le secteur du gaming de Seagate. Ce SSD promet d'améliorer les performances en jeux en permettant de stocker toute sa librairie de jeux dans un seul moyen de stockage. Pour cela le SSD se décline en version allant jusqu'à 2 To de données.
Alors que Crucial peine à renouveler son offre haut de gamme, le constructeur fait en revanche feu de tout bois concernant l'entrée de gamme. Le BX100, qui vient tout juste de fêter ses 6 mois, se voit déjà remplacé par le BX200.
Le Samsung 950 Series est un SSD au format très réduit (M.2), utilisant l'interface NVMe et équipé de mémoire flash de type V-NAND. Chacune de ces caractéristiques n'a rien de neuf. Mais ce SSD est le premier à toutes les regrouper.
Après avoir renouvelé son haut de gamme avec le récent Vector 180, OCZ nous revient avec le Trion 100, un modèle aux ambitions plus mesurées et qui inaugurent pour la marque l'utilisation de NAND TLC.
Le BX100 de Crucial constitue le nouveau SSD d'entrée de gamme de la marque, remplaçant à ce titre le MX100. Et pour l'occasion, Crucial innove en délaissant Marvell, puisque le BX100 est doté d'un contrôleur Silicon Motion.
Avec son 750 Series, Intel propose le premier SSD PCI-E utilisant l'interface NVMe et destiné au grand public. La promesse : des performances débridées, bien supérieures en lecture à celles des SSD SATA qui forment l'écrasante majorité de l'offre actuelle.
Avec son Vector 180, OCZ continue de décliner son haut de gamme et en propose une troisième itération dont les évolutions ne sont pas à chercher du côté des performances, puisqu'il utilise le même contrôleur que celui introduit fin 2012.
Le 850 Evo de Samsung est la déclinaison en TLC du 850 Pro récemment testé dans nos lignes. Doté, lui aussi, de mémoire NAND 3D, il se destine au marché d'entrée / moyenne gamme et embarque un nouveau contrôleur.
Le MX200 de Crucial se veut une évolution en douceur du MX100 de la marque. Mais alors que ce dernier occupait l'entrée de gamme du constructeur, le MX200 semble prendre une tout autre place.
Samsung n'est désormais plus le seul constructeur de renom à disposer dans sa gamme d'un SSD doté de mémoire de type TLC. SanDisk rejoint le coréen dans le domaine avec son Ultra II, qui succède à l'Ultra Plus.
Après un 840 Pro plébiscité, Samsung revient sur le marché du haut de gamme avec un 850 Pro qui innove radicalement du point de vue de la mémoire utilisée. Ici nulle question de TLC, mais bel et bien de puces « 3D », appelées V-NAND par le constructeur.
Après un Ultra Plus innovant et un Extreme II performant, SanDisk revient sur le devant de la scène avec cette fois un Extreme Pro... endurant ! C'est en tous cas ce que laisse penser la garantie de 10 ans accordée par le constructeur.
Après un Q Series animé par un contrôleur Marvell, Toshiba étend sa gamme de SSD via un Q Series Pro qui fonctionne cette fois autour d'une puce maison. Toshiba devient ainsi l'égal de Samsung ou Intel, qui contrôlent l'ensemble de leur chaîne de production.
Depuis plusieurs années, Intel avait renoncé à produire ses propres contrôleurs pour équiper ses {shopper_categorie id="8" id_critere="12452"}SSD{/shopper_categorie}. Mais voilà que le fondeur nous revient avec un 730 Series qui utilise de nouveau une puce maison. De quoi replacer son SSD dans le peloton des meilleurs modèles du moment ?
Un peu moins d'un an après la sortie de son M500, Crucial revient avec le M550 dont le but n'est pas de remplacer le précédent SSD de la marque, mais bien de compléter son offre : le nouveau modèle du constructeur doit en effet constituer son haut de gamme.
OCZ est toujours vivant ! Après la validation de son rachat par le tribunal des faillites de l'État du Delaware, le constructeur est désormais en passe de devenir la propriété de Toshiba. Le Vertex 460, nouveau venu dans la gamme OCZ, inaugure ainsi l'arrivée des puces NAND du constructeur japonais au sein de la gamme Vertex d'OCZ.
Avec le Vector premier du nom, OCZ agrémentait son offre d'un SSD haut de gamme, tant par les performances délivrées que par la garantie de 5 ans proposée. Le constructeur renouvelle sa figure de proue sans changer cette politique, mais en améliorant par touches son produit.
Avec son 840 Evo, Samsung améliore son 840 et sa mémoire TLC pour approcher les performances du 840 Pro. Un tour de magie que l'on doit à un firmware optimisé et une utilisation astucieuse de la mémoire flash, mais dont tous les SSD ne profiteront pas de la même manière.
Samsung, Sandisk, OCZ. Ces trois marques, qui agitent le marché du SSD ces derniers mois, ont en commun de contrôler tout ou partie de la chaîne de production, ce qui offre un avantage concurrentiel à différents points de vue. Une autre marque dispose de cet avantage : il s'agit du japonais Toshiba. Nous testons aujourd'hui le nouveau Q Series du constructeur annoncé en mars dernier, ici en version 256 Go.
Après le succès (mais aussi les déboires) d'un Vertex 3 sous contrôleur SandForce, OCZ avait sorti un Vertex 4 passé plus inaperçu. À défaut d'une version 5, la marque revient avec un Vertex 450 dont contrôleur et firmware sont 100% maison. De quoi redonner ses lettres de noblesse au Vertex ?
Le M500 de Crucial a fait sa première apparition au CES en début d'année. À l'époque, cette annonce a fait un peu de bruit puisque le constructeur promettait un SSD d'une capacité de 1 To à moins de 600 euros.
En fin d'année dernière, nous testions le 840 Series de Samsung, premier SSD à embarquer des puces mémoire TLC. Samsung a également commercialisé un 840 « Pro » doté de puces MLC, ce qui en fait un produit bien différent de son cousin.
Après un Extreme doté d'un contrôleur SandForce qui ne se distinguait pas franchement de la concurrence, Sandisk se renouvelle complètement avec son Ultra Plus. Au programme, un contrôleur Marvell, des puces mémoire 19 nm et une technologie de cache novatrice.
Avec son 330 Series, Intel n'avait opéré que quelques petits ajustements par rapport à son 520 Series. Un nouveau firmware, une garantie qui passe de 5 à 3 ans, et puis c'est tout ! L'objectif : proposer un SSD dont le prix vienne approcher ceux d'une concurrence à la politique tarifaire plus agressive et parfaire sa gamme.
Avec son 830 Series, Samsung avait inauguré l'arrivée du SATA 6 Gbps dans ses SSD. Avec le 840 Series que nous testons aujourd'hui, la firme coréenne innove cette fois à l'échelle du marché. Le nouveau modèle de la marque est en effet le premier à utiliser des puces de type TLC.
S'il est évident que le SSD a de beaux jours devant lui, le rapport capacité / prix de ces supports de stockage d'un nouveau genre peine à croître. Les performances sont certes excellentes, mais les tarifs demeurent élevés, surtout lorsqu'il s'agit d'opter pour un modèle de plus de 240 Go. Le disque dur offre quant à lui une capacité nettement plus confortable pour un prix bien moindre, mais souffre de performances obsolètes face au SSD. Pourquoi dans ce cas ne pas allier les qualités de chacun ? C'est l'idée du SSD caching...