Un nouveau malware particulièrement sophistiqué a été détecté sur PornHub. Son nom : Kovter.
Les ransomwares sont la menace la plus importante de ces dernières années dans le domaine de la cybercriminalité. Ces logiciels ont pour objectif de bloquer l'ordinateur de la victime avant de lui demander une rançon, généralement une somme en bitcoins ou autre cryptomonnaie. Lorsque la victime a payé, elle reçoit une clé de décryptage qui lui permet d'accéder à nouveau à ses fichiers.
Des hackers ont réussi à insérer un malware dans le logiciel CCleaner. Pour cela, ils sont passés par les serveurs de téléchargement d'Avast.
Si les pirates continuent de s'attaquer aux ordinateurs fixes, les smartphones deviennent une cible de choix. Les failles, notamment dans les applications mobiles, sont nombreuses et les utilisateurs n'ont pas encore pris l'habitude de faire les mises à jour de sécurité pour leur appareil ou pour les applications qu'ils utilisent. Résultat : les smartphones sont vulnérables.
Sur Facebook Messenger, des messages incitant à regarder une vidéo sont envoyés. Ne cliquez surtout pas sur le lien : il s'agit d'un piège qui installera un malware sur votre ordinateur.
Une des dernières nouveauté d'Android 8 Oreo, le système de sécurité intégré, n'aurait rien pu faire contre ce nouveau malware qui a été identifié par les experts du spécialiste de la sécurité informatique Lookout. Comme expliqué sur le blog officiel de l'entreprise de sécurité le 21 août 2017, le malware identifié avait infecté plus de 500 applications autorisées par le Google Play Store.
Il avait fait la Une des journaux en mai 2017 lorsque l'attaque du ransomware Wannacry avait frappé plus de 150 pays dans le monde : il y avait joué un rôle primordial. Cette fois-là, par contre, il était du bon côté de la barricade : Marcus Hutchins, 23 ans, avait trouvé le moyen de stopper la propagation du malware en découvrant par hasard le « killswitch » du malware.
Le géant Amazon vient de frapper fort contre les smartphones chinois fabriqués par BLU, des smartphones low-cost peu connus dans l'Hexagone. Il les a tout simplement supprimés de son catalogue de vente, privant l'entreprise de la plus grosse marketplace du monde. En cause : la présence d'un logiciel espion pré-installé dans les smartphones, semble-t-il à l'insu de BLU.
Les deux récentes attaques informatiques par ransomware de mai et juin 2017, WannaCry et Petya/NotPetya, on fait prendre conscience du problème croissant que représentent les logiciels de ce type. Malheureusement, selon une étude de Google, le monde n'est pas près de s'en débarrasser. Bien au contraire : les ransomwares sont malgré tout une bonne affaire pour les hackers qui ont cumulé des millions de dollars.
Google Play Store, le store de Google pour Android, est régulièrement pointé du doigt : des malwares, des ransomwares et des spywares sont ponctuellement découverts dans des applications disponibles en téléchargement. Les hackers réussissent toujours à passer outre les contrôles mis en place par Google pour protéger ses utilisateurs.
Vous ne connaissez pas encore Fruitfly ? Et pour cause : même les spécialistes de la sécurité informatique ont mis du temps à le découvrir. Ce malware a néanmoins existé pendant au moins deux ans et a infecté au moins 400 Mac. Et ce n'est que l'estimation la plus modeste !
Les grandes vacances battent désormais leur plein mais les clients des hôtels se doivent de redoubler de vigilance lorsqu'ils utilisent le Wifi proposé avec leur chambre. Le groupe de hackers DarkHotel, considéré comme une menace APT (Advanced Persistent Threat) et qui mène des attaques depuis une dizaine d'années, semble avoir lancé une nouvelle campagne contre les voyageurs.
Selon les informations de TheNextWeb, la vulnérabilité de Windows qui a permis la propagation du wiper NotPetya avait été découverte par la NSA (une des agences de renseignement américaines) en 2012, mais elle est tombée entre de mauvaises mains par la suite.
Quand on pense à Elsa, depuis la Reine des Neiges, impossible de ne pas avoir la chanson « Libérée, délivrée » dans la tête. Pour la CIA, selon les dernières révélations du Vault 7 de Wikileaks publiées le 28 juin 2017, ELSA est plutôt synonyme de « Espionnée, surveillée » et, surtout, « traquée ». Grâce à ce système, la CIA aurait été en mesure de géolocaliser qui elle voulait.
WannaCry, Petya ... vous avez entendu ces noms évoqués dans les médias, mais n'avez aucune idée de ce que ça peut être. Nous sommes là pour vous aider à comprendre ce qu'est un ransomware !
Afin de protéger les fichiers des dangers provenant de logiciels de cryptage, notamment des ransomwares (rançongiciels), Microsoft s'apprête à dévoiler une fonctionnalité révolutionnaire pour Windows : chaque application pourra désormais accéder uniquement à son dossier « maison » et pas à d'autres.
L'attaque mondiale au ransomware, Petya, continue de dévoiler ses mystères au fur et à mesure que les spécialistes en sécurité informatique tracent l'origine de l'infection et étudient le code du malware. Les premiers résultats des analyses sembleraient montrer que Petya n'est pas une attaque au ransomware classique comme l'attaque WannaCry de mai 2017. En fait, le ransomware ne serait qu'une façade.
La création d'un fichier permet de protéger votre ordinateur du virus Petya. Néanmoins, cela n'empêche pas celui-ci de continuer à répandre le virus sur d'autres ordinateurs connectés au même réseau.
En mai 2017, le monde découvrait la plus grosse attaque par ransomware jamais lancée : WannaCry. Elle avait touché plusieurs centaines de milliers d'ordinateurs dans plus de 150 pays. Un mois après, voilà qu'une nouvelle attaque similaire frappe les plus grosses entreprises du monde : un ransomware nommé Petya et plusieurs de ses variantes ont bloqué des systèmes informatiques un peu partout.
Il n'est pas une nouveauté, les experts en cybersécurité l'ont découvert en 2015 , mais il reste toujours très menaçant et continue d'infecter des milliers de smartphones Android. Voici Xavier, un malware qui revient sur le devant de la scène, à la suite d'un rapport de TrendMicro sur sa propagation. Il aurait infecté des centaines d'applications téléchargeables sur le Play Store.
Du 12 au 15 mai 2017, l'attaque informatique WannaCry frappait des milliers d'ordinateurs Windows à travers le monde. Le spécialiste de sécurité informatique Fortinet alerte sur son blog sur la propagation d'un ransomware comparable, mais cette fois-ci conçu pour les Mac. Son nom : MacRansom
La firme spécialisée dans la sécurité informatique Kaspersky Lab a identifié une nouvelle forme d'attaque visant les smartphones et autres appareils tournant sous Android. Le malware, un cheval de Troie, est particulièrement dangereux et il annonce une nouvelle ère pour les attaques contre l'OS mobile de Google : l'ère de l'injection de code.
L'attaque mondiale par le ransomware WannaCry a frappé plus de 150 pays dans le monde et des entreprises majeures comme Renault. Des centaines de milliers de victimes ont été recensées partout dans le monde, bien que peu aient finalement payé les quelques centaines de dollars en bitcoins réclamés par les pirates pour débloquer leurs données.
Google Play Store, qui permet aux utilisateurs de smartphones Android de télécharger leurs applications, a de nouveau été victime d'une campagne de malware. Selon la firme spécialisée dans la sécurité informatique Checkpoint, plusieurs applis ont passé les tests de sécurité de la firme de Mountain View et se sont avérées être infectées. Google a pris des mesures, mais des dizaines de millions d'utilisateurs auraient été infectés.
Alors que le monde a été frappé par WannaCry, l'attaque par ransomware qui utilisait la faille Windows EterbalBlue exploitée par la NSA, Wikileaks a dévoilé le 12 mai 2017 de nouvelles informations issues du Vault 7, les documents secrets de la CIA. En particulier, le site fondé par Julian Assange met l'accent sur deux malwares utilisés par l'agence américaine pour espionner des cibles.
Le vendredi 12 mai 2017, le monde a été frappé par ce qui est, à ce jour, la plus grosse attaque informatique par ransomware jamais identifiée. Plus de 200.000 ordinateurs infectés dans plus de 150 pays et une technique inédite : l'utilisation d'une faille Windows dévoilée par les hackers Shadow Brokers et qui était utilisée par la NSA.
Le monde a été frappé, vendredi 12 mai 2017, par la plus grosse attaque de ransomware de l'Histoire. Une attaque qui a fait quelque 200.000 victimes en quelques jours et qui a utilisé des failles majeures présentes dans Windows et déjà exploitées par la NSA pour espionner de cibles. Un (ou une) jeune britannique de 22 ans aurait réussi à freiner la propagation du virus, avec une technique un peu originale.
Des pirates informatiques non encore identifiés ont réussi, vendredi 12 mai 2017, a réaliser ce qui semble être la plus grosse attaque par ransomware (« rançongiciel » en français) de l'Histoire d'Internet. Une attaque qui a ciblé les ordinateurs de plus de 150 pays, selon Europol, et qui a fait plus de 200.000 victimes en quelques heures.
Une vingtaine d'ordinateurs et tablettes HP contiendraient des keyloggers, aussi appelés « logiciels espions », qui enregistrent toutes les données et activités. Certains sont infestés depuis décembre 2015.