Voici un nouveau rebondissement dans l'affaire qui oppose Adobe à Apple concernant la technologie Flash. Pour mémoire, le PDG de la firme de Cupertino s'était exprimé au travers d'un communiqué de presse afin de justifier l'absence de Flash sur l'iPhone, l'iPod Touch et l'iPad. Steve Jobs déclarait en effet que l'avenir des technologies mobiles devait passer par des standards ouverts tel que HTML, CSS et JavaScript plutôt que par une technologie propriétaire telle que Flash.
La Free Software Foundation (organisation de promotion du Libre) lance le 4 mai, la journée sans DRM. Ces systèmes de gestion de contrôle d'usage des fichiers numériques(Digital Rights Management ou Mesures Techniques de Protection en français) sont jugés incompatibles avec les logiciels libres. L'action coïncide avec une nouvelle proposition de loi visant à créer une licence globale sur les contenus audiovisuels sur Internet.
Au mois de décembre 2006, LG Display, la division de LG Electronics spécialisée dans la conception d'écrans LCD, avait déposé une plainte à l'encontre de la firme taïwanaise AU Optronics pour violation quatre brevets déposés. LG Display demandait alors 690 millions dollars de dommages et intérêts. En réponse, AU Optronics rejeta cette plainte et décida de contre-attaquer en déposant à son tour un recours à l'encontre du plaignant pour l'usage illégal de ces mêmes droits de propriété intellectuelle.
Google vient de remporter deux batailles judiciaires aux Etats-Unis et en Allemagne hier, dans deux dossiers différents. Aux Etats-Unis, le géant du net a gagné contre Rosetta Stone, une entreprise qui propose des formations en langues étrangères. L'entreprise considérait que les pratiques commerciales de Google, qui permet à ses clients d'acheter des mots-clés sur des marques qui ne leur appartiennent pas, violaient sa propriété intellectuelle. En Allemagne, la Cour suprême a jugé que Google ne violait pas le droit sur le copyright avec Google Image Search.
Nokia continue d'étendre son service de vente de musique sur mobile Comes With Music dans le monde entier : aujourd'hui, c'est la Chine qui fait son entrée dans le cercle de la trentaine de pays à en bénéficier. Et pas de n'importe quelle manière, puisqu'à l'inverse des 29 autres pays ayant accès au service, la Chine est exemptée de DRM.
Très en retard sur le planning initialement présenté par Ubisoft, Splinter Cell Conviction devrait nous arriver le 15 avril... au moins sur Xbox 360. Nous savons effectivement depuis déjà quelques semaines que la version PC ne sera pas disponible avant le 29 avril : un décalage que de nombreuses rumeurs ont attribué au nouveau système de protection mis en place par l'éditeur.
Un tribunal de l'Utah, aux Etats-Unis, vient de trancher un différend sur la propriété intellectuelle d'UNIX en faveur de Novell. Ce jugement est un revers pour le groupe SCO, qui affirmait qu'en autorisant une autre entreprise à prendre en charge le système d'exploitation utilisé par de grands groupes, Novell avait cédé les droits de propriété.
La société Apple est une nouvelle fois impliquée dans une affaire de brevet logiciel et c'est le fabricant taïwanais Elan Microelectronics Corp (EMC) qui a déposé une plainte auprès de la chambre du commerce international des Etats-Unis à Washington. Au coeur de cette polémique nous retrouvons la technologie multipoint embarquée au sein des iPhone, des iPod Touch, de la gamme des MacBook ou encore de la souris Magic Mouse.
Système très impopulaire chez les joueurs PC, le DRM a pourtant été adopté par certains grands éditeurs, parmi lesquels Ubisoft. Problème : les serveurs de l'éditeur ont subi des attaques récurrentes - méchants pirates ! - entraînant une impossibilité de lancer une session de jeu pour un certain nombre de possesseurs de Silent Hunter 5 : Battle Of The Atlantic et Assassin's Creed 2. Une minorité selon les termes d'Ubisoft - à peine 5% des utilisateurs - que l'éditeur prendra soin de dédommager pour la gêne occasionnée.
Google vient d'obtenir gain de cause sur la propriété intellectuelle, dans une affaire qui l'opposait à plusieurs entreprises devant la Cour de justice de l'Union européenne (CJUE). Le jugement porte sur l'utilisation des marques au sein du service Google Adwords. Les adversaires de Google France, comme Vuitton, ont fait remarquer que lors de la recherche de marques leurs appartenant sur le moteur, des liens sponsorisés vers d'autres sites apparaissaient. Et ces sites proposent justement des imitations de sacs Vuitton. En plus du mot « Vuitton », le service Adwords, appartenant à Google, vend aussi des mots clés associés, comme « imitation » ou « copie ». Vuitton estime donc que Google porte atteinte à ses marques.
La mauvaise presse autour de la dernière trouvaille d'Ubisoft en termes de protection anti-piratage se poursuit aujourd'hui avec la décision de Valve de retirer les jeux utilisant le fameux DRM de son catalogue de titres proposés sur Steam. Ce retrait ne serait pour le moment effectif qu'au Royaume Uni, les jeux étant toujours disponibles à l'achat aux États-Unis et en France notamment. Valve ne souhaite pas ternir la réputation de sa plateforme de téléchargement en proposant des jeux qui fonctionnent mal ou qui énervent les joueurs, dit même un anonyme proche de l'industrie PC à nos confrères de CVG.
Le DRM nouvellement créé par Ubisoft pour les versions PC de ses jeux a déjà beaucoup fait parlé de lui. Rappelons rapidement les faits : les jeux comme Assassin's Creed 2 ou Silent Hunter 5 : Battle Of The Atlantic ont besoin d'une connexion Internet permanente pour fonctionner. Le jeu lance un scan régulier et se met en pause en cas de déconnexion prolongée. Si le principe est déjà largement critiquable (jeu sur ordinateur portable ?), sa mise en place ne s'est de plus pas fait sans accrocs. Les multiples plantages du serveur d'Ubisoft censé vérifier les connexions ont empêché pas mal de joueurs (5% selon Ubisoft) de jouer à leurs jeux fraichement acquis. On aurait pu croire que ce système aurait été tué dans l'œuf par toute cette mauvaise presse...
La société américaine Wireless Inc, qui propose un réseau communautaire spécialement conçu pour les téléphones mobiles, a déposé une plainte à l'encontre des géants Facebook et Google. La firme pointe du doigt une violation de ses droits de propriété intellectuelle protégés par un brevet.
Le nouveau système de protection qu'Ubisoft a mis en place pour les versions PC de ses jeux fait déjà des siennes. Vous l'avez peut-être constaté en essayant de jouer à Assassin's Creed 2 ce week-end : c'est un peu le foutoir du côté de l'éditeur français. Rappelons que ce système révolutionnaire teste régulièrement votre connexion Internet, obligatoire pour jouer. Une coupure et hop, vous voilà repartis au checkpoint précédent dès que votre connexion revient.
Crédits : deadgod.netDécidément, les histoires relatives aux violations de brevets logiciels n'en finissent plus. Aujourd'hui c'est Apple qui a annoncé avoir déposé une plainte à l'encontre du fabricant taïwanais HTC pour violation de technologies protégées par des droits de propriété intellectuelle. La firme de Cupertino explique que ces droits ont été déposés via une vingtaine de brevets pour la technologie embarquée au sein de l'interface utilisateur de l'iPhone.
A quelques encablures de sa sortie sur PC et Xbox 360 (prévue le 15 avril), Splinter Cell Conviction voit sa configuration minimale détaillée par Ubisoft :
Haro sur la copie privée ! La polémique enfle depuis une quinzaine de jour, de nombreux abonnés à Orange ne peuvent plus enregistrer les programmes des bouquets CanalPlus, CanalSat et Orange Cinéma Séries. Nombreux sont ceux qui ont cru au blocage de l'un des derniers moyens de jouir de l'exception de copie privée, mais c'est en fait un peu plus subtil.
La firme Xerox, principalement connue pour avoir inventé le photocopieur, a déposé une plainte contre les sociétés Google et Yahoo! en accusant ces dernières d'avoir violé des droits de propriété intellectuelle protégés par des brevets.
Microsoft et Amazon ont annoncé lundi soir la signature d'un accord selon les termes duquel chacune de deux sociétés pourra accéder au catalogue des brevets détenus par l'autre. Les modalités financières de ce partenariat n'ont pas été précisées, mais Microsoft précise qu'Amazon lui versera une somme d'argent non communiquée en contrepartie de cet accord.
Une nouvelle histoire de violation de brevets vient de faire surface et cette fois ce sont Microsoft et Apple qui sont accusés d'avoir embarqué une technologie protégée par des droits d'utilisation. En effet, la firme israélienne Emblaze explique que les deux firmes en question auraient embarqué un dispositif de streaming de médias identique à celui de deux de ses logiciels : Magic Software et IT. Microsoft aurait utilisé cette technologie au sein de son système IIS Smooth Streaming et Apple dans son protocole HTTP LIve Streaming.
2K a publié hier sur Steam les configurations minimales et recommandées pour la version PC de BioShock 2, toujours prévu pour le 9 février prochain.
Nokia et Packard-Bell viennent tous deux d'être condamnés par des tribunaux français pour ne pas s'être acquitté de la redevance pour copie privée entre janvier et août 2009, révèle mardi le quotidien Les Echos. Nokia écope de 2 millions d'euros d'amende, contre 450.000 pour Packard-Bell.
Six majors du disque sont accusées d'entente illicite sur les prix de la musique en ligne, en violation de la réglementation antitrust américaine. C'est une cour d'appel fédérale de Manhattan (New York) qui a relancé une procédure, classée sans suite en octobre 2008, à l'encontre notamment d'EMI, d'Universal, de Sony BMG et de Warner.
Décidément, la saga des injonctions en justice pour violation de brevets n'en finit plus. Après Apple vs Palm, Nokia vs Apple ou encore Elan Microelectronics vs Apple, c'est au tour de Kodak de déposer plainte et, oh surprise, Apple est encore de la partie accompagné du canadien Research In Motion.
Aux Etats-Unis, une société a déposé une plainte à l'encontre de la ville de Pékin en accusant cette dernière de violation de propriété intellectuelle. La société Solid Oak Software Inc demande ainsi la somme de 2,2 milliards de dommages et intérêts soit environ 1,55 milliard d'euros.
Au mois d'octobre le fabricant finlandais Nokia avait déposé une plainte à l'encontre d'Apple. En effet, la firme de Cupertino avait été accusée d'avoir violé une dizaine de brevets concernant les connexions GSM, UMTS (3G) et WLAN de ses iPhone. Nokia expliquait ainsi avoir investi plus de 40 milliards de dollars dans son département dédié à la recherche et au développement ces vingt dernières années. Plus précisément, le finlandais estime posséder les droits sur ces technologies devenues standardisées sur le marché de la mobilité.
Une fois n'est pas coutume, la prochaine mise à jour de Word lui retirera une fonction, au lieu d'en ajouter comme on pourrait s'y attendre. Cette mise à jour retire en fait la fonction Custom XML, pour laquelle Microsoft a été reconnu coupable de violation de brevet et condamné à verser près de 300 millions de dollars de dommages et intérêt. Comme promis, Microsoft s'est donc « rapidement mis en conformité avec cette injonction ».
Sale cadeau de Noël pour Amazon ? Un hacker israélien vient d'annoncer qu'il avait réussi à casser le système de gestion des droits numériques, ou DRM, associé à son lecteur de livres électroniques, le Kindle. De ce fait, il devient possible d'exporter au format PDF les livres électroniques acquis au format propriétaire utilisé par Amazon sur son kiosque de téléchargement, le .azw.
Triste anecdote que celle survenue aux spectateurs allemands qui avaient obtenu un billet pour l'avant-première du très attendu Avatar de James Cameron : selon Heise.de, le système de gestion des droits numériques associé à la copie utilisée s'est révélé si difficile à manipuler que les techniciens en charge de la projection ont finalement dû se résoudre à projeter le film en 2D, alors que la « 3D » est l'un des arguments phare de la superproduction de cette fin d'année.