Les deux meilleurs ennemis du monde de la carte graphique chercheraient à réduire le coût de fabrication du milieu de gamme qui doit marquer une rupture avec les tarifs actuels pour convaincre.
« C’est l’histoire d’un processeur qui tombe et qui, au fur et à mesure de sa chute, se répète sans cesse pour se rassurer : jusqu’ici, tout va bien… »
C'était à prévoir, et visiblement, cela se concrétise : les mineurs de crypto-monnaies revendent leurs importants volumes de cartes graphiques en tentant, dans certains cas, de les maquiller afin de les faire passer pour neuves. Cette pratique a été mise en évidence par des youtubeurs brésiliens.
Aujourd'hui disparu, 3DFX était l'un des fabricants majeurs de GPUs sur la seconde moitié des années 90. En 2000, NVIDIA rachetait néanmoins l'essentiel des actifs du constructeur, deux ans seulement avant qu'il ne finisse par faire faillite.
Ce n'est évidemment pas une carte graphique destinée à atterrir entre toutes les mains, mais un indicateur des possibilités de la génération Ada Lovelace.
Des « vieilleries » telles qu'Elder Scrolls III: Morrowind (2002) ou S.T.A.L.K.E.R.: Call of Pripyat (2009) donnent du fil à retordre au processeur Elbrus.
Des cartes graphiques de génération RDNA 3 dotées de la technologie 3D Vertical Cache pourraient voir le jour… et largement améliorer leurs résultats ?
Un hôtel avec un sauna, une piscine, ou un jacuzzi, c’est surfait : le vrai luxe désormais – du moins pour le joueur lambda – c’est d’avoir un GPU haut de gamme.
L’arrivée de la DDR5 a permis de passer un cap côté fréquences et les records tombent un à un avec, par exemple, la commercialisation par G.Skill d’un kit de DDR5-8000. Sans aller aussi haut, notre cobaye du jour n’a pas à rougir : il plafonne certes à 6 800 MT/s, mais conserve des timings impressionnants de CL34.
