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Au lendemain de l'acquisition de ALG Software, le cours de Business Objects a gagné près de 8%, dopé par les rumeurs de rachat ... de BO !
La concentration s'accélère sur le marché des progiciels. Numéro 1 mondial du décisionnel depuis le rachat en juillet 2003 de Crystal Decisions, le français Business Objects soigne son image de "prédateur" et a annoncé mercredi l'acquisition pour 30 millions de livres (44 M€) de Armstrong Laing Limited, un éditeur britannique spécialisé dans les solutions de gestion de la rentabilité et de calcul des coûts par activité.
Malgré cette opération de fusion acquisition, c'est paradoxalement une rumeur de rachat de Business Objects qui a fait bondir le cours de l'éditeur de 7,56% ce jeudi, offrant à BO la plus forte progression du marché SRD.
Longtemps domaine réservé de quelques spécialistes comme Business Objects, Cognos ou encore hyperion, le marché du décisionnel intéresse désormais officiellement les grands noms du progiciel comme Microsoft, , et surtout Oracle, des sociétés qui n'hésitent pas à sortir leur carnet de chèque pour prendre une position dominante sur un marché.
La concentration s'accélère sur le marché des progiciels. Numéro 1 mondial du décisionnel depuis le rachat en juillet 2003 de Crystal Decisions, le français Business Objects soigne son image de "prédateur" et a annoncé mercredi l'acquisition pour 30 millions de livres (44 M€) de Armstrong Laing Limited, un éditeur britannique spécialisé dans les solutions de gestion de la rentabilité et de calcul des coûts par activité.
Malgré cette opération de fusion acquisition, c'est paradoxalement une rumeur de rachat de Business Objects qui a fait bondir le cours de l'éditeur de 7,56% ce jeudi, offrant à BO la plus forte progression du marché SRD.
Longtemps domaine réservé de quelques spécialistes comme Business Objects, Cognos ou encore hyperion, le marché du décisionnel intéresse désormais officiellement les grands noms du progiciel comme Microsoft, , et surtout Oracle, des sociétés qui n'hésitent pas à sortir leur carnet de chèque pour prendre une position dominante sur un marché.
