La transaction, 45 millions d'euros en numéraire, permet à Atos Origin d'abandonner une filiale déficitaire. « Cette opération est un signal clair de notre détermination à procéder à des arbitrages d'actifs. La cession de l'activité d'Atos Origin en Italie aura un effet relutif immédiat sur la marge et la croissance organique du groupe », affirme dans un communiqué Philippe Germond, président du directoire de la SSII.
Quant au groupe italien Engineering, il entend devenir le numéro trois de l'intégration et de l'infogérance sur son marché, derrière les multinationales américaines et Accenture.