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Le secteur des télécoms, toujours affecté par la crise, poursuit sa restructuration avec à la clé nombreux licenciements.
Ainsi, le deuxième opérateur américain des télécommunications Worldcom vient d'annoncer la suppression de 3.700 emplois, soit 4% de ses effectifs totaux, s'ajoutant aux 9.000 postes supprimés en 2001 sur les 75.000 que compte le groupe.
Ces suppressions concerneront la filiale de services aux entreprises consacrée aux services IP, data et international tandis que MCI Group, la branche téléphonie longue distance de Worldcom ne devrait pas être affectée par ces licenciements.
L'objectif affiché est de réduire les coûts dans un contexte de ralentissement de la croissance du chiffre d'affaires afin de parvenir à atteindre les objectifs de croissance prévus et annoncés pour 2002.
En espérant que les comptes de Worldcom, audités par le cabinet Andersen ne présentent pas d'irrégularités à l'instar de ceux d'Enron. D'après les Echos, Le gendarme de la Bourse américaine (SEC) enquête notamment sur les prêts accordés par l'opérateur américain à ses dirigeants ainsi que sur le gonflement artificiel des commissions aux vendeurs.
Ainsi, le deuxième opérateur américain des télécommunications Worldcom vient d'annoncer la suppression de 3.700 emplois, soit 4% de ses effectifs totaux, s'ajoutant aux 9.000 postes supprimés en 2001 sur les 75.000 que compte le groupe.
Ces suppressions concerneront la filiale de services aux entreprises consacrée aux services IP, data et international tandis que MCI Group, la branche téléphonie longue distance de Worldcom ne devrait pas être affectée par ces licenciements.
L'objectif affiché est de réduire les coûts dans un contexte de ralentissement de la croissance du chiffre d'affaires afin de parvenir à atteindre les objectifs de croissance prévus et annoncés pour 2002.
En espérant que les comptes de Worldcom, audités par le cabinet Andersen ne présentent pas d'irrégularités à l'instar de ceux d'Enron. D'après les Echos, Le gendarme de la Bourse américaine (SEC) enquête notamment sur les prêts accordés par l'opérateur américain à ses dirigeants ainsi que sur le gonflement artificiel des commissions aux vendeurs.
