Le point de vue d’un étudiant sur les start-up françaises en Grande-Bretagne

18 septembre 2001 à 00h00
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Etudiant à l'IEP Toulouse, Jean-Marie BUGAREL choisit de présenter son travail sur «l'implantation des start-up françaises en Grande-Bretagne».

Etudiant à Sciences Po Toulouse, Jean-Marie BUGAREL a décidé de présenter une introduction à son mémoire, afin d'attirer d'éventuels lecteurs et d'assurer «l'après» IEP.

L'auteur a intitulé son mémoire : «L'implantation des start-up françaises en Grande-Bretagne : ruée vers un Eldorado ?» Ce mémoire fera l'objet d'une soutenance en février prochain.

Jean-Marie BUGAREL souligne que depuis 1998 un phénomène de traversée de la Manche par les start-up françaises s'est opéré, avec «un pic» en 2000 (Himalaya, Fi System).

Malgré une conjoncture difficile, «la Grande-Bretagne reste le pays le plus avantageux d'Europe pour une implantation : environnement fiscal et social favorable, libéralisation des télécommunications, développement de l'Internet plus rapide que sur le continent, possibilité de tremplin vers les Etats-Unis.»

Toutefois, l'auteur estime qu'il ne faut pas considérer la Grande-Bretagne comme un «eldorado» sans obstacle au développement des affaires. Le Royaume-Uni est un pays de droit commun, «il est néanmoins formaliste et réglé par des coutumes et des hiérarchies très précises», explique l'auteur.

Jean-Marie BUGAREL a passé 6 mois à Londres afin de mieux comprendre l'implantation des jeunes entreprises françaises en Grande-Bretagne, «les raisons des succès et les causes des échecs», et d'analyser «les enjeux et les risques d'une implantation en Angleterre.»

Interrogé par NetEconomie.com, l'auteur conclut : «Le but de ce mémoire est d'informer, car l'information soutient la réussite d'une stratégie d'expansion en Grande-Bretagne.»

A l'adresse e-mail bugarel@voila.fr les personnes intéressées pourront obtenir des informations complémentaires sur ce mémoire.

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