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Suite au rapport d'Henri Guillaume, le ministère des finances a décidé de créer une mission pour l'économie numérique.
Suite à la remise d'un rapport de l'Inspecteur Général des Finances Henri Guillaume à Laurent Fabius, le ministère de l'économie et des finances a décidé de créer une mission pour l'économie numérique "afin de préciser l'impact des technologies de l'information et de la communication sur l'ensemble de l'économie". Cette mission sera composée de 6 personnes, issues du secteur public et du secteur privé. Les recommandation du rapport sont les suivantes: Renforcer le couplage recherche-industrie, Assurer un réel suivi de la politique de valorisation, Inciter davantage à la mobilité des chercheurs statutaires, Prendre en compte d'autres critères qu'académiques dans l'évaluation des chercheurs, Renforcer le dispositif en faveur de l'emploi scientifique et technique, Clarifier les priorités de la politique de la technologie, Simplifier le dispositif du transfert de technologie, Donner un nouvel essor au capital risque, Clarifier le financement public de la recherche industrielleÉclairer le " modèle français " par une vision stratégique, Assurer une meilleure lisibilité du dispositif des aides régionales, Conforter le mécanisme de crédit d'impôt recherche. Ces recommandations sont certainement pertinentes mais on peut s'étonner que rien ne mentionne le coût prohibitf de l'accès local, à l'origine du retard français. On peut aussi se demander si le coût des licences UMTS peut avoir un impact négatif sur cette économie numérique...
Suite à la remise d'un rapport de l'Inspecteur Général des Finances Henri Guillaume à Laurent Fabius, le ministère de l'économie et des finances a décidé de créer une mission pour l'économie numérique "afin de préciser l'impact des technologies de l'information et de la communication sur l'ensemble de l'économie". Cette mission sera composée de 6 personnes, issues du secteur public et du secteur privé. Les recommandation du rapport sont les suivantes: Renforcer le couplage recherche-industrie, Assurer un réel suivi de la politique de valorisation, Inciter davantage à la mobilité des chercheurs statutaires, Prendre en compte d'autres critères qu'académiques dans l'évaluation des chercheurs, Renforcer le dispositif en faveur de l'emploi scientifique et technique, Clarifier les priorités de la politique de la technologie, Simplifier le dispositif du transfert de technologie, Donner un nouvel essor au capital risque, Clarifier le financement public de la recherche industrielleÉclairer le " modèle français " par une vision stratégique, Assurer une meilleure lisibilité du dispositif des aides régionales, Conforter le mécanisme de crédit d'impôt recherche. Ces recommandations sont certainement pertinentes mais on peut s'étonner que rien ne mentionne le coût prohibitf de l'accès local, à l'origine du retard français. On peut aussi se demander si le coût des licences UMTS peut avoir un impact négatif sur cette économie numérique...
