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Fidèle à son ambition de "vider les poches de ses abonnés", NTT lance DCMX, un nouveau service bancaire pour téléphone mobile
La première convergence a opposé les acteurs de l'audiovisuel, de l'informatique et des télécoms mais une seconde convergence est également en train de se faire avec le secteur bancaire.
Fidèle à son ambition de "vider les poches de ses abonnés", une expression à prendre aussi bien au sens propre qu'au sens figuré, l'opérateur japonais NTTT DoCoMo dévoile DCMX (DoCoMo X), un nouveau service bancaire pour téléphone mobile.
Après avoir intégré la technologie sans-contact Felica dans plus de 10 millions de combinés et pris en charge des micropaiements avec la solution EDY ou absorbé la carte de transport avec la solution SUICA, DoCoMo a décidé d'émettre lui-même des cartes de crédit sous la marque DCMX, entrant en concurrence frontale avec les banques.
Un premier service, s'apparentant à Moneo et baptisé DCMX mini, sera proposé dès le 28 avril. Plafonné à des dépenses de 10.000 yens (75 €uros), il ne nécessitera pas d'identification. Un second service, plus proche d'une carte bancaire classique et baptisé DCMX, offrira quand à lui un volume de dépense pouvant atteindre les 200.000 yens (1500 euros) mais nécessitera la saisie d'un code à 4 chiffres. Dans les deux cas, le montant de la transaction sera débité du compte DCMX et ce dernier pourra à l'inverse être crédité en y déposant par exemple son salaire...
Véritable déclaration de guerre au monde bancaire, ce type de service inspire également des pure players comme PayPal, disponible depuis quelques semaines par SMS, mais également les opérateurs cellulaires français, qui testent depuis déjà quelques années des services équivalents.
Reste à savoir si après avoir fait le tour des services de communication ou de divertissement, ces derniers se lanceront à l'assaut du marché des cartes bancaires, forçant les banques à devenir de simples prestataires de services financiers plus évolués.
La première convergence a opposé les acteurs de l'audiovisuel, de l'informatique et des télécoms mais une seconde convergence est également en train de se faire avec le secteur bancaire.
Fidèle à son ambition de "vider les poches de ses abonnés", une expression à prendre aussi bien au sens propre qu'au sens figuré, l'opérateur japonais NTTT DoCoMo dévoile DCMX (DoCoMo X), un nouveau service bancaire pour téléphone mobile.
Après avoir intégré la technologie sans-contact Felica dans plus de 10 millions de combinés et pris en charge des micropaiements avec la solution EDY ou absorbé la carte de transport avec la solution SUICA, DoCoMo a décidé d'émettre lui-même des cartes de crédit sous la marque DCMX, entrant en concurrence frontale avec les banques.
Un premier service, s'apparentant à Moneo et baptisé DCMX mini, sera proposé dès le 28 avril. Plafonné à des dépenses de 10.000 yens (75 €uros), il ne nécessitera pas d'identification. Un second service, plus proche d'une carte bancaire classique et baptisé DCMX, offrira quand à lui un volume de dépense pouvant atteindre les 200.000 yens (1500 euros) mais nécessitera la saisie d'un code à 4 chiffres. Dans les deux cas, le montant de la transaction sera débité du compte DCMX et ce dernier pourra à l'inverse être crédité en y déposant par exemple son salaire...
Véritable déclaration de guerre au monde bancaire, ce type de service inspire également des pure players comme PayPal, disponible depuis quelques semaines par SMS, mais également les opérateurs cellulaires français, qui testent depuis déjà quelques années des services équivalents.
Reste à savoir si après avoir fait le tour des services de communication ou de divertissement, ces derniers se lanceront à l'assaut du marché des cartes bancaires, forçant les banques à devenir de simples prestataires de services financiers plus évolués.
