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Après quelques années de silence, la régie publicitaire Hi Media refait parler d'elle en annonçant le rachat de son concurrent Numeriland pour 1.65 M€
Concentration dans la publicité en ligne ? Après quelques années de silence, la régie publicitaire Hi Media refait parler d'elle en annonçant le rachat de son concurrent Numeriland pour 1.65 M€ en numéraire.
Avec cette acquisition, Hi-Media met la main sur un réseau de 8 millions de visiteurs uniques composé des sites de Radio France (France Inter, France Info, le Mouv'), l'Argus automobile, 321auto, , Universal Music, Magic maman et Immostreet mais surtout du réseau ComClick, réunissant près de 10.000 pages persos et autres blogs, ce qui devrait permettre à Hi-Media de dépasser son objectif d'un reach de 65% de la population des internautes.
Ex star de la nouvelle économie fondée par Cyriel Zimmermann, Hi-Media semble en tout cas séduire à nouveau les investisseurs. Après avoir culminé à 12 euros pendant la bulle de l'année 200 et avoir chuté à 12 centimes (!) à l'automne 2002, le cours de bourse de la société remonte régulièrement pour s'approcher de la barre des 3.5 euros. Reste à savoir si la société profitera de sa capitalisation pour racheter d'autres sociétés évoluant dans le marketing en ligne.
Concentration dans la publicité en ligne ? Après quelques années de silence, la régie publicitaire Hi Media refait parler d'elle en annonçant le rachat de son concurrent Numeriland pour 1.65 M€ en numéraire.
Avec cette acquisition, Hi-Media met la main sur un réseau de 8 millions de visiteurs uniques composé des sites de Radio France (France Inter, France Info, le Mouv'), l'Argus automobile, 321auto, , Universal Music, Magic maman et Immostreet mais surtout du réseau ComClick, réunissant près de 10.000 pages persos et autres blogs, ce qui devrait permettre à Hi-Media de dépasser son objectif d'un reach de 65% de la population des internautes.
Ex star de la nouvelle économie fondée par Cyriel Zimmermann, Hi-Media semble en tout cas séduire à nouveau les investisseurs. Après avoir culminé à 12 euros pendant la bulle de l'année 200 et avoir chuté à 12 centimes (!) à l'automne 2002, le cours de bourse de la société remonte régulièrement pour s'approcher de la barre des 3.5 euros. Reste à savoir si la société profitera de sa capitalisation pour racheter d'autres sociétés évoluant dans le marketing en ligne.
