Facebook a finalement lancé sa nouvelle application de messagerie. La version 3.0 de Facebook Messenger s'inspire ouvertement de WhatsApp, le service de messagerie mobile le plus populaire au monde.
Facebook a concrétisé sa « nouvelle expérience » de messagerie, qu'il avait présentée à la fin du mois d'octobre et qu'il testait sur Android. Finalement, la nouvelle application est disponible à la fois sur Android et sur iOS.
« Les bons artistes copient, les grands artistes volent »
Mais sur mobile un éditeur indépendant lui donne du fil à retordre : le service WhatsApp, pionnier du segment, reste plus populaire. Il revendiquait cet été 200 millions d'utilisateurs et près de 30 milliards de messages échangés par jour.
Facebook a donc fini par reprendre l'un des principes fondateurs de cette application : le numéro de téléphone permet désormais d'identifier ses contacts. En plus des amis Facebook, la liste de contacts comprendra donc des utilisateurs provenant du répertoire téléphonique. Ils pourront être contactés via Facebook Messenger, et non par SMS, bien qu'ils ne soient pas amis Facebook. Pour cela il faudra naturellement que ces contacts aient ajouté leur numéro de téléphone à leur profil, s'ils le souhaitent.
Le réseau social testait cette approche depuis près d'un an, mais uniquement sur certains marchés porteurs et seulement sur Android. Il généralise finalement cette méthode.
Les utilisateurs de Facebook Messenger clairement identifiés
La nouvelle version étrenne donc une nouvelle interface « plate », s'accordant aussi bien aux codes esthétiques d'Android qu'à ceux d'iOS 7. Et elle distingue dorénavant les contacts utilisant l'application Facebook de ceux utilisant l'application dédiée.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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