En attendant le lancement d'un véritable nouveau contrôleur SSD haute performance, en réponse notamment aux SandForce, Indilinx occupe le terrain en proposant depuis peu une nouvelle révision du « Barefoot ». Avec le contrôleur répondant au nom de code « Martini », Indilinx continue de miser sur le rapport performance/prix plutôt que sur les performances.
La description peut prêter à sourire, et pourtant la LaCie FastKey fait bel et bien penser à un paquet de chewing-gum avec sa forme rectangulaire large et plate. Un paquet plutôt généreux d'ailleurs, car avec des dimensions de 2,7 x 10,4 x 0,9 cm, cette clé USB 3.0 est loin de passer inaperçue.
Hitachi a hier annoncé son entrée imminente sur le marché florissant du SSD. Au-delà d'un nouveau produit, cette annonce témoigne de la démocratisation du SSD, jusque chez les fabricants historiques de disques durs. Il revendique d'ailleurs le titre de « premier fabricant de disque dur à proposer des SSD adaptés au monde de l'entreprise ».
En attendant le lancement de la troisième génération, Intel complète aujourd'hui la famille de SSD répondant au nom de code « Postville ». Le nouveau « X25-M » de 120 Go offre ainsi une capacité intermédiaire entre les 80 Go du modèle premier prix et le modèle de 160 Go déjà inabordable.
Patriot Memory lance en France une nouvelle famille de SSD d'entrée de gamme avec laquelle il promet de mêler prix bas et haute performance. Il s'en tient pour ce faire à de faibles capacités puisque la famille « TorqX TRB » n'est déclinée qu'en capacité de 32 et 64 Go.
Toshiba vient d'annoncer le lancement d'une nouvelle gamme de SSD baptisée Blade X. Les unités de stockage qui la composent adoptent un format bien spécifique, destiné à faciliter son intégration dans les machines de type ultraportable tel que le dernier MacBook Air. Et pour cause, puisque ce sont justement ces modules Blade X que l'on retrouve au sein du dernier né d'Apple.
Zalman, que l'on connait principalement pour ses solutions de refroidissement, vient d'annoncer son arrivée prochaine sur le marché du SSD. Le fabricant sud-coréen prépare en effet le lancement de deux gammes de périphériques de stockage à mémoire Flash, les séries S et N, toutes deux composées de modèles au format 2,5 pouces, compatibles avec la fonction d'optimisation des cellules TRIM.
Kingston a lancé hier un nouveau SSD de milieu de gamme. La famille « SSDNow V+ 100 » présente la particularité de s'accommoder d'un système d'exploitation ne prenant pas en charge le TRIM, cette fonction qui évite que les performances ne se dégradent avec le temps. Elle offre pour ce faire la fonction « Garbage Collection » (GC), dont le fonctionnement n'a pas été détaillé, mais qui répond à la même promesse. Elle promet ainsi un temps moyen avant panne (MTBF) de un million d'heures.
OCZ a annoncé hier le renouvellement de son SSD haute performance exploitant l'interface PCI Express. Le nouvel « OCZ RevoDrive X2 » succède ainsi au RevoDrive premier du nom en rehaussant les performances ainsi que la capacité.
MX Technology DS-SeriesMX (pour Mach Xtreme) Technology est une toute jeune entreprise fondée en janvier 2010. Autant dire qu'elle prend le train des SSD en marche, et à grande vitesse qui plus est ! Cela n'empêche toutefois par la marque de proposer un disque aux spécifications plutôt attrayantes : l'arrière du très simple carton d'emballage annonce jusqu'à 250 Mo/s en lecture, et jusqu'à 230 Mo/s en écriture. Mieux que le Crucial donc, et même mieux que la majorité des SSD !
Crucial C300Alors que Crucial avait subi un échec certain avec la sortie de ses premiers SSD, la marque revient à la charge avec son C300 et de nouvelles ambitions. En effet, Crucial est le premier à commercialiser un SSD compatible avec la nouvelle interface SATA 6 Gbps. Les spécifications annoncés sont par conséquent inédites : 355 Mo/s en lecture et 215 Mo/s en écriture pour le modèle 256 Go, alors que le C300 64 Go voit son débit en écriture réduit à 75 Mo/s.
Runcore Pro VRuncore est une marque assez peu connue du grand public, mais qui possède une certaine expertise dans le domaine du SSD, puisqu'elle fournit des secteurs très exigeants en la matière comme certaines industries ou même l'armée. C'est le tout récent Pro V, vêtu de sa robe dorée, que nous avons pu obtenir ici, dans sa version 200 Go (il existe également un modèle 100 Go, et un 60 Go).
Kingston V G2 SeriesAlors que nous testions en son temps le Kingston SSDNow V Series de première génération ainsi que le SSDNow V+ G2 plus récent, Kingston fait évoluer sa gamme discrètement, en ajoutant un G2 à ses SSDNow V Series. Disponibles en version 64 ou 128 Go avec ou sans le kit de migration discuté à cette page, ce SSD embarque un contrôleur JMicron JM618 repris par Toshiba, un contrôleur qui a une fâcheuse tendance à chauffer, comme nous avons pu le constater durant nos tests. Si ce dernier supporte bien la fonction TRIM, il ne gère en revanche pas le NCQ, comme c'est le cas par ailleurs sur le SSDNow V+ G2.
Corsair F40 et F60La série Force de Corsair est équipée du best-seller du moment en matière de contrôleur, j'ai nommé le SandForce 1200. En l'occurrence, c'est ici le SF1222 qui trône sur les PCB des F40 et F60. Contrairement aux deux modèles précédents, nul besoin ici de mémoire cache : la puce SandForce et les algorithmes qui l'accompagnent s'en passent volontiers, compliquant au passage la tâche des testeurs avec un comportement qui diffère sensiblement de ceux des autres SSD.
Samsung PM810Alors que de nombreux concurrents débarquaient sur le marché, le géant coréen ne nous a pas offert de nouveaux modèles de SSD depuis les PB22-J et PM800, sortis début 2009, tout de même. Une longue attente qui débouche sur une nouvelle série 470 composée de 3 modèles pour l'instant (64, 128 et 256 Go).
Corsair V128Autre gamme, autre contrôleur : la série Nova, caractérisée par la lettre V, est équipée d'une puce Barefoot de chez Indilinx. Ce contrôleur gère évidemment les fonctions basiques que sont le TRIM, le SMART, le NCQ et le Secure Erase. Les similitudes sont grandes avec le R120, puisque ce sont les mêmes puces NAND MLC qui équipent ce SSD, à savoir 16 éléments de marque IM Flash et de 8 Go de capacité, gravés en 34 nm. La taille de la mémoire cache est également identique, avec 64 Mo. C'est ici une puce Elpida qui officie.
OCZ Vertex 2OCZ fut l'un des premiers à utiliser un contrôleur SandForce, tant et si bien que la marque est même parvenue à obtenir une édition spéciale du firmware pour ses Vertex II. Une gamme largement, très largement déclinée puisque l'on compte par moins de 7 modèles dont les capacités s'étalent de 40 à... 480 Go !
Patriot InfernoPatriot a renforcé sa gamme de SSD tout récemment avec l'Inferno, un modèle au nom évocateur. Pas de quoi s'enflammer tout de même, puisque ce SSD ressemble à s'y méprendre à plusieurs autres modèles de ce comparatif : contrôleur SandForce SF1222 et les raffinements qui vont avec (TRIM, NCQ, SMART...) qui a à sa disposition 16 puces IM Flash et de 8 Go de capacité, gravées en 34 nm, les mêmes que sur les Corsair R120 et V128. SF1200 oblige, aucune mémoire cache n'est disponible sur ce SSD. En revanche, notez une différence de taille avec les modèles vus précédemment : là où Corsair, G.Skill ou MX Technology ne conservent qu'une petite partie de la mémoire pour le wear-levelling et autres procédés visant à maintenir à un niveau élevé les performances de ses SSD, Patriot opte pour une portion plus importante : c'est bel et bien 28 Go qui sont consacrés à ces technologies. Un sacrifice important au niveau de la capacité de stockage.
G.Skill Phoenix ProEt un SSD SandForce de plus, un ! En effet, ce G.Skill Phoenix Pro abrite aussi en son sein le fameux SF1222, tout comme le Runcore Pro V, le MX Technology DS Series, l'Inferno de Patriot ou le Corsair F60. Mais là où les trois premiers utilisent une portion non négligeable de la mémoire pour pallier les éventuelles chutes de performances via les procédés de wear-levelling et autre over-provisioning, la version du firmware qui dirige le SF1222 du Phoenix Pro ne nécessite que 8 Go. C'est donc 20 Go de libérés pour l'utilisateur, soit tout de même 20% supplémentaires.
ADATA S596 TurboSi le A.DATA S596 Turbo est le premier SSD de ce comparatif, c'est pourtant l'un des derniers commercialisés. Successeur d'un S596 équipé du JM612 de JMicron, le S596 Turbo est quant à lui pourvu du tout dernier contrôleur du constructeur, à savoir le JM616. Une dénomination qui situe ses performances entre le JM612 et le JM618 ? C'est ce que nous verrons.
Corsair R120La gamme Reactor Series est, à l'heure où nous écrivons ces lignes, composée de deux SSD différenciés par leur capacité : 60 Go pour le R60, 120 Go pour le R120, notre exemplaire de test. Utilisant l'interface SATA II 3 Gpbs, le R120 est l'un des deux seuls SSD de ce comparatif à offrir un port mini-USB à côté du port SATA.
OCZ a rapidement emboité le pas à SandForce en annonçant avoir adopté les nouveaux contrôleurs de la série SF-2000 pour la confection d'une nouvelle génération de SSD. Le fabricant de mémoire vive et de support de stockage à mémoire flash et le concepteur de contrôleur indiquent à ce titre avoir « étroitement collaboré » pour la conception d'une nouvelle famille de SSD, destinée pour l'heure aux marchés de l'entreprise et de l'industrie.
SandForce a dévoilé ce que l'avenir nous réserve en matière de SSD en annonçant hier une nouvelle génération de contrôleurs. Ces nouveaux SandForce de la famille SF-2000 font un bond en avant par rapport à leurs prédécesseurs.
Initialement présenté lors du Computex, en juin dernier, le concept du périphérique hybride associant lecteur / graveur de DVD et SSD mis au point par la coentreprise LG-Hitachi Data Storage (HLDS) nous revient en version 2 à l'occasion du Ceatec. Une évolution qui signe la résolution des problèmes de jeunesse de la première génération.
Le fabricant de mémoire OCZ, plus connu ces derniers temps pour son activité dans le domaine des disques SSD, présente un tout nouveau standard d'interconnexions pour les disques SSD. Il s'agit du HSDL ou High Speed Data Link : une interface qui offre des débits atteignant 2 Go à la seconde contre 768 Mo/s (en théorie) pour un lien en Serial-ATA 6 Gb/s. Pour atteindre ces débits, l'interface HSDL se base essentiellement sur les particularités et spécifications du PCI-Express : la carte contrôleur d'OCZ utilise d'ailleurs un lien PCI-Express 4x. La connectivité de cette nouvelle interface repose sur un câble SFF-8087, c'est à dire un câble SAS. Pourtant ici, rien n'est comparable au standard SAS : les commandes Serial-ATA sont de plus converties en un signal PCI-Express entre le disque et la carte contrôleur.
OCZ vient d'annoncer l'arrivée prochaine sur le marché du successeur de son Onyx, un SSD de 32 Go qui s'affichait à un prix public conseillé de 99 dollars. Le fabricant dévoile ainsi Onyx 2, évolution de ce premier modèle, qui sera cette fois proposée dans des capacités de 120 et 240 Go. Équipé d'un contrôleur Sandforce, l'Onyx 2 offrirait selon le fabricant des performances en pointe de l'ordre de 275 Mo/s en lecture contre 265 Mo/s en écriture.
Non contents d'annoncer la sortie prochaine d'un monstre au format PCI-Express, le LSI PCIe SSD, les taïwanais de PhotoFast ont dévoilé aujourd'hui la gamme de SSD G-Monster3 XV1, composée de disques 2,5 pouces destinés aux machines des particuliers. En tête d'affiche, on trouve un modèle 256 Go qui afficherait, selon le fabricant, une vitesse de lecture maximale de 430 Mo/s !
