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En juin dernier, plusieurs sites officiels étaient rendus indisponibles suite à une attaque informatique d'origine inconnue. Le gouvernement de Corée du Sud attribue désormais ces cyberoffensives à son voisin, la Corée du Nord.
Les enquêteurs auraient également établi des similarités entre ces dernières attaques et celles de mars dernier au cours desquelles des chaînes de télévision et des services bancaires avaient été touchés. Ce type d'assaut devient régulier dans cette région puisque depuis 2011, Séoul fait part d'offensives répétées contre certains de ses services officiels.
Cette fois-ci, les attaquants se sont fait passer pour des Anonymous alors que ces derniers n'ont pas revendiqué l'offensive. Certaines adresses IP ont été tracées jusqu'en Corée du Nord, ce qui permet aux autorités d'accuser leur voisin. Les pirates auraient alors utilisé des services de partage de fichiers pour pouvoir diffuser leurs programmes malveillants.
Pour rappel, les 2 pays sont en conflit ouvert depuis 1953 et leur partition en deux Etats avec d'un côté, le régime de Séoul au Sud et de l'autre celui de Pyongyang, au Nord. Le Sud a, depuis cette période, connu un fort développement économique pour devenir l'un des pays où l'accès à Internet est le plus répandu. Son voisin reste pour sa part un pays très fermé dans lequel le citoyen moyen ne dispose pas d'accès direct à Internet.
Toutefois, le régime de Pyongyang semble tout de même disposer de ressources permettant d'espionner son voisin. A l'occasion d'une récente cyberattaque, les experts du pays évoquaient la piste de hackers nationalistes provenant de Corée du Nord. Ces derniers seraient hébergés en Chine, territoire depuis lequel ils auraient été en mesure de lancer plusieurs de leurs offensives.
La Corée du Sud accuse à nouveau son voisin d'avoir mené une attaque informatique le mois dernier. Cette offensive a entraîné l'indisponibilité de 69 sites officiels dont celui du bureau de la présidence du pays mais également de chaînes de télévision. Après avoir analysé les serveurs ainsi que les postes touchés, le ministre chargé des Sciences a ainsi précisé auprès de Reuters qu'il pouvait tirer cette conclusion.
Les enquêteurs auraient également établi des similarités entre ces dernières attaques et celles de mars dernier au cours desquelles des chaînes de télévision et des services bancaires avaient été touchés. Ce type d'assaut devient régulier dans cette région puisque depuis 2011, Séoul fait part d'offensives répétées contre certains de ses services officiels.
Cette fois-ci, les attaquants se sont fait passer pour des Anonymous alors que ces derniers n'ont pas revendiqué l'offensive. Certaines adresses IP ont été tracées jusqu'en Corée du Nord, ce qui permet aux autorités d'accuser leur voisin. Les pirates auraient alors utilisé des services de partage de fichiers pour pouvoir diffuser leurs programmes malveillants.
Pour rappel, les 2 pays sont en conflit ouvert depuis 1953 et leur partition en deux Etats avec d'un côté, le régime de Séoul au Sud et de l'autre celui de Pyongyang, au Nord. Le Sud a, depuis cette période, connu un fort développement économique pour devenir l'un des pays où l'accès à Internet est le plus répandu. Son voisin reste pour sa part un pays très fermé dans lequel le citoyen moyen ne dispose pas d'accès direct à Internet.
Toutefois, le régime de Pyongyang semble tout de même disposer de ressources permettant d'espionner son voisin. A l'occasion d'une récente cyberattaque, les experts du pays évoquaient la piste de hackers nationalistes provenant de Corée du Nord. Ces derniers seraient hébergés en Chine, territoire depuis lequel ils auraient été en mesure de lancer plusieurs de leurs offensives.