Concrètement, les 14 810 applications (au 28 janvier) développées pour Facebook resteront hébergées sur le réseau de mark-zuckerberg mais pourront être accessibles, sous la forme d'un bout de code javascript encapsulé dans un iFrame, sur n'importe quel site web ou n'importe quel blog.
Face à l'opensocial de Google, qui propose un portage des applications auprès de ses seuls partenaires, l'initiative de Facebook devrait permettre d'ouvrir ces applications à n'importe quel site web affichant du code HTML, ce qui devrait encore augmenter l'attractivité de la plate-forme auprès des développeurs informatiques.
Un positionnement technologique qui n'est pas sans rappeler celle de Microsoft avec Windows, un éditeur par ailleurs actionnaire de Facebook et qui pousse de plus en plus d'observateurs à voir dans Mark Zuckerberg, fondateur de Facebook, l'hériter spirituel d'un Bill Gates en passe d'ailleurs de prendre sa retraite.