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En affichant un bénéfice opérationnel de 17 Md €, l'opérateur cellulaire Vodafone tient sur rang de numéro un mondial du téléphone mobile.
Le capitalisme britannique semble avoir accouché de l'une des plus belles sociétés du XXIe siècle. A l'occasion de la publication annuelle de ses résultats, le groupe britannique Vodafone plc. a affiché un chiffre d'affaires en hausse de 33% à 42 milliards € et un bénéfice avant impôts, dépréciations et amortissement de 17,4 milliards d'euros, en hausse de 26%.
En moins d'une décennie, le groupe dirigé par Sir Christopher GENT (qui annonce au passage son départ) est devenu un véritable géant avec pas mois de 71 000 salariés, 120 millions de clients (plus de deux fois la population française) et une capitalisation boursière de 118 Mds €. Même si Vodafone est lourdement endetté, ces chiffres sont dignes de ceux d'une compagnie pétrolière, mais avec la croissance d'une start-up !
Bien qu'ayant raté la prise de contrôle de SFR en France, Vodafone renforce sa position au Japon en rebaptisant sa filiale J-phone en Vodafone et entend rester présent aux USA via sa participation dans Verizon Wireless.
Tout en poursuivant sa croissance internationale, le groupe mise désormais sur le développement de son portail internet mobile Vodafone Live!, descendant de Vizzavi, qui compte déjà 1.5 millions d'abonnés, 6 mois après son lancement. En ajoutant ses 11 millions de mobinautes japonais utilisant les services de J-phone, Vodafone est désormais le principal rival de NTT DoCoMo dans l'internet mobile.
Le capitalisme britannique semble avoir accouché de l'une des plus belles sociétés du XXIe siècle. A l'occasion de la publication annuelle de ses résultats, le groupe britannique Vodafone plc. a affiché un chiffre d'affaires en hausse de 33% à 42 milliards € et un bénéfice avant impôts, dépréciations et amortissement de 17,4 milliards d'euros, en hausse de 26%.
En moins d'une décennie, le groupe dirigé par Sir Christopher GENT (qui annonce au passage son départ) est devenu un véritable géant avec pas mois de 71 000 salariés, 120 millions de clients (plus de deux fois la population française) et une capitalisation boursière de 118 Mds €. Même si Vodafone est lourdement endetté, ces chiffres sont dignes de ceux d'une compagnie pétrolière, mais avec la croissance d'une start-up !
Bien qu'ayant raté la prise de contrôle de SFR en France, Vodafone renforce sa position au Japon en rebaptisant sa filiale J-phone en Vodafone et entend rester présent aux USA via sa participation dans Verizon Wireless.
Tout en poursuivant sa croissance internationale, le groupe mise désormais sur le développement de son portail internet mobile Vodafone Live!, descendant de Vizzavi, qui compte déjà 1.5 millions d'abonnés, 6 mois après son lancement. En ajoutant ses 11 millions de mobinautes japonais utilisant les services de J-phone, Vodafone est désormais le principal rival de NTT DoCoMo dans l'internet mobile.
