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Au Royaume-Uni, le cybercrime est dorénavant considéré comme un acte de terrorisme.
Les pirates (hackers) au Royaume-Uni sont maintenant considérés comme des cyber terroristes. En vertu du Terrorism Act, entré en vigueur lundi 19 février, les individus qui mettent en danger la vie d'autrui par le biais de la "manipulation" de systèmes informatiques seront punis par la loi comme n'importe quel terroriste. Le Terrorism Act définit ce qui est considéré comme un acte terroriste répréhensible et qui sont les terroristes potentiels, parmi eux : les groupes armés tels que l'armée républicaine irlandaise (IRA) ou le Hezbollah, mais aussi les groupes basés au Royaume-Uni projetant une attaque à l'intérieur comme à l'extérieur des frontières du Royaume. Peuvent-être concernés, hackers et protestataires politiques si leurs actions ou intentions "deviennent violentes". Avec ces nouveaux pouvoirs, la police britannique a toute autorité pour déterminer ce qui fait ou non d'une action un acte terroriste et quel individu relève de la définition désignant un terroriste. Le Terrorism-Act a soulevé de nombreuses critiques au delà des rangs travaillistes. Simon Hughes, secrétaire des démocrates libéraux, troisième plus grand parti du pays, a déclaré : "la législation qui donne aux autorités des pouvoirs supplémentaires devrait être révisée régulièrement par le Parlement plutôt que d'être imposée comme une législation permanente. Par ailleurs, la définition du terrorisme est beaucoup trop large et floue. " A l'inverse, Jack Straw, Ministre de l'Intérieur, estime que "la loi va renforcer les libertés civiles".
Les pirates (hackers) au Royaume-Uni sont maintenant considérés comme des cyber terroristes. En vertu du Terrorism Act, entré en vigueur lundi 19 février, les individus qui mettent en danger la vie d'autrui par le biais de la "manipulation" de systèmes informatiques seront punis par la loi comme n'importe quel terroriste. Le Terrorism Act définit ce qui est considéré comme un acte terroriste répréhensible et qui sont les terroristes potentiels, parmi eux : les groupes armés tels que l'armée républicaine irlandaise (IRA) ou le Hezbollah, mais aussi les groupes basés au Royaume-Uni projetant une attaque à l'intérieur comme à l'extérieur des frontières du Royaume. Peuvent-être concernés, hackers et protestataires politiques si leurs actions ou intentions "deviennent violentes". Avec ces nouveaux pouvoirs, la police britannique a toute autorité pour déterminer ce qui fait ou non d'une action un acte terroriste et quel individu relève de la définition désignant un terroriste. Le Terrorism-Act a soulevé de nombreuses critiques au delà des rangs travaillistes. Simon Hughes, secrétaire des démocrates libéraux, troisième plus grand parti du pays, a déclaré : "la législation qui donne aux autorités des pouvoirs supplémentaires devrait être révisée régulièrement par le Parlement plutôt que d'être imposée comme une législation permanente. Par ailleurs, la définition du terrorisme est beaucoup trop large et floue. " A l'inverse, Jack Straw, Ministre de l'Intérieur, estime que "la loi va renforcer les libertés civiles".
