Toutes les célébrités ne se sont pas encore ruées sur Google+, le nouveau réseau social du numéro un mondial de la recherche en ligne mais parmi les profils les plus populaires du service se détache un net leader : Mark Zuckerberg, patron d'un certain Facebook.
Oubliez les Shakira, Lady Gaga et autres Justin Bieber : tout à leurs millions de followers sur Twitter, eux n'ont pas encore investi Google+. Mark Zuckerberg, en revanche, s'est empressé de s'inscrire sur ce nouveau service et son arrivée n'est pas passée inaperçue : avec quelque 30 000 internautes ayant choisi de l'ajouter à leurs contacts, le jeune PDG de Facebook s'impose comme le profil le plus populaire de Google+, loin devant les deux fondateurs de Google.
Selon le classement non officiel (et non actualisé en temps réel) opéré par le site Socialstatistics, ce sont les personnalités du Web qui sont les plus recherchées aujourd'hui sur Google+. En tête de liste figurent en effet des noms comme Vic Gundotra (VP Google), le fameux blogueur Rober Scoble, le journaliste et entrepreneur Leo Laporte ou Kevin Rose, le fondateur de Digg. Le premier français de la liste est incarné par le très californien Loic Le Meur, fondateur de Seesmic.
La tendance n'a finalement rien d'étonnant : les premiers à s'être jetés sur Google+, dont l'accès était dans les premiers jours limité par un système d'invitation, sont logiquement les plus férus d'actualité numérique et les professionnels du Web curieux de voir quelle pouvait bien être la promesse de ce nouveau service. De son côté, Mark Zuckerberg, qui n'affiche aucune mention publique sur son profil, a l'air quelque peu surpris que son inscription suscite tant d'intérêt. « Pourquoi les gens sont-ils si surpris que j'ai un compte Google ? », aurait-il écrit à Robert Scoble.
Alexandre Laurent
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech,...
Alex, responsable des rédactions. Venu au hardware par goût pour les composants qui fument quand on les maltraite, passé depuis par tout ce qu'on peut de près ou de loin ranger dans la case high-tech, que ça concerne le grand public, l'entreprise, l'informatique ou Internet.
Milite pour la réhabilitation de Après que + indicatif à l'écrit comme à l'oral, grand amateur de loutres devant l'éternel, littéraire pour cause de vocation scientifique contrariée, fan de RTS qui le lui rendent bien mal.
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