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Fusion-IO, l'une des entreprises qui cherche à remplacer les disques durs par des SSD dans les serveurs de stockage, a décidé de racheter IO Turbine, un éditeur logiciel, pour 95 millions de dollars. L'accord final a été signé, et la transaction va permettre à Fusion-Io de s'implanter dans le secteur des serveurs de virtualisation.
Signe que le marché du SSD pour serveurs de stockage est en voie de structuration : Fusion-IO, l'un des principaux acteurs avec Violin Memory, a accepté de racheter IO Turbine. Cela lui permet de faire son entrée sur le marché des serveurs de stockage virtualisés. En effet, IO Turbine édite un logiciel qui permet de mettre le stockage en cache sur les serveurs, pour l'utiliser dans un environnement virtualisé. Une solution complémentaire aux offres de Fusion-IO, dont les serveurs à base de mémoire flash sont pour l'heure réservés aux environnements non-virtualisés.
Le rachat se fera en actions et en argent comptant, à concurrence de 35 millions de dollars pour cette seconde option. Il devrait être finalisé à la fin du mois d'août, et les vingt-cinq employés de IO Turbine rejoindront les équipes de Fusion-IO en Californie (IO Turbine est pour l'instant situé à Salt Lake City, dans l'Utah (soit à près de 1 200 kilomètres de San Francisco, où est le siège social de Fusion-IO).
Pour Fusion-IO, il s'agit d'un rachat cohérent. Il manquait d'une solution pour les environnements virtualisés, et le prix à débourser est relativement modeste, si l'on considère la récente levée de fonds - lors d'une introduction en bourse - de l'entreprise : 218,9 millions de dollars. Pour le PDG, David Flynn, c'est en tout cas une garantie de libération de sa croissance : « Cela double le marché adressable pour la mémoire flash dédiée aux serveurs. Maintenant, il n'y a aucune application qui ne puisse tirer parti de Fusion-IO. »
Signe que le marché du SSD pour serveurs de stockage est en voie de structuration : Fusion-IO, l'un des principaux acteurs avec Violin Memory, a accepté de racheter IO Turbine. Cela lui permet de faire son entrée sur le marché des serveurs de stockage virtualisés. En effet, IO Turbine édite un logiciel qui permet de mettre le stockage en cache sur les serveurs, pour l'utiliser dans un environnement virtualisé. Une solution complémentaire aux offres de Fusion-IO, dont les serveurs à base de mémoire flash sont pour l'heure réservés aux environnements non-virtualisés.
Le rachat se fera en actions et en argent comptant, à concurrence de 35 millions de dollars pour cette seconde option. Il devrait être finalisé à la fin du mois d'août, et les vingt-cinq employés de IO Turbine rejoindront les équipes de Fusion-IO en Californie (IO Turbine est pour l'instant situé à Salt Lake City, dans l'Utah (soit à près de 1 200 kilomètres de San Francisco, où est le siège social de Fusion-IO).
Pour Fusion-IO, il s'agit d'un rachat cohérent. Il manquait d'une solution pour les environnements virtualisés, et le prix à débourser est relativement modeste, si l'on considère la récente levée de fonds - lors d'une introduction en bourse - de l'entreprise : 218,9 millions de dollars. Pour le PDG, David Flynn, c'est en tout cas une garantie de libération de sa croissance : « Cela double le marché adressable pour la mémoire flash dédiée aux serveurs. Maintenant, il n'y a aucune application qui ne puisse tirer parti de Fusion-IO. »
