Un hacker admet avoir visité les serveurs de la NASA

24 février 2011 à 13h10
0
Jeremey Parker, un texan a expliqué à la justice s'être introduit dans les systèmes informatiques du centre spatial Goddard appartenant à la Nasa. Il aurait causé des dommages estimés à 43 000 dollars.

00A0000002145374-photo-nasa-logo.jpg
Parker aurait accédé à des informations pour le compte de scientifiques spécialisés dans l'étude des données océaniques. Ces informations appartenant à la Nasa transitaient depuis les satellites vers les services américains. Le hacker indique qu'il aurait même reçu des paiements de certains membres de la communauté scientifique en vue de la fourniture de ces informations.

Le texan risque 10 ans de prison si la charge de hacking est retenue contre lui, comme le précise The Register. Une sentence qui pourrait s'alourdir si le juge prend en compte également l'introduction illégale dans les serveurs d'une société de e-commerce.

Ce cas rappelle sans conteste celui de Gary McKinnon. Le hacker risque jusqu'à 70 ans de prison dans les geôles de l'Oncle Sam pour s'être introduit dans les serveurs de la Nasa. Même si son cas est un entrelacs judiciaire, celui qui expliquait pour sa défense vouloir rechercher des preuves de vie extraterrestres risque toujours l'extradition du Royaume-Uni vers les Etats-Unis. Sur le cas McKinnon, Flock résumait plutôt bien la situation...

A découvrir en vidéo

Soyez toujours courtois dans vos commentaires.
Respectez le réglement de la communauté.
0
0

Actualités du moment

Nokia : Symbian survivra à la migration vers WP7
L'Iran affirme avoir deux supercalculateurs au niveau du Top500
Apple dévoile sa nouvelle gamme de MacBook Pro
JP Morgan lève 1,2 milliard de dollars et vise les réseaux sociaux
Intel Sandy Bridge: les cartes mères B3 corrigées arrivent
<b>Joyeux Noël</b>
Insolite : Les Chroniques de Rick Roll, bientôt un film à la gloire des mèmes du Web ?
SoftLayer lance une solution de distribution de services dans le cloud sur Parallels
Abus de position dominante : Baidu mis en cause par une cyber-encyclopédie chinoise
Un programme de certification pour Google Apps
Haut de page