Le chiffre d'affaires de la multinationale d'origine américaine affiche 5,83 milliards de dollars, contre 4,85 milliards un an plus tôt. Son bénéficie trimestriel ressort à 1,6 milliard de dollars, contre 1,3 milliard à la même période il y a un an. Enfin, ses ventes de logiciels ont progressé de 17% sur un an à 2,5 milliards de dollars.
Rival de l'allemand , Oracle a fait le choix de la croissance externe. Pour être actif sur l'ensemble des segments de l'informatique de gestion, l'éditeur privilégie l'intégration de technologies tierces à l'innovation. En témoignent les acquisitions fleuves réalisées de 2003 à ce jour : PeopleSoft, JD Edwards, Siebel, Hyperion, Tangosol, Stellent, SPL, MetaSolv, Lodestar, Agile Software...
Les atouts d'Oracle : des synergies en matière de support technique, de 'lifetime support', d'intégration avec différentes solutions, du CRM à la gestion des performances, et « la promesse » faite par Larry Ellison, CEO du groupe, aux clients de pouvoir évoluer à leur rythme vers une architecture de nouvelle génération, orientée services (SOA).
Mardi soir au New York Stock Exchange (NYSE), le titre Oracle a atteint 19,40 dollars en après bourse, après avoir clôturé à 19,16 dollars, soit en recul de 2%.