« L'étude a montré que les solutions libres offrent désormais des fonctionnalités adaptées aux besoins des députés et permettront de réaliser de substantielles économies en dépit de certains coûts de mise en oeuvre et de formation. Cette décision répond de manière concrète aux préconisations de nombreux députés de voir les pouvoirs publics recourir plus largement aux logiciels libres », explique l'Assemblée dans un communiqué.
« La dotation en logiciels libres des postes des députés illustre une nouvelle fois les qualités de ces logiciels, permettant à l'Assemblée Nationale d'avoir une meilleure maîtrise sur ces équipements, sans dépendance vis-à-vis d'une entreprise donnée, avec une meilleure utilisation de l'argent public », déclare de son côté Benoît Sibaud, président de l'April (Association pour la promotion et la recherche en informatique libre).