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Microsoft a informé Bruxelles de la commercialisation en temps voulu de Windows Vista, novembre pour les entreprises, janvier pour le grand public.
La Commission européenne a indiqué vendredi 13 octobre 2006 avoir été informée par Microsoft que le lancement de Windows Vista ne sera pas retardé.
En bisbille avec l'exécutif européen depuis 7 ans, l'éditeur américain de logiciels maintient la commercialisation mondiale du successeur d'XP pour novembre 2006 (entreprises) et janvier 2007 (grand public).
A plusieurs reprises, Bruxelles a souligné que la nouvelle version du système d'exploitation ne devra pas être livrée en Europe avec des applications clés pré-installées, un moteur "maison" par exemple. La dynamique concurrentielle doit pouvoir fonctionner.
Vendredi, Bruxelles a insisté : "Ce n'est pas à la Commission de donner un feu vert mais à Microsoft de prendre ses responsabilités en tant que quasi-monopole, et de s'assurer que ses produits respectent les règles de concurrence fixées par l'Union."
Ces tensions font suite à la condamnation en mars 2004 de Microsoft par Bruxelles à 497 millions d'euros d'amende pour pratiques anticoncurrentielles. L'exécutif européen a également imposé à l'éditeur des mesures correctives visant à garantir l'interopérabilité entre PC/Serveurs sous Windows et logiciels concurrents.
Faute de réponse "satisfaisante", Neelie Kroes, commissaire à la concurrence, a sommé Microsoft, fin décembre 2005, de se conformer aux exigences de la Commission. Microsoft a fait appel de cette décision et tenté de répondre à l'ultimatum de Bruxelles, sans succès.
En juillet 2006, Neelie Kroes a déclaré ne pas avoir d'autre choix que d'appliquer une sanction de 280,5 millions d'euros. Le numéro un mondial du logiciel a fait appel devant le TPI à Luxembourg. La justice ne devrait pas se prononcer avant 2007.
La Commission européenne a indiqué vendredi 13 octobre 2006 avoir été informée par Microsoft que le lancement de Windows Vista ne sera pas retardé.
En bisbille avec l'exécutif européen depuis 7 ans, l'éditeur américain de logiciels maintient la commercialisation mondiale du successeur d'XP pour novembre 2006 (entreprises) et janvier 2007 (grand public).
A plusieurs reprises, Bruxelles a souligné que la nouvelle version du système d'exploitation ne devra pas être livrée en Europe avec des applications clés pré-installées, un moteur "maison" par exemple. La dynamique concurrentielle doit pouvoir fonctionner.
Vendredi, Bruxelles a insisté : "Ce n'est pas à la Commission de donner un feu vert mais à Microsoft de prendre ses responsabilités en tant que quasi-monopole, et de s'assurer que ses produits respectent les règles de concurrence fixées par l'Union."
Ces tensions font suite à la condamnation en mars 2004 de Microsoft par Bruxelles à 497 millions d'euros d'amende pour pratiques anticoncurrentielles. L'exécutif européen a également imposé à l'éditeur des mesures correctives visant à garantir l'interopérabilité entre PC/Serveurs sous Windows et logiciels concurrents.
Faute de réponse "satisfaisante", Neelie Kroes, commissaire à la concurrence, a sommé Microsoft, fin décembre 2005, de se conformer aux exigences de la Commission. Microsoft a fait appel de cette décision et tenté de répondre à l'ultimatum de Bruxelles, sans succès.
En juillet 2006, Neelie Kroes a déclaré ne pas avoir d'autre choix que d'appliquer une sanction de 280,5 millions d'euros. Le numéro un mondial du logiciel a fait appel devant le TPI à Luxembourg. La justice ne devrait pas se prononcer avant 2007.
