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Le député PS du Pas-de-Calais, Jack Lang, réagit vivement à l'achat de son nom sur Google par l'UMP, une méthode jugée proche de la piraterie.
Le député PS du Pas-de-Calais déplore l'achat sur Google des mots clés 'Jack Lang' par l'UMP.
Dans le billet "Quand l'UMP pirate 'Jack Lang' et autres noms sur Google" publié le 1er février 2006 sur le site du député (jacklang.net), M. Lang souligne :
"Après l'achat de mots-clés comme 'banlieue' ou 'racaille', le parti de Nicolas Sarkozy s'attaque aujourd'hui sans vergogne aux marques et aux noms de personnes."
Lors des émeutes en banlieue, fin octobre/début novembre 2005, le PS avait emboîté le pas à l'UMP, rappelons-le.
A travers une telle opération limitée par contrat, des liens commerciaux pointent vers le site de l'acheteur ou de ses clients - dans le cas présent le site Internet de l'UMP - lorsqu'un internaute effectue une requête sur l'un des mots clés concernés.
Aujourd'hui, 3 février 2006, lorsque l'on tape le nom "Jack Lang" sur Google.fr en plus des résultats de recherche classiques, on trouve deux liens commerciaux : l'un pointe vers le blog de Stéphane Strano, journaliste et essayiste, l'autre sur le site de l'UNI, la droite universitaire... Pas d'UMP en vue pour le moment.
Il n'empêche, le député PS s'interroge : "La question se pose légitimement de savoir si ce type de détournement de trafic est un procédé digne d'une formation politique qui aime à prôner le respect."
Si le député PS estime "légitime d'intégrer la modernité à la politique", cela n'est pas le cas du "parasitage sauvage de noms d'acteurs de la vie publique."
Ces méthodes "proches de la piraterie" sont "celles de voyous", insiste le député. "L'absence actuelle de jurisprudence ne justifie pas ces combines indignes d'un candidat à une élection présidentielle", poursuit Jack Lang.
Le député PS du Pas-de-Calais déplore l'achat sur Google des mots clés 'Jack Lang' par l'UMP.
Dans le billet "Quand l'UMP pirate 'Jack Lang' et autres noms sur Google" publié le 1er février 2006 sur le site du député (jacklang.net), M. Lang souligne :
"Après l'achat de mots-clés comme 'banlieue' ou 'racaille', le parti de Nicolas Sarkozy s'attaque aujourd'hui sans vergogne aux marques et aux noms de personnes."
Lors des émeutes en banlieue, fin octobre/début novembre 2005, le PS avait emboîté le pas à l'UMP, rappelons-le.
A travers une telle opération limitée par contrat, des liens commerciaux pointent vers le site de l'acheteur ou de ses clients - dans le cas présent le site Internet de l'UMP - lorsqu'un internaute effectue une requête sur l'un des mots clés concernés.
Aujourd'hui, 3 février 2006, lorsque l'on tape le nom "Jack Lang" sur Google.fr en plus des résultats de recherche classiques, on trouve deux liens commerciaux : l'un pointe vers le blog de Stéphane Strano, journaliste et essayiste, l'autre sur le site de l'UNI, la droite universitaire... Pas d'UMP en vue pour le moment.
Il n'empêche, le député PS s'interroge : "La question se pose légitimement de savoir si ce type de détournement de trafic est un procédé digne d'une formation politique qui aime à prôner le respect."
Si le député PS estime "légitime d'intégrer la modernité à la politique", cela n'est pas le cas du "parasitage sauvage de noms d'acteurs de la vie publique."
Ces méthodes "proches de la piraterie" sont "celles de voyous", insiste le député. "L'absence actuelle de jurisprudence ne justifie pas ces combines indignes d'un candidat à une élection présidentielle", poursuit Jack Lang.
