TomTom poursuit l'amélioration de son propre système d'information trafic en temps réel, qui est l'un des principaux attraits et point différenciant de ses solutions de guidage routier. Le nouvel « HD Traffic 5.0 » apporte deux améliorations mineures affinant encore d'un cran le calcul d'itinéraire.
Détection améliorée des ralentissements
Le nerf de la guerre pour TomTom est de détecter les ralentissements, puisqu'il est justement indépendant de l'information trafic fournie par les collectivités territoriales. « HD Traffic » collecte effectivement lui-même l'information trafic au travers de ses propres dispositifs et de la densité de téléphones mobiles SFR.
« TomTom HD Traffic 5.0 » améliore donc pour commencer la détection de l'immobilité de ses dispositifs connectés, sans qu'il n'explique comment, ce qui lui permettrait par exemple de détecter plus efficacement un accident, qui passe parfois au travers des mailles du filet car une partie seulement des voies de circulation sont ralenties.
Routes fermées détournées
« TomTom HD Traffic 5.0 » inclut en outre dorénavant les fermetures de routes.
Il arrive par exemple qu'une voie rapide soit fermée à la circulation la nuit, pour son entretien, et que la solution de guidage n'ait alors rien de mieux à proposer que la route annexe la longeant, tout en vous invitant à la rejoindre. En ayant connaissance d'une telle fermeture, TomTom pourra désormais proposer un itinéraire beaucoup plus pertinent.
Reste à prendre en compte les événements qui ne sont pas directement liés à la circulation, telle qu'une manifestation quelconque ou un événement sportif, autour desquels il vaut mieux parfois éviter de s'aventurer en voiture, ce qui aux dernières nouvelles n'est pas au programme.
« TomTom HD Traffic » étant transparent pour les dispositifs, tous les utilisateurs munis d'un dispositif compatible bénéficient automatiquement et gratuitement des améliorations de la cinquième version.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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