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Parallèlement au développement de Windows 8, Microsoft prépare la prochaine mise à jour majeure de sa suite bureautique, qui répond pour l'heure au nom de code « Office 15 », l'édition 2010 étant la quatorzième version. La publication hier de la « Technical Preview » fut l'occasion pour l'éditeur de faire le point.
Microsoft a effectivement profité du démarrage du programme d'évaluation technique, réservé à une sélection restreinte de clients soumis à un accord de confidentialité, pour annoncer la mise à disposition d'une beta publique (et non d'une Consumer Preview) « dans le courant de l'été 2012 ».
D'ici là, la firme de Redmond ne pourra malheureusement pas être bien loquace. Elle se contente de promettre aujourd'hui qu'« Office 15 » est le projet le plus ambitieux jamais entrepris par la division. Toute la suite sera effectivement mise à jour simultanément, c'est-à-dire pas seulement les logiciels clients pour les utilisateurs finaux sur PC et mobiles (mais pas Mac ?), mais aussi les services en ligne (cloud) et les produits serveurs.
Office, Office 365, Exchange, SharePoint, Lync, Project et Visio sont donc tous concernés, mais on ne sait pas encore ce qu'ils nous réservent, en attendant les premières inévitables fuites.
Microsoft a effectivement profité du démarrage du programme d'évaluation technique, réservé à une sélection restreinte de clients soumis à un accord de confidentialité, pour annoncer la mise à disposition d'une beta publique (et non d'une Consumer Preview) « dans le courant de l'été 2012 ».
D'ici là, la firme de Redmond ne pourra malheureusement pas être bien loquace. Elle se contente de promettre aujourd'hui qu'« Office 15 » est le projet le plus ambitieux jamais entrepris par la division. Toute la suite sera effectivement mise à jour simultanément, c'est-à-dire pas seulement les logiciels clients pour les utilisateurs finaux sur PC et mobiles (mais pas Mac ?), mais aussi les services en ligne (cloud) et les produits serveurs.
Office, Office 365, Exchange, SharePoint, Lync, Project et Visio sont donc tous concernés, mais on ne sait pas encore ce qu'ils nous réservent, en attendant les premières inévitables fuites.