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Partenaires d'hier, ennemis d'aujourd'hui ? Alors qu'ils avaient monté l'exposition Retrogaming ensemble en 2009, l'agence de communication Alerte Orange et l'association MO5 concourent séparément aujourd'hui pour atteindre leur but : un musée national dédié à l'histoire des jeux vidéo. Le partenariat avait fait long feu, et MO5 n'a pas souhaité suivre le projet de musée privé d'Alerte Orange. Les positions sont alors fixées : la voie publique pour MO5, quitte à attendre et à réaliser des expositions temporaires, et la voie privée pour Alerte Orange, convaincue que c'est la meilleure façon de toucher le public, en attendant une hypothétique action de l'Etat.
Alerte Orange, qui dispose d'un fonds propre très important en consoles, bornes, accessoires et titres, avait lancé en avril dernier le Musée du jeu vidéo à la Grande Arche de la Défense. Douze jours d'ouverture, une fréquentation estimée à 5 000 visiteurs, mais un grain de sable de taille : une poulie capricieuse était tombée d'un ascenseur, obligeant finalement le Toit de la Grande Arche - et donc les musées de l'Informatique et du Jeu vidéo - à fermer pendant quatre mois.
Nouvelle déconvenue pour Alerte Orange : le Musée du Jeu vidéo ne rouvrira pas à la Défense. MO5 a entretemps lancé son exposition au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam). Depuis la semaine dernière, les visiteurs peuvent découvrir à l'exposition MuséoGames deux salles où la jouabilité a été mise en avant : ordinateurs, consoles et bornes d'arcades sont toutes testables, avec une rediffusion des parties en cours sur écran géant. Plus ludique mais moins instructive que le Musée du Jeu vidéo, MuséoGames ne peut que souligner l'opportunité qu'auraient les deux organisateurs à ressortir leur partenariat des cartons... Sauf que pour Alerte Orange comme pour MO5, cela semble tout bonnement hors de question.
Et si vous avez des soucis pour visionner la vidéo, essayez ici !!!
Alerte Orange, qui dispose d'un fonds propre très important en consoles, bornes, accessoires et titres, avait lancé en avril dernier le Musée du jeu vidéo à la Grande Arche de la Défense. Douze jours d'ouverture, une fréquentation estimée à 5 000 visiteurs, mais un grain de sable de taille : une poulie capricieuse était tombée d'un ascenseur, obligeant finalement le Toit de la Grande Arche - et donc les musées de l'Informatique et du Jeu vidéo - à fermer pendant quatre mois.
Nouvelle déconvenue pour Alerte Orange : le Musée du Jeu vidéo ne rouvrira pas à la Défense. MO5 a entretemps lancé son exposition au Conservatoire national des arts et métiers (Cnam). Depuis la semaine dernière, les visiteurs peuvent découvrir à l'exposition MuséoGames deux salles où la jouabilité a été mise en avant : ordinateurs, consoles et bornes d'arcades sont toutes testables, avec une rediffusion des parties en cours sur écran géant. Plus ludique mais moins instructive que le Musée du Jeu vidéo, MuséoGames ne peut que souligner l'opportunité qu'auraient les deux organisateurs à ressortir leur partenariat des cartons... Sauf que pour Alerte Orange comme pour MO5, cela semble tout bonnement hors de question.
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