Des milliers de croix gammées à la lecture de Wikipédia au petit-déjeuner : c'est la surprise, pour le moins désagréable, à laquelle ont été confrontés les adeptes de l'encyclopédie en ligne le lundi 16 août.
Telegram abriterait les communications d'un nombre toujours plus important de cybercriminels : c'est ce que dévoile une enquête menée par le Financial Times.
Voilà une excellente nouvelle pour les victimes du ransomware-as-a-service (RaaS) REvil. Bitdefender annonce avoir mis au point un outil de décryptage dès à présent utilisable par celles et ceux qui n'auraient pas eu l'opportunité de débloquer les données piratées par le malware.
C'est une excellente nouvelle : TikTok annonce avoir supprimé les résultats lorsqu'une recherche sur le #Anti2010 était lancée. Le réseau social a donc réagi après le tollé causé par cette tendance.
L'Assistance Publique - Hôpitaux de Paris (AP-HP) annonce avoir porté plainte après avoir constaté un vol de fichiers qui concernent des centaines de milliers de personnes testées dans le cadre du dépistage de la Covid-19. Des failles de sécurité ont facilité la cyberattaque.
Des hackers se présentant comme Anonymous ont déclaré avoir hacké l'hébergeur de sites Epik et récupéré dix ans de données sur l'entreprise et leurs clients.
Fidèle à son planning, Google a partagé en début de mois son bulletin de sécurité mensuel pour Android. Comme d’habitude, la firme de Mountain View s’attaque à un gros paquet de failles, puisque ce sont pas moins de 33 vulnérabilités qui ont été corrigées via la mise à jour d’août, qui arrivera au plus tard dans les semaines à venir selon le rythme de déploiement de chaque fabricant.
Citizen Lab a détaillé dans un article de blog le fonctionnement d'une faille zero day et zero click utilisée pour infecter des appareils Apple avec Pegasus.
L'OMG Cable est équipé d'une puce capable d'enregistrer jusqu'à 650 000 mots de passe et peut les envoyer à un pirate via un réseau Wi-Fi local.
Les sites liés à REvil sont soudainement redevenus actifs, deux mois après leur disparition du devant de la scène.
Un hacker connu sous le nom de « Orange » a diffusé une liste de 500 000 identifiants de connexion et mots de passe d'utilisateurs et utilisatrices des services de VPN de Fortinet.
Les publications scientifiques sont très nombreuses, mais beaucoup d’entre elles ne sont accessibles que si l’on accepte de sortir la carte bleue. Une situation qui n’a pas plu à la fondatrice de Sci-Hub, Alexandra Elbakyan, qui, en 2011, a décidé de lancer une plateforme pirate donnant accès à des millions d’articles scientifiques.
Décidément, la polémique internationale autour du logiciel espion Pegasus ne désenfle pas. C'est à présent en Allemagne qu'une nouvelle ne devrait aucunement faire plaisir à sa population : l'Office fédéral de la police criminelle s'est dotée du spyware et s'en est servi.
La plateforme France-Visas, qui permet aux ressortissants étrangers de déposer une demande en ligne pour séjourner en France, a été la cible d'une cyberattaque au début du mois d'août. Rapidement neutralisée, l'attaque a toutefois permis une fuite des données personnelles d'au moins 8 700 demandeurs.
Les abonnés Netflix doivent être particulièrement prudents en ce moment. En effet, certains ont déjà reçu un e-mail qui débouche en réalité sur une arnaque bien ficelée.
La technique est vieille comme Hérode mais fait encore ses preuves. Microsoft affirme continuer de lutter contre des tentatives d'extorsion de données des utilisateurs et utilisatrices de Microsoft 365. Les pirates utilisent la méthode du hameçonnage, ou phishing.
Le groupe criminel Ragnarok, à l'origine du ransomware éponyme, a tiré sa révérence… tout en mettant à disposition de ses victimes la clé de déchiffrement maîtresse.
Après les processeurs, ce sont les GPU des cartes graphiques qui sont à présent susceptibles d'être la cible de menaces de type malware. Fourbe, le virus se niche directement dans la mémoire cache de la puce et prospère incognito au sein de l'intégralité de votre appareil.
Le jeu d'id Software est, grâce à Neil Bostian, jouable sur un téléphone fixe de bureau.
Hier, Microsoft a annoncé à des milliers de clients, principalement des entreprises, qu’une importante faille de sécurité sur leur service cloud Azure avait été corrigée. Le défaut détecté aurait pu permettre à des intrus de pénétrer dans les bases de données des clients afin de les consulter, de les modifier ou même de les supprimer.
Un hacker nigérian a récemment tenté de soudoyer les clients d’une entreprise de cybersécurité, leur proposant d'installer un ransomware sur le serveur de leurs entreprises afin de récupérer une grosse somme d’argent.
Une quinzaine de jours après l'attaque de Gigabyte et le vol de 112 Go de données, les pirates mettent leur menace à exécution en rendant public une première portion des documents confidentiels dérobés.
Poly Network a annoncé que le pirate qui leur avait dérobé 600 millions de dollars en crypto-monnaie a fini par rendre l'intégralité de la somme.
Que les amateurs du Morse se rassurent, le code semble avoir encore de beaux jours devant lui. Ce dernier a été employé par des pirates du Web, entre autres méthodes, dans une tentative de phishing, comme l'annonce Microsoft sur son blog.
Un cheval de Troie serait employé depuis plusieurs mois par un groupe de pirates informatiques au service du gouvernement chinois afin de récolter des données sensibles sur plusieurs États. Une dizaine d'attaques ont ainsi été recensées depuis le début de l'année 2021. C'est ce qu'affirme l'entreprise spécialisée dans la cybersécurité FireEye.
Plusieurs ministres des Affaires Étrangères, diplomates, ainsi que diverses firmes nationales et internationales auraient été ciblés par des opérations de hacking au cours des trois dernières années.
La Commission européenne fait face à la mise en ligne illégale d'une base de données issue du projet Cybersecurity Atlas, son organe qui recense les spécialistes cyber de la zone.
Plus de 112 Go de données volées sur ses serveurs internes seraient entre les mains des hackers.
Le mois dernier, une affaire de cyberespionnage à l'échelle mondiale a été déterrée par un consortium composé de 17 médias. Mais cette semaine, de nouveaux détails effrayants autour du fameux Projet Pegasus ont été communiqués.