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Face à Voila, Exalead, MozBot, MisterBot, Kartoo et autre Toolenet, DeepIndex confirme sa montée en puissance sur le marché français des moteurs de recherche
Face à Voila, Exalead, MozBot, MisterBot, Kartoo et autre Toolenet, DeepIndex confirme sa montée en puissance sur le marché français des moteurs de recherche
Chasse gardée de sociétés américains comme Google, ou MSN, le métier de "moteur de recherche" sur internet compte également des spécialistes français. Aux côtés de Voila, Exalead, MozBot, MisterBot, Kartoo et autre Toolenet, la société DeepIndex a fêté mercredi ses 4 ans d'existence.
"Dès le départ l'outil de recherche escomptait prendre une part sur le marché français de la recherche et entendait démontrer que les géants américains n'étaient pas les seuls au monde à pouvoir gérer un moteur de recherche. Désormais, nous souhaitons maîtriser notre croissance de trafic afin d'y intégrer nos projets actuels mais aussi ceux de notre laboratoire de recherche qui nous semblent utiles aux internautes et webmasters. " explique Gilbert Wayenborgh, PDG de DeepIndex.
Malgré un chiffre d'affaires encore modeste de 200 000 euros (à comparer aux 2.5 milliards d'euros générés par Google sur le seul second trimestre), DeepIndex entend poursuivre son parcours de PME de l'internet et revendique déjà une audience de 10 millions de pages vues par mois et surtout un réseau de 10.000 affiliés qui exploitent son moteur en marque blanche.
Face à Voila, Exalead, MozBot, MisterBot, Kartoo et autre Toolenet, DeepIndex confirme sa montée en puissance sur le marché français des moteurs de recherche
Chasse gardée de sociétés américains comme Google, ou MSN, le métier de "moteur de recherche" sur internet compte également des spécialistes français. Aux côtés de Voila, Exalead, MozBot, MisterBot, Kartoo et autre Toolenet, la société DeepIndex a fêté mercredi ses 4 ans d'existence.
"Dès le départ l'outil de recherche escomptait prendre une part sur le marché français de la recherche et entendait démontrer que les géants américains n'étaient pas les seuls au monde à pouvoir gérer un moteur de recherche. Désormais, nous souhaitons maîtriser notre croissance de trafic afin d'y intégrer nos projets actuels mais aussi ceux de notre laboratoire de recherche qui nous semblent utiles aux internautes et webmasters. " explique Gilbert Wayenborgh, PDG de DeepIndex.
Malgré un chiffre d'affaires encore modeste de 200 000 euros (à comparer aux 2.5 milliards d'euros générés par Google sur le seul second trimestre), DeepIndex entend poursuivre son parcours de PME de l'internet et revendique déjà une audience de 10 millions de pages vues par mois et surtout un réseau de 10.000 affiliés qui exploitent son moteur en marque blanche.
