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D'après le 18h.com, plus d'un tiers des salariés d'Alapage, filiale e-commerce de , aurait entamé lundi un mouvement de grève illimitée.
Une partie des salariés d'Alapage, filiale de France Telecom, a entamé lundi une grève illimitée sur le site de Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).
D'après le quotidien de L'Expansion, le 18h.com, plus d'un tiers des salariés du marchand français de produits culturels, électroniques et informatiques, a opté pour la grève.
Mardi 27 juin 2006 "de 40 à 50 employés", sur un effectif de 100 personnes à Villiers-sur-Marne, étaient en grève, a indiqué à l'AFP la déléguée syndicale CGT.
Jugeant leur niveau de rémunération trop bas, les salariés grévistes d'Alapage.com entendent obtenir une réévaluation de leurs salaires de 100 € nets par mois.
La direction d'Alapage aurait proposé des augmentations individuelles au mérite, de 40 à 60 € sur les salaires inférieurs à 1.450 € bruts par mois, et de "1,9% à 2,1%" pour les autres, a déclaré à l'AFP un porte-parole de France Telecom.
Selon la déléguée syndicale CGT, la plupart des salariés concernés touchent le Smic, soit 8,03 € bruts l'heure (8,27 € à partir du 1er juillet 2006) ou 1.217,88 €/mois (1.254,28 € au 1er juillet).
Aujourd'hui, ce mouvement de grève affecte essentiellement la gestion logistique d'Alapage. Outre Villiers-sur-Marne, l'entreprise dispose de locaux à Montmélian (Savoie) et dans le 14ème arrondissement de Paris.
Une partie des salariés d'Alapage, filiale de France Telecom, a entamé lundi une grève illimitée sur le site de Villiers-sur-Marne (Val-de-Marne).
D'après le quotidien de L'Expansion, le 18h.com, plus d'un tiers des salariés du marchand français de produits culturels, électroniques et informatiques, a opté pour la grève.
Mardi 27 juin 2006 "de 40 à 50 employés", sur un effectif de 100 personnes à Villiers-sur-Marne, étaient en grève, a indiqué à l'AFP la déléguée syndicale CGT.
Jugeant leur niveau de rémunération trop bas, les salariés grévistes d'Alapage.com entendent obtenir une réévaluation de leurs salaires de 100 € nets par mois.
La direction d'Alapage aurait proposé des augmentations individuelles au mérite, de 40 à 60 € sur les salaires inférieurs à 1.450 € bruts par mois, et de "1,9% à 2,1%" pour les autres, a déclaré à l'AFP un porte-parole de France Telecom.
Selon la déléguée syndicale CGT, la plupart des salariés concernés touchent le Smic, soit 8,03 € bruts l'heure (8,27 € à partir du 1er juillet 2006) ou 1.217,88 €/mois (1.254,28 € au 1er juillet).
Aujourd'hui, ce mouvement de grève affecte essentiellement la gestion logistique d'Alapage. Outre Villiers-sur-Marne, l'entreprise dispose de locaux à Montmélian (Savoie) et dans le 14ème arrondissement de Paris.
