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Le kiosque de téléchargement VirginMega a été condamné à 600.000 euros de dommages et intérêt pour avoir violé un accord d'exclusivité concernant un titre de M
La loi DADVSI étant pratiquement adoptée, l'industrie musicale s'offre le luxe d'une guerre fratricide. Le kiosque de téléchargement VirginMega (Groupe Lagardère) a été condamné par le Tribunal de Commerce de Paris à 600.000 euros de dommages et intérêt pour avoir violé en octobre dernier un accord d'exclusivité sur le titre Hung up de Madonna, signé entre Warner Music et le groupe .
Selon les termes de l'accord, France Telecom et ses filiales Orange et Wanadoo devaient alors être les premiers à proposer ce titre en téléchargement aux internautes. Mais estimant que ce type d'exclusivité temporaire était contraire aux intérêts des consommateurs et aux pratiques du secteur, VirginMega avait décidé de commercialiser malgré tout le titre de Madonna.
"Warner Music France se félicite de la décision du Tribunal de Commerce, qui aura permis de faire respecter ses droits et ceux de son artiste." explique sobrement la Maison de disque, qui réclamait initialement plus de 2 millions d'euros à VirginMega.
Pour le moment, VirginMega n'a pas commenté cette décision ni indiqué si il souhaitait faire appel.
La loi DADVSI étant pratiquement adoptée, l'industrie musicale s'offre le luxe d'une guerre fratricide. Le kiosque de téléchargement VirginMega (Groupe Lagardère) a été condamné par le Tribunal de Commerce de Paris à 600.000 euros de dommages et intérêt pour avoir violé en octobre dernier un accord d'exclusivité sur le titre Hung up de Madonna, signé entre Warner Music et le groupe .
Selon les termes de l'accord, France Telecom et ses filiales Orange et Wanadoo devaient alors être les premiers à proposer ce titre en téléchargement aux internautes. Mais estimant que ce type d'exclusivité temporaire était contraire aux intérêts des consommateurs et aux pratiques du secteur, VirginMega avait décidé de commercialiser malgré tout le titre de Madonna.
"Warner Music France se félicite de la décision du Tribunal de Commerce, qui aura permis de faire respecter ses droits et ceux de son artiste." explique sobrement la Maison de disque, qui réclamait initialement plus de 2 millions d'euros à VirginMega.
Pour le moment, VirginMega n'a pas commenté cette décision ni indiqué si il souhaitait faire appel.
