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L'organisation qui propose gratuitement des contrats-type pour la mise à disposition d'œuvres en ligne, fait appel à la générosité des internautes.
En ce mois d'octobre 2005, Creative Commons lance sur Internet sa première collecte de fonds de l'année (http://creativecommons.org/support/).
Inspirée des mouvements "libres" et "open source", l'organisation à but non lucratif a été créée en 2001 par Lawrence Lessig, juriste américain, professeur à la Stanford Law School et membre de l'Electronic Frontier Foundation.
Depuis, Creative Commons (CC) propose gratuitement à travers le monde "des contrats flexibles de droit d'auteur" destinés à faciliter la diffusion, la réutilisation et la modification d'œuvres conformément aux conditions exprimées par l'auteur.
Selon la direction américaine de l'organisation, 50 millions de créations sur le web (textes, musiques, photos, vidéos, etc.) sont sous contrats-type CC.
Jusqu'ici, la dynamique communautaire a fonctionné grâce à la détermination de son fondateur, au travail de centaines de volontaires et à la générosité de fondations. Mais aujourd'hui, il semble que cela ne suffise plus :
"Nous avons besoin de vos dons pour continuer à fournir gratuitement des outils qui offrent protections et libertés aux artistes, aux auteurs, aux formateurs et aux scientifiques. Votre contribution - qui donne droit à une réduction d'impôts - fera une différence importante", indique l'organisation.
Différents montants de dons sont proposés, de 25 dollars pour un étudiant à 5000 dollars pour un "commOnist". Il est également possible à l'amateur d'indiquer le montant de son choix ou de s'offrir un tee-shirt à 20 dollars aux couleurs de CC.
Idéalement, le paiement se fait en ligne (PayPal) par carte bancaire.
Par ce biais, Creative Commons souhaite collecter 225.000 dollars d'ici le 31 décembre 2005. A ce jour 27.000 dollars de promesses de dons ont été enregistrées.
Les internautes seront-ils sensibles à l'appel lancé par l'organisation ?
Encensée par certains, l'initiative Creative Commons serait assimilée à tort à une "petite soeur du logiciel libre", alors que les licences CC indiquent "le degré de liberté octroyé au public".
En ce mois d'octobre 2005, Creative Commons lance sur Internet sa première collecte de fonds de l'année (http://creativecommons.org/support/).
Inspirée des mouvements "libres" et "open source", l'organisation à but non lucratif a été créée en 2001 par Lawrence Lessig, juriste américain, professeur à la Stanford Law School et membre de l'Electronic Frontier Foundation.
Depuis, Creative Commons (CC) propose gratuitement à travers le monde "des contrats flexibles de droit d'auteur" destinés à faciliter la diffusion, la réutilisation et la modification d'œuvres conformément aux conditions exprimées par l'auteur.
Selon la direction américaine de l'organisation, 50 millions de créations sur le web (textes, musiques, photos, vidéos, etc.) sont sous contrats-type CC.
Jusqu'ici, la dynamique communautaire a fonctionné grâce à la détermination de son fondateur, au travail de centaines de volontaires et à la générosité de fondations. Mais aujourd'hui, il semble que cela ne suffise plus :
"Nous avons besoin de vos dons pour continuer à fournir gratuitement des outils qui offrent protections et libertés aux artistes, aux auteurs, aux formateurs et aux scientifiques. Votre contribution - qui donne droit à une réduction d'impôts - fera une différence importante", indique l'organisation.
Différents montants de dons sont proposés, de 25 dollars pour un étudiant à 5000 dollars pour un "commOnist". Il est également possible à l'amateur d'indiquer le montant de son choix ou de s'offrir un tee-shirt à 20 dollars aux couleurs de CC.
Idéalement, le paiement se fait en ligne (PayPal) par carte bancaire.
Par ce biais, Creative Commons souhaite collecter 225.000 dollars d'ici le 31 décembre 2005. A ce jour 27.000 dollars de promesses de dons ont été enregistrées.
Les internautes seront-ils sensibles à l'appel lancé par l'organisation ?
Encensée par certains, l'initiative Creative Commons serait assimilée à tort à une "petite soeur du logiciel libre", alors que les licences CC indiquent "le degré de liberté octroyé au public".
